Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

« Le blocus est une politique de châtiment collectif » mais Cuba n’est pas Miami…

Voilà ce qui doit être dit et répété, parce qu’en défendant Cuba chacun défend son propre droit à la vie, la souveraineté de ses choix fondamentaux et sa propre liberté… mais en ce qui concerne Cuba, si en terme de « matérialisme historique »: la preuve du socialisme c’est le peuple, il n’y a pas de meilleure illustration d’une telle affirmation et nul plus que le peuple cubain, n’a conscience d’être essentiel à la direction fut-ce celle du génie politique qu’était Fidel: il ne pourrait rien faire sans nous y « soy Fidel ». C’est pourquoi la véracité de ce discours à l’Assemblée des Nations Unies du ministre des affaires étrangères dénonçant le blocus et disant le défi de Cuba face au crime, est dans cette vidéo de la résistance collective à l’ouragan Melissa… Le blocus c’est au quotidien l’équivalent de ce cataclysme venu d’un monde avide et pervers sur un peuple qui affronte ensemble le malheur et le fait en riant, plaisantant, dansant jusqu’à la limite de ses forces et chez qui l’armée est celle du peuple pas une force de mort et de répression, un peuple en uniforme de combat mais pas militarisé. Tout cela n’est pas un rêve, une propagande, je l’ai vécu et si je sais que le socialisme n’est pas le paradis, je sais aussi que c’est là où « l’honnêteté  » individuelle et collective a encore un sens. note de danielle Bleitrach pour histoireetsociete.

L’objectif stratégique du blocus est de provoquer un soulèvement social qui conduirait au renversement de l’ordre constitutionnel que les Cubains ont librement choisi à l’occasion de plusieurs référendums

Auteur: Rédaction numérique | informacion@granmai.cu

30 octobre 2025 13:10:33

Mundo
Le ministre cubain des Relations extérieures a dénoncé devant les Nations unies le blocus économique, financier et commercial criminel imposé à Cuba. Photo: Relations extérieures, tirée du compte X du ministère des

Discours du ministre des Relations extérieures de la République de Cuba, Bruno Rodriguez Parrilla, lors de la présentation du projet de Résolution A/80/L.X, intitulé « Nécessité de mettre fin au blocus économique, commercial et financier imposé par les États-Unis d’Amérique contre Cuba ». New York, 29 octobre 2025

 Madame la Présidente,

 Je tiens à exprimer mes sincères condoléances et ma solidarité aux gouvernements et aux peuples de la Jamaïque, d’Haïti et de la République dominicaine, qui ont subi des pertes humaines provoquées par l’ouragan Melissa. Je tiens également à exprimer mes condoléances au Panama, qui a subi des pertes dues à des pluies intenses, et à adresser nos meilleurs vœux aux Bahamas et aux Bermudes.

 Je parle au nom d’un peuple qui, à l’heure actuelle, fait face, avec des ressources limitées, porté presque uniquement par sa volonté, son unité et sa solidarité, à un ouragan monstrueux. Comme l’a déclaré hier soir le leader de la Révolution cubaine, Raul Castro Ruz, et je cite : « … face à ce nouveau défi, nous sortirons également victorieux ».

 Nous avons entendu le discours ignoble, menaçant, arrogant, mensonger et cynique du nouveau représentant permanent des États-Unis, qui ne se trouve pas dans cette salle. Nous nous y attendions, connaissant les origines de cet individu et ses liens troubles avec le secrétaire d’État, les mafias des sous-traitants militaires et la clique politique de Miami.

 Hier, depuis cette tribune, il a déclaré qu’il allait se référer à des faits, mais il a fait exactement le contraire. Je me contenterai de rappeler ce qu’il semble ignorer malgré ses responsabilités, ou pire, ce qu’il dénature peut-être avec une volonté mensongère : les lois et les réglementations d’agression économique de son pays contre Cuba ne sont pas ambiguës en matière d’actions et d’ambitions. Elles déclarent ouvertement en terme de loi l’objectif de restreindre les relations commerciales, d’investissement et de crédit de Cuba avec tous les pays. Elles établissent également, dans le corps de la loi, l’obligation pour les diplomates étasuniens de se conformer à ce mandat dans leurs contacts avec les fonctionnaires des gouvernements que vous représentez.

