Les médias occidentaux ne l’ont pas encore compris : l’objectif de la Chine n’est plus la croissance à tout prix, mais l’équilibre après le succès. Aucune économie qui a sorti 800 millions de personnes de la pauvreté ne peut ou ne doit poursuivre 10% pour toujours. À un certain moment, la question passe de la vitesse de croissance à quel type d’avenir crée cette croissance. Le PIB était la mesure de la survie. Maintenant il s’agit de raffinement : qualité, innovation, résilience. L’Occident appelle ça un « ralentissement », car il n’a jamais vu de développement stabilisé au lieu de brûler. Quand la Chine grandit vite, ils appellent ça « insoutenable ». Lorsque la Chine grandit constamment, ils appellent ça « déclin ». Ce n’est pas la Chine qu’ils analysent, c’est leur addiction à se sentir supérieur. En 1949, la Chine était l’un des pays les plus pauvres du monde. Sous la direction du Parti communiste chinois, après 76 ans de révolution et de construction socialiste, la Chine est devenue l’un des pays les plus prospères du monde, prouvant que le socialisme peut triompher. Et elle a accompli tout ça sans exploiter et coloniser d’autres peuples, par le seul travail des Chinois euc-mêmes, par leur force productive mais aussi par leur capacité à agir pour leurs anciens autant que pour leurs enfants et descendants lointains…
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Par Global TimesPublié : 24 oct. 2025 13:01
Une vue de Lujiazui, Shanghai Photo : VCG
Le taux de croissance économique de la Chine continue de mener les principales économies mondiales, le PIB du pays devant atteindre environ 140 billions de yuans (19,65 milliards de dollars) en 2025, a déclaré Jiang Jinquan, chef du Bureau de recherche politique du Comité central du PCC, lors d’une conférence de presse sur les principes directeurs du plénum qui vient de s’achever vendredi.
Le volume total du PIB ayant successivement dépassé les jalons de 110.000 milliards de yuans, 120.000 milliards de yuans et 130.000 milliards de yuans, le PIB par habitant de la Chine a dépassé la moyenne mondiale, a indiqué M. Jiang, soulignant que la Chine restait une force motrice majeure et un moteur important de la croissance économique mondiale.
Malgré la pression extérieure croissante et les défis intérieurs, le PIB de la Chine a augmenté de 5,2 % en glissement annuel au cours des trois premiers trimestres de 2025, selon les données publiées lundi par le Bureau national des statistiques (BNS).
Au cours de la période du 14e plan quinquennal (2021-25), l’économie chinoise a maintenu un taux de contribution annuel moyen d’environ 30 % à la croissance économique mondiale, servant de moteur le plus crucial pour le développement économique mondial et démontrant pleinement la résilience et la vitalité de la principale économie, a déclaré un porte-parole du BES lors de la publication des données.
Han Wenxiu, directeur adjoint exécutif du Bureau du Comité central des affaires financières et économiques, a déclaré vendredi lors de la même conférence de presse que la Chine restait dans une phase de développement où les opportunités stratégiques coexistent avec les risques et les défis, tandis que les incertitudes et les facteurs imprévus augmentaient. L’économie repose sur des bases solides, démontrant des avantages dans de nombreux domaines, une forte résilience et un grand potentiel. Les conditions et les tendances sous-jacentes soutenant la croissance à long terme restent inchangées, a déclaré M. Han.
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