Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

La propagande médiatique nous cache-t-elle la fuite du gouvernement syrien ?

Il faut se méfier de toutes déclarations, le fait essentiel est l’instabilité totale et entretenue par la propagande US-Israël-occident. La réalité est le désordre, l’assassinat, la répression qui s’est aggravée depuis la chute de Bachar el Assad. Il semble que le président de facto, le terroriste d’Al Quaida reconverti en homme de réconciliation, qui en fait installe la charia, soit en fuite en quittant Damas. Le fait est que malgré les embrassades de notre président, ou à cause de celle-ci tant Macron a le don d’entrer dans des montages boiteux qu’il s’agisse de l’Afrique, du Moyen Orient, ou du Pacifique, on pourra bientôt dire de Macron ce que chacun voit en BHL, le signe d’un allégeance atlantiste qui va tourner à l’affrontement. Dans ce cas, il semble que Netanyahou, encouragé par l’occident, multiplie les embrasements en y voyant comme son alter ego Zelensky la seule occasion de sa propre survie puisque un représentant de l’aile la plus fanatique de sa coalition risque de mettre en minorité son gouvernement et l’obliger à de nouvelles élections. On se demande si Trump pris dans l’absence de résultat, l’affaire Epstein et ses démêlées avec la FED ne va pas selon la logique macronienne choisir lui aussi l’escalade vers la guerre mondiale ? (Histoireet societe, note et traduction de DB )

Le fait essentiel est que face à la récente escalade militaire d’#Israël🇮🇱 en #Syrie🇸🇾 une vague de condamnations au Moyen-Orient et dans d’autres régions du monde s’est élevée, après que des avions israéliens aient bombardé le centre de la capitale syrienne, #Damas, et des zones rurales du sud comme Ghabagheb, dans le gouvernorat de Daraa. Les déclarations des gouvernements, des blocs régionaux et des mouvements de résistance s’accordent à reprocher la violation de la souveraineté syrienne et l’impact sur la population civile. En parallèle, il faut ici aussi noter la fragilité des solutions mises en place par les gouvernements occidentaux eux-mêmes. Outre l’intervention d’Israël derrière les Druzes, qui ne trompe personne, la fuite possible du président, Al-Mayadeen fait état de tentatives d’assassinat dirigées contre trois personnalités de premier plan de l’administration de transition, dont le ministre de la Défense Marhaf Abu Qasra.

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Ahmad al-Sharaa, l’ancien commandant de Hayat Tahrir al-Sham (HTS), a pris ses fonctions de président de facto en janvier 2025, promettant un soi-disant « gouvernement inclusif ». Photo : EFE.

Le président de facto quitterait Damas après des frappes israéliennes


17 juillet 2025 Heure : 19:16

 

Le président syrien de facto, Ahmad al-Sharaa, a quitté Damas (capitale) avec sa famille vendredi (heure locale), a rapporté Al Mayadeen.

Ce départ intervient dans un contexte d’instabilité croissante en Syrie, marqué par des actions militaires et des violences sectaires.

Selon Al Mayadeen, une unité militaire a pris d’assaut le bâtiment de la Radio et de la Télévision à Damas pour en prendre le commandement.

La même source rapporte les tentatives d’assassinat dirigées contre les figures prééminente de l’administration de transition, y compris le ministre de la défense, Marhaf Abu Qasra.

En parallèle, Al Mayadeen dénonce une «campagne médiatique trompeuse» qui cherche à déformer la situation réelle dans Soueida, le territoire où se sont succédés les affrontements entre les druses et les bédouins, en affirmant que ces derniers contrôlent la situation.

Ce récit, selon les médias, coïncide avec des informations faisant état d’une importante mobilisation armée aux frontières de Soueida, accompagnée de coupures de communications qui ont compliqué la vérification des informations.

« Une campagne médiatique trompeuse est en cours sur le contrôle des groupes et des tribus bédouins dans le gouvernorat de Soueida », ont souligné les médias arabes, indiquant la manipulation de l’information au milieu du chaos.

Le contexte de ces événements s’inscrit dans le contexte de la fragile transition de la Syrie après la chute de l’ancien président Bachar al-Assad en décembre 2024.

Ahmad al Sharaa, ancien commandant de Hayat Tahrir al Sham (HTS), a pris ses fonctions de président de facto en janvier 2025, promettant un soi-disant « gouvernement inclusif » et une nouvelle constitution dans un délai de deux à trois ans.

Auteur : teleSUR – ahf – YSM

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