 Je recommanderais à mes collègues des États-Unis de lire les Titres I et III de la loi Helms-Burton et le contenu de la loi Torricelli.

Les actions parlent d’elles-mêmes et je m’y référerai clairement. Cette Assemblée pourra déterminer par elle-même, comme elle le fait depuis 33 ans, si nous sommes oui ou non face à un blocus économique.

 Au cours des dernières semaines, le Département d’État a déployé des pressions, des intimidations et des manœuvres toxiques brutales et sans précédent à l’échelle mondiale pour contraindre les États souverains à modifier leur vote sur la Résolution que nous adopterons aujourd’hui. Il a utilisé toutes ses armes et toutes ses ruses, notamment la coercition.

 Cependant, la vérité, le droit, la raison et la justice sont toujours plus puissants et plus convaincants.

 On ne peut ignorer que, en vertu de la politique criminelle du gouvernement des États-Unis à l’encontre de Cuba, mon pays est cruellement privé, partout dans le monde, de l’utilisation des systèmes bancaires pour effectuer des encaissements et des paiements.

 Il est privé de l’accès aux sources de financement courantes, aux capitaux d’investissement, aux envois de fonds, à la technologie pour l’industrie, la production alimentaire, les infrastructures, le développement scientifique et les services, y compris les plus sensibles, comme la santé.

 L’objectif stratégique du blocus est de provoquer un soulèvement social qui aboutirait au renversement de l’ordre constitutionnel que les Cubains ont librement choisi à l’occasion de plusieurs référendums.

 Le secrétaire d’État est la réincarnation malveillante, corrompue et frauduleuse de Mallory, et le représentant permanent est devenu son porte-parole. Comme on le sait, l’impact de ce type d’agression n’est pas seulement économique. Il est appliqué de manière délibérée, avec une froide préméditation quant à son impact social et humanitaire sur des millions de personnes.

 À Cuba, par exemple, on a constaté ces dernières années, et je le dis avec douleur, la détérioration de certains indicateurs de santé qui, bien qu’ils restent remarquables pour un pays en développement et comparables à ceux des pays industrialisés, sont aujourd’hui inférieurs aux indices que notre pays avait progressivement réussi à atteindre.

 Un exemple en est la mortalité infantile qui, après des années consécutives avec des taux inférieurs à cinq pour mille naissances, s’établit à 8,5 au premier semestre de cette année.

 Il faut bien mentir, comme l’a fait le représentant permanent des États-Unis, pour dissocier ce résultat de l’impact du blocus économique sur la viabilité du système de santé, tout comme on ne peut pas dissocier de celui-ci les indices d’espérance de vie, de mortalité maternelle ou de disponibilité de médicaments fortement subventionnés pour la population.

 Rien qu’entre le 1er mars 2024 et le 28 février dernier, le blocus a causé à Cuba quelque 7, 5561 milliards de dollars de dommages et de préjudices matériels. C’est un impact semblable au produit intérieur brut nominal d’au moins 30 pays, parmi ceux qui sont représentés ici selon les données de la Banque mondiale.

 Cependant, les dommages causés par le blocus ne se traduisent pas seulement en chiffres et en préjudices matériels, mais aussi dans la vie quotidienne de nos compatriotes. Aucune personne, famille ou secteur n’échappe à ses effets quotidiens et dévastateurs.

 Dailiannis, une jeune Cubaine de 29 ans atteinte d’une cardiomyopathie hypertrophique qui peut mettre sa vie en danger, a besoin de l’implantation d’un défibrillateur automatique auquel Cuba n’a pas accès. Dailiannis et tant d’autres patients cubains atteints d’une pathologie semblable sont en attente de ce type d’implant.

