il ne peut pas y avoir la moindre démocratie, la moindre confiance dans les institutions quand tout repose sur la concurrence, l’art et la manière d’écraser non pas l’adversaire mais y compris le proche, celui qui devrait être votre compagnon avec les mêmes buts. Nous avons un besoin urgent de démocratie pour participer à ce monde qui nait…Ce monde qui est déjà là et qui contraint celui qui meurt à de périlleuses tactiques défensives. Tout cela mérite un autre regard de la part de ceux qui ont intérêt au changement , un regard mais aussi des actes…
Dans le capitalisme et l’impérialisme, il n’y a de coopération que dans la concurrence autour de la répartition des fruits de l’exploitation à outrance des Etres humains comme de la nature, qu’elle soit soit institutionnalisée ou devenue latente c’est pareil. C’est le mode de fonctionnement « naturel » « d’un tel système et il fait de cette société civile une bête sauvage selon le mot de Hegel avec un Etatn principe rationnel défendant néanmoins l’intérêt général, non pas de tous mais de la classe dominante.. La démocratie n’est alors que la « dictature » de cette classe sous des formes plus ou moins supportables mais qui interdisent toujours le transfert du pouvoir.
Quand cet Etat lui même est entrée dans une telle décomposition, quand il n’a plus d’autre princpe de régulation que l’absurdité, le grotesque, ce n’est pas « le parlementarisme » qui est en cause, celui-ci n’est même plus en cause tant il est en lambeau, c’est un mélange de présidentialisation qui ne doit de compte à personne et gouverne avec un corps de technocrates et leurs maitrise de la presse, et qui crée un décor consensuel autour de leur pillage.
Il n’y a pas un de ces pilleurs qui n’assortissent pas ses actions en bourse d’un appareil publicitaire, destiné d’abord à se vendre pour récolter des investissements mais aussi pour assurer le consensus des victimes de l’épargnant à l’ouvrier chassé de son emploi, le tout assorti du clinquant de l’objet du « désir »… et la justification des guerres… Vive la mort…
Aujourd’hui nous vous exposons à travers divers articles comment dans un tel système l’anomie, le fonctionnement collectif dans l’intérêt général est impossible. Tout collectif est un groupe mafieux sur des intérêts temporaires autout d’un parrain ou d’un gourou qui tient très peu de temps.
C’est le sens de tout ce que nous publions aujourd’hui en particulier autour de la guerre en Ukraine et de l’escalade très dangereuse autour de laquelle s’est élaboré de fait un consensus.
Le véritable problème n’est pas la puissance de ce système mais sa capacité à corrompre chacun et à diviser pour que rien de ce qui pourrait le combattre ou le remplace ne puisse exister.
MAIS DEMAIN SERA UN AUTRE JOUR, CELUI DE LA REUNION A MARSEILLE DANS CETTE PETITE LIBRAIRIE « L’ÎLE AUX MOTS » A 17 HEURES DANS LES QUARTIERS NORD
JE VOUS DIRAI, COMME TOUS LES ARTICLES Qu’HISTOIRE ET SOCIETE , LA REALITE DU MONDE…
CE MONDE DANS LEQUEL , ON NOUS ENFERME A DEJA PERDU ET JE NE SUIS PAS INQUIETE POUR LA PLANETE. JE FAIS CONFIANCE A CE QUI NAIT
JE VOUDRAIS SIMPLEMENT QUE CEUX QUI ON INTERET A CE CHANGEMENT SE REVEILLENT ET AGISSENT AUTREMENT .
RENDEZ-VOUS DONC POUR CEUX QUI LE POURRONT DEMAIN A 17 HEURES … ON VA ESSAYER DE SE COMPRENDRE…
L’île aux mots . Jeudi à 17 heures autour du livre quand la France s’éveillera…
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