Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Jusqu’où vont aller ces pitreries sanglantes ?

Il y a dans le degré d’impunité des « élites » de ce système quelque chose de stupéfiant par son aspect primaire, convaincu de n’avoir de compte à rendre à personne, cela va de Sarkozy et derrière lui le ralliement le plus complet qui se puisse imaginer à l’atlantisme, l’avidité sans scrupule, jusqu’à ce qui se dévoile en Ukraine derrière Zelensky le cocaïnomane, la sangsue, mais leur maître à tous est incontestablement Netanyahou … Ceux qui dénoncent ces pitreries sanglantes ont beau être le plus souvent des juifs, il est évident que les salopards racistes et antisémites qui comme Trump et une bonne partie des grands « influenceurs » sont à la tête de l’empire en faillite, font tout pour se constituer une garde prétorienne juive autour d’Israël. Vendre les victimes du nazisme pour perpétrer des génocides, détruire des peuples entiers en toute impunité est à la mode de ce système décadent. Si l’on veut pouvoir lutter contre toutes les vagues nauséabondes qui nous submergent et dans lesquelles les prétextes racistes et antisémites prétendent assurer la survie de ce système, il faut être impitoyable dès aujourd’hui face à ces « pitreries sanglantes ». (note de danielle Bleitrach pour histoireetsociete)

Trump a suggéré une grâce de Netanyahu lui soit accordée lors de son discours au Parlement israélien le 13 octobre. Reuters/Evan Vucci

Trump a suggéré une grâce de Netanyahu lui soit accordée lors de son discours au Parlement israélien le 13 octobre. Reuters/Evan Vucci© Evan Vucci

Le président américain, Donald Trump, a écrit à son homologue israélien, Isaac Herzog, pour lui demander d’accorder une grâce au Premier ministre Benyamin Netanyahou, poursuivi dans son pays pour corruption, a indiqué mercredi le bureau de la présidence.

Isaac Herzog a reçu « ce matin » une lettre de Donald Trump, « l’invitant à envisager d’accorder une grâce » à Benyamin Netanyahou, détaille un communiqué du bureau présidentiel, qui précise que « toute personne souhaitant obtenir une grâce présidentielle doit présenter une demande officielle ».

Benyamin Netanyahou est poursuivi dans son pays pour corruption et est régulièrement entendu dans le cadre d’au moins trois procédures judiciaires, dans lesquels aucun jugement n’a encore été rendu.

Des réactions politiques en chaîne

« Le président Herzog tient le président Trump en très haute estime et continue d’exprimer sa profonde gratitude » pour son « soutien indéfectible » à Israël, « sa contribution considérable au retour des otages, à la refonte de la situation au Moyen-Orient et à Gaza en particulier, et à la garantie de la sécurité de l’État d’Israël », précise le communiqué.

Aussitôt plusieurs personnalités politiques israéliennes ont réagi. « Monsieur le Président Herzog, écoutez le Président Trump », a écrit sur X le ministre d’extrême droite Itamar Ben Gvir, tout en accusant la justice israélienne d’être biaisée à l’égard de Benyamin Netanyahou.

Une députée également d’extrême droite mais dans l’opposition, Yulia Malinovsky, du parti Israel Beitenou (« Israël est notre maison » en hébreu), a de son côté suggéré que le président américain faisait cette demande dans le cadre d’un accord avec Benyamin Netanyahou sur des sujets relatifs au cessez-le-feu dans la bande de Gaza.

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« L’un des plus grands » dirigeants, d’après Trump

Quant au dirigeant de l’opposition, Yaïr Lapid, du parti centriste Yesh Atid, il a taclé Benyamin Netanyahou en écrivant sur X : « Rappel : la loi israélienne stipule que la première condition pour obtenir une grâce est l’aveu de culpabilité et l’expression de remords pour les actes commis. »

Lors d’un discours au Parlement israélien le 13 octobre, Donald Trump avait déjà suggéré qu’une grâce lui soit accordée. « J’ai une idée. Monsieur le président (Isaac Herzog), pourquoi ne pas lui accorder une grâce ? Ce passage n’était pas prévu dans le discours (…) Mais j’aime bien ce monsieur », avait dit le président américain dans son allocution, mettant en avant qu’il a été « l’un des plus grands » dirigeants « en temps de guerre ».

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