Des unités de guerre contre les mines nord-coréennes vues en action en train de nettoyer la région russe de Koursk après l’assaut ukrainien
L’assaut mené par l’Ukrainien contre Kursk a notamment inclus du personnel d’un certain nombre de membres de l’OTAN, dont la Pologne et les États-Unis, comme ceux de l’organisation contractuelle américaine du Groupe d’observation Forward, qui a publié des photos sur les médias sociaux annonçant son implication.
Face à cette incursion en territoire russe qui ne cachait même plus qu’elle était menée en étroite collaboration avec les forces de l’OTAN, la participation y compris sur le terrain et pour la logistique d’unités émanant de différentes nations européennes dont la France, la Grande Bretagne avec la complicité d’une partie des responsables États-uniens cherchant à forcer la main dans l’escalade à leur propre gouvernement, l’aventurisme de certains dirigeants dont Macron a été révélé. Il fallait toute la servilité de nos médias pour nous présenter cette opération comme une victoire ukrainienne.
Un mensonge de propagande éhonté, alors même que cette opération sur le plan militaire était pour le moins sans intérêt pour l’armée ukrainienne, face auquel les responsables russes ont été particulièrement francs en exprimant leur gratitude pour l’intervention de l’armée populaire coréenne pour soutenir l’effort de guerre du pays contre l’Ukraine et ses partisans, le ministre des affaires étrangères Sergey Lavrov déclarant en juillet : « les soldats héroïques de l’armée populaire coréenne et les militaires russes ont rapproché la libération de la région de Koursk avec le coût de leur sang et même de leur vie. « Il a ajouté que ce monument aux membres de l’armée populaire coréenne qui ont combattu à Koursk serait érigé en Russie, sous une initiative qui a été « entièrement soutenue par nos amis nord-coréens. ”
Avons-nous prêté assez d’attention à ce moment ? Certainement pas, comme d’ailleurs nous assistons à la même complicité de fait autour du dangereux moment que nous sommes en train de vivre et sur lequel sans la moindre illusion je tente aujourd’hui d’attirer l’attention de la foire aux vanités de mon malheureux pays.
Danielle Bleitrach
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