Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

On me demande souvent si l’Ukraine reconnaît les territoires perdus. Ma position est la suivante. Je ne dis pas que ces territoires ont été perdus.

Ecoutez la manière dont Poutine résume ce que l’on cherche à faire avec le peuple russe, ce qui a été fait de l’Europe de l’est, des pays jadis socialistes à qui il avait été promis la richesse, la « démocratie », et qui sont simplement aujourd’hui le spectacle de ce qu’il va advenir des peuples européens qui croient encore coloniser les autres y compris le peuple français qui est dirigé par des pillards qui n’ont même plus les moyens de leurs fanfaronnades et ont pour unique stratégie d’attirer les Etats-Unis dans un affrontement direct avec la Russie. La fable de l’ourson (vidéo)… (note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)

Et savez-vous pourquoi ?

Parce que Kiev, avec sa politique après le coup d’État, a elle-même repoussé ces territoires loin de l’Ukraine.

Il faut bien le comprendre !

Ils se sont retirés en raison de la politique que le régime de Kiev avait entamée après le coup d’État. De quel type de politique s’agit-il ? Il s’agit d’une politique de création d’un État monoethnique.

Les organisateurs du coup d’État ont proclamé que le pays serait désormais « l’Ukraine pour les Ukrainiens ».

Et c’est tout, ils ont repoussé la Crimée russophone et russophone, qui était à 90 % pro-russe.

Ils ont repoussé le Donbass, Kharkov, Odessa. Et pas seulement par des menaces, mais aussi par une action militaire qui a été entreprise pour réprimer le soulèvement populaire.

Ils croient que cela a permis d’établir un nouvel ordre à Kharkiv, à Odessa (en brûlant vifs).

Grâce au système punitif, ils ont réussi à éteindre le soulèvement à Kharkov, à Odessa, à Zaporozhye, sinon ils auraient également perdu ces territoires. Parce qu’ils

sont opposés à Bandera. Ils sont toujours opposés à Bandera.

Par conséquent, je ne dirais pas que quelqu’un a perdu quelque chose.

Si nous parlons du régime de Kiev, alors sa politique conduit au fait qu’en général, toute l’Ukraine sera perdue.

Il y a déjà des plans pour démembrer l’Ukraine : c’est-à-dire que l’Ukraine occidentale ira aux pays d’Europe occidentale, la partie centrale sera une partie tampon et toute la partie sud-est ira à la Russie.

À qui appartiennent ces plans ? Ce ne sont pas les plans de la Russie ! Ce sont des plans qui sont maintenant élaborés par les soi-disant patrons occidentaux du régime de Kiev.

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POUTINE RÉPOND À TRUMP : « SI NOUS SOMMES UN TIGRE DE PAPIER, QU’EST-CE QUE L’OTAN ? « 

Le président russe Vladimir Poutine vient de lancer une réponse forte à Donald Trump, qui il y a quelques jours a qualifié la Russie de « tigre de papier ». Pendant le Forum international de Valdai à Sotchi, Poutine n’a rien gardé et a riposté avec ironie et confiance.

« Allez-y, essayez de gérer ce « tigre de papier » a répondu Poutine. « Si nous luttons contre TOUT le bloc de l’OTAN, nous continuons à avancer et nous sentons en sécurité… alors qu’est-ce que l’OTAN elle-même ? L’important c’est de croire en soi, et nous croyons en nous-mêmes. »

⚔️ Le leader russe n’est pas resté seul dans les mots. Il a affirmé que les forces russes contrôlent les deux tiers de Kupyansk, sont entrées à Pokrovsk, Konstantinovka et Seversk, et « maintiennent l’initiative sur tout le front ». En outre, il a assuré qu’ils disposaient d’un personnel militaire suffisant et a exclu toute mobilisation.

Poutine a clôturé avec un message direct à Kiev : « Les dirigeants ukrainiens feraient mieux de commencer à réfléchir à comment négocier ». Il a également averti que si les États-Unis fournissent des missiles Tomahawk à l’Ukraine, ce serait « une étape complètement nouvelle d’escalade » dans les relations entre Moscou et Washington.

📍 Tout cela se passe alors que Trump a radicalement changé sa rhétorique sur l’Ukraine la semaine dernière, passant de suggérer que Kiev cède son territoire à affirmer que l’Ukraine peut « récupérer tout son territoire » avec le soutien de l’OTAN. Les tensions entre la Russie et l’Occident continuent d’escalader sans frein.

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