On reste stupéfait devant ce que désormais après le peuple des Etats-Unis , ceux de l’UE, la France en particulier sont devenus aptes à gober de mensonges et de provocations au nom de la « démocratie ». Jusqu’à quel degrés de tolérance iront-ils face à ceux qui leur mentent sur ce qu’ils prétendent leur imposer au nom de leurs guerres et de leurs profits en ne mesurant pas qu’un peuple qui en opprime d’autres ne peut pas être libre? L’arrogance de ces gens là, leur droit au pillage, à la mort n’a d’égal que les cris de la hyène que le Nobel a osé élire et qui supplie que l’on bombarde son pays. Pendant que le music hall des âmes nobles qui sévit au nom de la gauche et censure jusque dans le journal l’humanité, s’interroge sur la démocratie de la Chine, tandis que l’on continue d’une manière plus ou moins larvée à faire coïncider communisme et « dictature » tout en accordant des brevets de démocratie aux USA ou aux gouvernements européens, depuis des centaines d’années des peuples subissent cette arrogance criminelle et trouvent des fantoches, des guerriers par procuration pour revendiquer notre conception de la liberté. Celle qui osait mener campagne contre le socialisme tandis que Pinochet torturait les enfants devant leur mère pour les forcer à parler, pendant que partout s’imposait le pillage dit néolibéral et encore et toujours les blocus, l’asphyxie programmée de populations civiles, voire l’intervention armée contre les peuples coupables de défendre l’usage de leurs ressources… (note et traduction de danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
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31 octobre 2025

🔥 Les essentiels de cette actualité
- Le sénateur Rick Scott avertit Nicolás Maduro que ses jours sont comptés, conseillant au président vénézuélien de faire ses valises face à la pression croissante de Washington.
- Scott évoque une possible intervention militaire, mais tempère en disant que l’armée américaine ne déclenchera pas une guerre, bien que des troupes puissent intervenir si nécessaire.
- Washington renforce sa présence navale autour du Venezuela, avec l’USS Gerald R. Ford en route, sous prétexte de lutter contre le narcotrafic orchestré par Maduro.
Le sénateur républicain Rick Scott, qui ne mâche jamais ses mots face au régime vénézuélien, a lancé une attaque frontale contre le président Nicolás Maduro lors d’un passage remarqué sur CBS ce dimanche 26 octobre.
Invité dans l’émission 60 Minutes, l’élu de Floride a adressé un avertissement glacial au président vénézuélien, lui conseillant de faire ses valises alors que Washington renforce sa présence militaire autour du Venezuela. « Ses jours sont comptés », a-t-il lâché sans détour face aux caméras de la chaîne américaine.
Cette déclaration fracassante intervient dans un contexte de tensions croissantes entre Washington et Caracas, où les États-Unis semblent prêts à passer à la vitesse supérieure.
Scott, porte-voix des positions dures contre le régime bolivarien, ne fait que confirmer ce que beaucoup suspectent : l’administration américaine prépare peut-être un changement de régime à sa frontière sud.
Le timing de ces menaces n’est probablement pas anodin, alors que le Venezuela traverse une crise économique catastrophique, aggravée par des années de sanctions américaines qui ont surtout affecté la population ordinaire.
L’avertissement glacial
« Si j’étais Maduro, je partirais pour la Russie ou la Chine dès maintenant. Que ça vienne de l’intérieur ou de l’extérieur, quelque chose va arriver », a affirmé Rick Scott d’un ton qui ne laissait place à aucune ambiguïté.
Toutefois, il ne faut pas s’emballer. Malgré les navires américains qui rôdent près des côtes vénézuéliennes, le sénateur républicain a tempéré l’idée d’une invasion militaire imminente.
« Je ne pense pas que l’armée américaine déclenchera une guerre. Si on le faisait, je serais surpris. Le public américain est fatigué des guerres sans fin… », a-t-il expliqué
L’élu a ensuite ajouté cette nuance qui laisse la porte ouverte :
« Mais des troupes pourraient intervenir dans le monde si nécessaire. »
Pressé de clarifier ses propos, Rick Scott s’est montré direct sur les intentions américaines dans la région sud-américaine.
« L’Amérique va s’occuper de l’hémisphère Sud et veiller à la liberté et à la démocratie. »
Le sénateur y va franco : selon lui, un effondrement du régime de Maduro pourrait créer une réaction en chaîne à travers les Caraïbes. Scott pousse même le bouchon plus loin en prophétisant « la fin de Cuba ».
L’île communiste, qui survit largement grâce aux livraisons de pétrole vénézuélien à prix cassés, pourrait se retrouver à sec si son allié bolivarien venait à tomber.
Washington muscle son jeu aux frontières
Sept navires de guerre sillonnent déjà les Caraïbes et un autre patrouille le golfe du Mexique. Le prétexte officiel ? La guerre contre la drogue, bien sûr. Mais pas n’importe quelle drogue : celle qui viendrait du Venezuela et, par extension, celle qu’orchestrerait Nicolás Maduro selon le récit américain.
Trump n’a pas fait les choses à moitié dans cette démonstration de force. Il vient même d’annoncer que l’USS Gerald R. Ford – excusez du peu, le plus imposant porte-avions de la planète – va bientôt rejoindre cette armada conséquente.
L’USS Gravely a accosté samedi à Port-d’Espagne, où il demeurera jusqu’au 30 octobre pour des manœuvres militaires avec l’armée de Trinité-et-Tobago.
De son côté, Nicolás Maduro a vivement rejeté vendredi les accusations de narcotrafic qui pèsent contre lui, déclarant que Washington « fabrique une guerre sans fin ».
« Ils avaient juré de ne plus jamais partir en guerre, et voilà qu’ils en inventent une que nous allons éviter à tout prix », a-t-il lancé
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