Aujourd’hui c’est juré, nous n’allons pas parler de ce monde là, hélas le nôtre mais, dans le cadre de la petite rencontre en catimini que je donne dans cette petite librairie des quartiers nord, témoigner du fait qu’il existe un autre monde. Tandis que notre monde paraît n’engendrer que les bassesses, le pousse toi que je m’y mette, tandis les communistes ou ce qui en tient lieu à Marseille poursuivent leur déshonorante censure comme ils l’ont fait quand nous avons fait venir les mères d’Odessa… Suis-je vraiment condamnée à vivre avec des gens qui ne savent que m’offrir cette charpie du coeur et cette lâcheté devant mes cheveux blancs, n’ont-ils rien d’autre comme ambition ? il faut absolument que j’arrive à vaincre le mépris qui ne sert à rien, comme dans d’autres histoires apprendre à quitter sans détester, en restant sur l’essentiel la lucidité sur ce qu’il faut réellement vaincre et sur nos limites à tous, ce qui rend impossible de coexister, dans l’action, mais qui ne nie pas ce qui peut être fait chacun de son côté. Dans la confusion des temps, un tel apprentissage est nécessaire, aujourd’hui il y a mieux à faire, il reste à expliquer à une poignée ce qui existe et demande simplement à exister de différent, une alternative… Oui comme je le disais en revivant les derniers instants d’Aragon, Voilà j’ai les cheveux blancs dans un temps de défaite, les miennes si nombreuses avec tant d’intimes et secrètes trahisons, celles de mon malheureux pays dans cette ville où je suis née, dans ce temps jadis que Marc Bloch proclamait déjà être celui de l’étrange défaite, 1938 … en écho toutes ces démissions de 2025. Quel étrange personnage je suis devenue , une vieille folle peut-être? Mon honneur est de savoir que je ne suis pas Aragon, les livres que j’écris, je ne m’en revendique pas l’auteur, je n’en réclame aucun droits, je m’en laisse dépouiller par le passant, au concours des vanités, peut-être qu’ils en feront quelque chose, comme une pierre… au jeu des ricochets mes mots ne sont que les porteurs momentanés d’une espérance qui ne peut mourir. Seule me console la vision d’un tableau de Matisse et quelques autres, quelques lignes d’Aragon et l’idée que demain, comme il me l’a dit, je découvrirai un jeune homme ou une jeune fille en train d’inventer le siècle… Ils sont déjà là et eux seuls m’importent…
N’oubliez pas si la Chine et ce monde multipolaire bien réél vous intéresse, ce soir à 17 heures librairie l’île aux mots, rue Urbain V, à Marseille 1302…
Les amis de Kaja Kallas (la représentante de la Commission de l’UE qui s’est autoproclamée ministre des affaires étrangère comme Ursula se prend pour la présidente de l’Europe) ont lancé un ultimatum à la Chine.
« Si la Chine veut avoir de bonnes relations avec l’Estonie, elle doit cesser de soutenir la Russie ! »
Déclaration officielle de la ministre estonienne des affaires étrangères Margus Tsahkna.
Maman… Je ne sais pas…
La Chine va-t-elle s’en sortir sans l’Estonie.. Nous sommes inquiets… (note de Danielle Bleitrach pour histoireet societe)
Remarquez dans le même genre, le secrétaire général de l’OTAN, vu que personne ne veut du « cheval blessé » et surtout du gouffre financier que représente l’Ukraine, s’est refendu d’une déclaration qui n’est pas mal non plus dans le genre. Est-ce que ces gens ont conservé au moins le sens du ridicule, on peut en douter…
Le secrétaire général de l’OTAN, Rutte, a mis en garde Trump contre une « terrible menace » pour les États-Unis si l’Ukraine était contrainte de signer un accord de paix défavorable
▫️Selon lui, forcer Kiev à signer un accord défavorable pourrait devenir un « cadeau » pour la Chine, la Russie, l’Iran et la Corée du Nord, les incitant à de nouvelles actions.
▫️« Nous ne pouvons pas permettre que Kim Jong-un, Poutine, Xi Jinping et l’Iran soient satisfaits l’un de l’autre parce que nous sommes parvenus à un accord qui ne convient pas à l’Ukraine, car à long terme, cela constituera une menace sérieuse pour la sécurité. non seulement pour l’Europe, mais aussi pour les États-Unis.»
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