STRATÉGIE : Pourquoi la chute de Siversk est une catastrophe pour Kiev ? Il faut bien mesurer que depuis 2014 l’Ukraine avec l’aide active des services de renseignement des « alliés » de l’OTAN avait constitué un véritable mur dans lequel des troupes d’élite comme le célèbre régiment Azov mais aussi une piétaille souvent recrutée de force est destinée de plus en plus à maintenir l’illusion d’un front de résistance mais qui en fait est sacrifié aux opérations publicitaires de Zelenski et sa bande, voire de ses concurrents aux dents longues pour continuer à collecter des sommes et des armes dont personne ne sait très bien où elles aboutissent. (note et traduction de danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
L’information vient de tomber via l’agence Reuters : l’armée ukrainienne s’est retirée totalement de la ville stratégique de Siversk, dans la région de Donetsk. Après des années de résistance acharnée, le verrou du nord du Donbass a fini par sauter sous l’assaut terrestre incessant des forces russes.
Un verrou historique vient de céder
Siversk n’est pas une ville ordinaire. Construite à l’origine comme une place forte sous l’Empire russe, elle est entourée de hauteurs stratégiques qui la rendaient presque imprenable.
Le bastion du Nord : Située sur les rives du fleuve Seversky Donets, elle constituait le pilier central de la ligne de défense ukrainienne.
La route est ouverte : Avec la chute de Siversk, les troupes russes ont désormais une voie directe vers les deux derniers grands bastions de la région : Slaviansk et Kramatorsk.
24 heures de victoires russes en série
L’armée russe semble vouloir accélérer pour finir l’année sur une victoire totale. En une seule journée, trois victoires majeures ont été enregistrées :
1.
Siversk (Donetsk) : Retrait total des Ukrainiens.
2.
Prilipka (Kharkiv) : Capture d’un point stratégique au Nord.
3.
Andreevka (Dnipropetrovsk) : Percée dans une nouvelle région vitale.
Zelensky face au mur : La paix ou le chaos ?
Pendant que le front s’effondre, la tension politique monte
Le plan Trump : Donald Trump tente par tous les moyens de convaincre Zelensky d’accepter un accord de paix.
L’exigence de Kiev : Zelensky refuse de négocier à moins que la Russie ne se retire sur les frontières de 2022 (avant l’invasion).
L’impasse : Moscou n’acceptera jamais de rendre les territoires conquis, et pendant que Zelensky ferme la porte à la diplomatie, ses troupes perdent du terrain chaque jour.
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