Cette affiche éditée par le PCF dit la réalité de l’opinion française face à la provocation que constitue le plan Bayrou. Ce gouvernement et le président de la République sont à l’image de ce quarteron de chefs d’Etat et pseudo dirigeants de l’UE, tous ne représentant qu’eux-mêmes et en état d’équilibre instable qui hier a prétendu s’imposer dans les discussions entre le président des USA et celui de la fédération de Russie avec comme seul but torpiller les négociations et empêcher que Trump aboutisse à un état des lieux. Cette « coalition » qui se heurte au sein de l’UE à des résistances de l’Europe orientale qui n’attend plus rien des « grands pays » et qui soit attend tout du seul président des USA et de l’OTAN, soit envisage de renouer le contact avec la Russie pour éviter l’asphyxie.
Non sulement l’Europe a accepté de faire monter sa contribution à l’OTAN à 5% de son budget (le commandement étant toujours uS) et de promettre un achat d’armes aux USA mais déjà aujourd’hui les faits sont là pour la première fois le budget d’aide à l’Ukraine est supérieur à celui des USA :
Dans l’ensemble, tout type d’aides confondues, la différence entre le soutien des États-Unis et celui de l’Europe est encore plus visible depuis fin juin. En effet, ce ne sont pas moins de 167,4 milliards d’euros qui ont été déjà engagés par l’Europe, avec un projet de 90 milliards supplémentaires prévus, contre 114,6 milliards côté américain. Dans cette guerre, c’est la première fois depuis juin 2022 que les Européens devancent les États-Unis sur le terrain militaire. Pour le Kiel Institute, c’est avant tout le changement de méthode qui est notable : le Vieux Continent s’appuie de plus en plus sur son industrie de défense, et de moins en moins sur son stock déjà existant d’armement.
L’Europe sort le carnet de chèques
Par exemple, en mai et juin 2025, l’Europe a ajouté 10,5 milliards d’euros de soutien à la note. L’Allemagne a participé à hauteur de 5 milliards, la Norvège à hauteur de 1,5 milliard, la Belgique a soutenu avec 1,2 milliard. Le Royaume-Uni et le Danemark ont aussi participé dans une mesure comprise entre 500 et 600 millions. Par ailleurs, la moitié de cette enveloppe, 44%, correspond à des contrats avec des fabricants européens, parfois même installés en Ukraine.
mais le retrait de Trump signifie aussi que le budget de soutien à cet état en faillite et totalement détruit incombera toujours à l’UE.. On comprend que le sieur Bouyghes y trouve quelque avantage et finance le grotesque LCI, mais on s’interroge sur l’intérêt que peut avoir le sieur Kamenka de l’Humanité et Boulet qui il est vrai maîtrise assez bien les dons des fondations allemandes et les subsides de la mairie de Paris et s’assure sur ces bases une université d’été qui ne déparera pas la faible lutte contre ce trou dont nul ne sait exactement ce qui parvient aux Ukrainiens et ce qui termine dans les paradis fiscaux ou les flux d’armes terroristes.
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