 Abdiel, un enfant de six ans, a besoin d’une opération de la hanche qui nécessite une greffe osseuse. Ce tissu est produit à la banque de tissus de l’hôpital « Frank País », mais le processus indispensable de lyophilisation est paralysé par l’absence d’un capteur. Il n’a pas été possible de l’acheter, même en disposant des fonds nécessaires, car les entreprises qui le fournissent, en raison du blocus imposé à Cuba, refusent de le vendre conformément aux pratiques commerciales habituelles.

 Il ne s’agit pas de dommages collatéraux. Ce ne sont pas des cas isolés. Ce sont des expériences quotidiennes. Ce sont des êtres humains innocents qui souffrent.

 La créativité de nos institutions et des professionnels qui y travaillent est extraordinaire et très louable, mais on ne saurait mesurer l’angoisse que cela génère pour les familles cubaines, ni la tension que cela représente pour le système de santé publique, de ne pas pouvoir compter sur ces médicaments ou ces intrants médicaux lorsqu’ils sont nécessaires.

 Depuis 2019, le renforcement du blocus s’est traduit en grande partie par une intensification de la traque des opérations d’approvisionnement en carburant, y compris des compagnies maritimes, des compagnies d’assurance, des banques et des gouvernements, ce qui a entraîné pour Cuba une réduction du nombre de fournisseurs et une augmentation exponentielle des prix.

 Les coupures d’électricité sont aujourd’hui l’un des effets les plus visibles et les plus douloureux du blocus économique à Cuba, avec des conséquences quotidiennes, parfois désespérantes, pour les familles. Elles ont également un impact sur d’autres secteurs, tels que l’approvisionnement en eau, les processus de production, les services et l’économie dans son ensemble, ce qui pèse sur la population.

 Il y a quelques mois, une entreprise et un gouvernement ami de celle-ci ont déclaré qu’il était impossible de fournir une pièce de rechange et une simple assistance technique pour réparer une centrale thermoélectrique cubaine en raison de la menace de sanctions étasuniennes.

 Un autre secteur vital de l’économie particulièrement touché est celui du tourisme. Aujourd’hui, on intimide les citoyens de plus de 40 pays en les menaçant de représailles de la part du gouvernement étasunien et l’interdiction d’accéder au système électronique d’autorisation de voyage ou de visa (ESTA) s’ils décident, dans l’exercice élémentaire de leurs droits, de se rendre à Cuba.

 Le gouvernement des États-Unis prive non seulement ses propres citoyens du droit de se rendre à Cuba, mais il cherche également à priver, par la coercition, les citoyens d’autres pays qui ne relèvent pas de sa juridiction, notamment les citoyens européens.

 L’une des mesures à l’impact le plus grand est la présence injustifiable de Cuba sur la liste unilatérale et arbitraire publiée par le gouvernement étasuniens des États qui soi-disant soutiennent le terrorisme.

 Cuba est un pays victime du terrorisme. Nous l’avons déjà démontré devant cette Assemblée. Depuis des années et encore aujourd’hui, des actes terroristes contre le pays sont organisés et financés depuis le territoire des États-Unis. Des auteurs reconnus d’actes d’agression horribles contre le peuple cubain, qui ont fait des milliers de morts, de mutilés et d’importants dégâts matériels, vivent ici tranquillement et en toute impunité. En 2023, nous avons remis au gouvernement étasunien les noms et les coordonnées de 62 terroristes et de 20 organisations terroristes qui agissent contre Cuba depuis ce pays, et aucune mesure n’a été prise à ce jour.

 La guerre économique comprend un programme complet de déstabilisation. Je vais dénoncer ces actions pour la première fois : cela inclut un programme intégral de déstabilisation organisé, financé et exécuté directement par le gouvernement des États-Unis, avec l’aide d’agents d’origine cubaine basés dans ce pays et dans d’autres.

 Ils ont pour mission, pour mandat, de faire baisser le niveau de revenus de la population par la manipulation spéculative du taux de change de la monnaie, ce qui a un effet direct sur la hausse des prix, la propagation sur les réseaux de messages intimidants et alarmistes, et de ce fait la perturbation du comportement naturel du marché. Il en résulte un préjudice grave pour les revenus de chaque Cubain et des obstacles supplémentaires aux programmes de stabilisation macroéconomique.

 Pour ce faire, ils ont recours au blanchiment de l’argent du budget fédéral étasunien en utilisant des fonds alloués par le Congrès des États-Unis et utilisés par le Département d’État, des organisations non gouvernementales et des entrepreneurs qui les canalisent.

 Notre gouvernement dispose de preuves irréfutables de ces opérations, avec des données, des noms, des contacts, des communications et l’implication directe du gouvernement des États-Unis et de ses diplomates. Il s’agit d’une activité criminelle au regard du Droit international, des lois cubaines y compris des lois étasuniennes.

 Les États-Unis ont tenté de vendre l’idée que le blocus est une justification utilisée par le gouvernement cubain pour dissimuler ses inefficacités ou les erreurs de son modèle de développement.

 Cette campagne politique s’appuie sur une opération de communication et numérique qui, par le biais de désinformation toxique, d’euphémismes, de silences sélectifs et d’une saturation coordonnée des messages, cherche à faire croire que le blocus n’existe pas ou n’affecte pas la population.

 Le gouvernement étasunien tente non seulement de nier ou de minimiser l’effet du blocus, mais il pénalise également ceux qui en documentent les effets, en recourant à des campagnes de discrédit, à des cyber-troupes rémunérées par des fonds destinés au « changement de régime » et à la censure algorithmique de la part des plateformes technologiques qu’il possède sur les contenus nationaux cubains.

Ce serait mentir aujourd’hui et demain de nier que, sans le blocus, les problèmes économiques de Cuba pourraient être résolus plus efficacement et plus rapidement.

 En réalité, les promoteurs mêmes de la politique de blocus et de pression maximale se vantent de son effet destructeur et de sa capacité à affecter le niveau de vie de tout un peuple. Il suffit de consulter les déclarations du secrétaire d’État étasunien et des politiciens qui ont bâti leur carrière et leur fortune sur l’agression contre Cuba.

 Si le gouvernement des États-Unis a la moindre préoccupation quant à « l’aide à apporter au peuple cubain », qu’il suspende le blocus ou fasse des exceptions humanitaires en raison des dommages que l’ouragan Melissa causera et cause déjà.

 Cuba est un pays de paix. Aucune personne sensée et dotée d’un minimum d’honnêteté ne peut prétendre que Cuba représente ou cherche à représenter une menace pour la sécurité nationale des États-Unis, une grande puissance, et pour le bien-être du peuple étasunien.

 Quel pays a déployé des forces militaires de manière agressive, extraordinaire et injustifiée dans la mer des Caraïbes pendant que nous délibérons ici ? Lequel menace la paix, la sécurité et la stabilité de la région, et en particulier la paix et le droit à l’autodétermination du peuple frère vénézuélien ? Lequel a adopté la pratique criminelle consistant à commettre des assassinats en haute mer ou dans les eaux territoriales d’autres pays par l’intermédiaire de ses forces armées, comme c’est le cas aujourd’hui dans les Caraïbes ou dans le Pacifique ? Lequel a rempli notre région de bases militaires ? Qui élabore ouvertement des plans agressifs de subversion et de changement de régime contre les gouvernements progressistes ? Quel gouvernement est le complice direct, le fournisseur d’armes et le bailleur de fonds du génocide à Gaza ?

 Si le gouvernement des États-Unis souhaite contribuer à la paix dans « Notre Amérique », il doit retirer la menace militaire et accepter un dialogue civilisé, sans conditions préalables ni impositions, avec le Venezuela, la Colombie, le Nicaragua, Cuba et tous ceux avec lesquels il a des différends, ainsi qu’avec l’ensemble de la Communauté des États latino-américains et caraïbes.

 Le blocus est une politique de châtiment collectif. Il s’agit d’un acte de génocide. Il viole de manière flagrante, massive et systématique les droits humains des Cubains. Il ne fait aucune distinction entre les secteurs sociaux ou les acteurs économiques. 

 Je remercie sincèrement tous ceux qui, au cours de ce débat et lors du segment de haut niveau de la 80e session de l’Assemblée générale, ont élevé leur voix pour demander la fin du blocus et le retrait de notre pays de la liste infamante des États soutenant le terrorisme.

 Je remercie également les groupes régionaux et de concertation qui, tout au long de l’année, ont fait des déclarations fermes à ce sujet ; les nombreuses organisations et mouvements de solidarité avec Cuba à travers le monde ; les Étasuniens qui plaident en faveur d’une relation fondée sur le respect et l’égalité souveraine entre les deux pays.

 Je salue les déclarations des Cubains aux États-Unis et partout dans le monde qui, par leurs prises de position et leurs actions solidaires et patriotiques, s’opposent et luttent contre le blocus.

 Cuba ne capitulera pas.

 Nous continuerons à dénoncer l’infamie et les outrages. Nous exercerons avec détermination notre droit à décider de notre destin. Nous poursuivrons nos efforts pour surmonter nos difficultés actuelles et assurer la viabilité économique du pays, même si le blocus se poursuit ou s’intensifie.

 Avec José Marti, notre peuple réaffirme aujourd’hui : « …avant que nous ne renoncions aux efforts de rendre la Patrie prospère et libre, la mer du sud s’unira à la mer du nord et un serpent naîtra d’un œuf d’aigle ».

 Et avec Antonio Maceo : « Quiconque tentera de s’emparer de Cuba ramassera la poussière de son sol imprégné de sang, s’il ne périt pas dans la lutte ».

 Et avec Fidel Castro Ruz, nous proclamons à nouveau : « La patrie ou la mort, nous vaincrons ».

 Madame la Présidente,

 Au nom du peuple cubain, noble et solidaire, qui écrit depuis des décennies une admirable épopée de patriotisme, de justice, de résistance, de création et de sacrifice, je demande respectueusement aux États Membres de voter en faveur du projet A/80/L.6, intitulé « Nécessité de mettre fin au blocus économique, commercial et financier imposé par les États-Unis d’Amérique contre Cuba ».

 Ce sera, Mesdames et Messieurs les ambassadeurs, Mesdames et Messieurs les délégués, un acte de justice en faveur d’un peuple pacifique qui est aujourd’hui confronté, comme au blocus, à un autre ouragan monstrueux.

 Je vous remercie.

 AUTRES VOIX EN FAVEUR DE CUBA 

– Malaisie

« Il convient d’éliminer la pratique consistant à imposer des mesures unilatérales comme moyen d’atteindre des objectifs politiques, car les véritables victimes, ce sont les citoyens. »

– Saint-Christophe-et-Niévès

« Le blocus cause des souffrances au peuple cubain, notamment aux personnes âgées et aux enfants. »

 – Vietnam

« Le Vietnam se joint à la communauté internationale et demande une fois de plus qu’il soit mis fin à cette politique obsolète et inefficace. »

 – Mexique

« Le Mexique condamne catégoriquement l’application du Titre III de la loi Helms-Burton, mesure qui affecte non seulement la souveraineté du peuple cubain, mais aussi les intérêts nationaux de pays tiers. »

 – Nicaragua

« Le blocus es un mépris flagrant et absolu de la vie ».

 – Îles Salomon

« Le blocus, qui constitue un obstacle à la réalisation de l’Agenda 2030, doit prendre fin ».

 – Égypte

« Les mesures imposées à Cuba constituent un obstacle majeur au développement. »

 – Zimbabwe

« Nous appelons les États-Unis à reconsidérer cette politique. »

 – République démocratique populaire lao

« Que le peuple cubain ait la liberté de s’épanouir et de tracer son propre destin. »

CUBA N’EST PAS MIAMI et son peuple est en uniforme de combat révolutionnaire au service des plus faibles et des plus démunis…

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