· Il est un fait que tout le fan club de Zelensky ne peut nier sans mentir c’est qu’il existe seulement en Ukraine et dans les pays baltes une telle « béatification » des collabos, exterminateurs enthousiastes des juifs, communistes, roms et autre « nuisibles » … Mais ça devient contagieux… Au point que ceci est désormais considéré comme un aimable folklore alors que sont interdits tout ce qui de près ou de loin peut rappeler le communisme et la victoire de l’armée rouge.. On nous rétorque mais Zelensky est juif : justement ! Il faut être dans un état de décomposition totale pour qu’un juif patronne cela et le vende pour entretenir le massacre de son peuple au profit exclusif de puissances étrangères… Je vous le dis comme je le pense … et je vais continuer jusqu’à ma mort à vous dire que je suis prête à pardonner beaucoup mais pas ça… Et ceux qui ce 8 mai 2025 m’ont cravaché l’âme n’auront plus jamais droit qu’à mon mépris

La poste ukrainienne « Ukrposhta » a émis une série de timbres postaux à l’occasion du 75e anniversaire de la division SS “Galicie”.
🔸Agissant sous le commandement des unités mobiles allemandes d’extermination, les Einsatzgruppen, les membres de la division « Galicie » sont devenus les principaux exécutants de la politique de « solution finale de la question juive » en Ukraine.
🔸Les membres de cette division ukrainienne ont également été activement engagés contre les population civiles.
Tenez je vais jusqu’à essayer de vous comprendre et de me dire que peut-être si on n’est pas juif on peut se dire que La mairie de Bécon les Bruyères vaut bien la messe dite avec ceux qui blanchissent ces gens là parce qu’ils sont tout entier en train d’identifier les juifs avec cet autre héros des temps modernes Netanyahou. Et là c’est un autre problème, il existe une autre ordure qui au nom de la Shoah s’estime en droit de massacrer femmes et enfants à grande échelle.. Vous êtes groggy entre ce salaud ceux qui le justifient et vous considèrent vous même comme un traître et les antisémites qui se lèchent les babines et viennent vous insulter de leurs obsessions nauséabondes, vous traitent d’espionne du mossad infiltrée chez les anti-impérialistes… Ou d’autres encore plus nombreux qui se proclament de gauche communistes et trouvent normal que par haine de l’Union soviétique (hou! le méchant Staline réincarné dans Poutine) on nous refasse le coup de Ben Laden en Syrie derrière notre président, qui pelote comme il en a coutume son nouveau copain pourtant terroriste international reconnu…


Il y a des gens que cela rassure, mais pas un Allemand qui a découvert un jour ce qu’on avait fait de son peuple, pas moi mais visiblement ceux qui à leur manière sont tous derrière Macron et Zelensky ce 8 mai 2025 sont prêts à aller jusque là … c’était qu’ils le veuillent ou non le fond de leur discours même si par ailleurs mollement ils osent dire que le surarmement n’est pas la solution… Ils appuient la grosse Bertha mais feignent de protester sur le mode le tir au pigeon ce n’est pas bien et se gardent bien de demander des comptes…
Moi que voulez-vous à Bai Yar j’étais là… ma place était là, pas la vôtre vous aviez le choix et certains que vous trahissez aujourd’hui ont été ensevelis à côté de nous pour que votre héros célèbre nos bourreaux…


dans ces camions que tout le monde connaissait il était pratiqué le premiers gazages expérimentaux, les victimes étaient enfermées et le pot d’échappement tourné vers eux dans cette boite… quand après quelques kilomètres on ouvrait les morts puaient, ils s’étaient chiés dessus, plus le gaz, le début de décomposition. Comme les SS les seigneurs de la guerre ne devaient pas se commettre ceux qui nettoyaient étaient les collabos roumains, ukrainiens, comme ils étaient ceux qui recouvraient dans les fossés les cadavres dont certains remuaient encore avec de la chaux vive et de la terre, c’est ça ce Babi Yar que vous célébrez avec votre triste héros Zelenski
Les soviétiques n’ont pas assez dit qu’il s’agissait de juifs en majorité selon ceux qui tentent de réécrire l’histoire pour en inverser les responsabilités. Mais pour les Soviétiques c’étaient tous des soviétiques de toutes nationalités, puisque la nationalité juive existait et voici ce qu’un écrivain Alexis Tolstoï décrivait : Je crois que beaucoup de gens qui vivent loin de la guerre peuvent difficilement et même s’interdire d’imaginer des fossés antichars, où sous la terre entassée – un demi-mètre de profondeur, cent mètres de long – se trouvent des citoyens respectables, des vieilles femmes, des professeurs, des soldats de l’Armée rouge avec des béquilles, des écoliers, des jeunes filles, des femmes pressant des bébés aux mains pourries, dont l’examen médical a trouvé de la terre dans leur bouche. puisqu’ils ont été enterrés vivants. Il est difficile d’imaginer des soldats allemands appeler précipitamment dans le jardin, où ils cherchent une petite fille qui se cache parce qu’ils viennent de tuer son grand-père et sa mère pour avoir trouvé une photo d’un lieutenant de l’Armée rouge dans une malle ; Ils trouvent la fille dans un grand maïs et lui tirent dessus. Il est difficile de croire que les Allemands, la veille de la retraite, vendaient de l’alcool et du bicarbonate de soude à un prix raisonnable sur le marché de la ville, et que l’alcool était du méthyle et de l’acide oxalique dans les sacs avec l’inscription « soda ». Mais ils l’ont vendu, et plus de sept cents habitants crédules de la ville de Georgiesvsk ont été empoisonnés, sont tombés malades et sont morts. L’acte d’instruction, suivi de l’inculpation, attend les auteurs de cet empoisonnement afin de les traduire en justice.
Qu’en temps ordinaire vous vous interrogiez sur les responsabilités passe encore mais que le 8 mai vous osiez avec les bourreaux refuser par pure trouille que l’on célèbre la victoire, le rôle des Russes, Pourquoi? au nom de quoi infligez-vous et à ceux qui me ressemblent pareille ignominie et croyez vous que je peux pardonner ?
Certes on ne va pas tout à fait jusque-là on se contente de créer la confusion Zelenski et Barghouti dans sa prison ce serait le même combat… c’est la thèse que tente de nous vendre Vadim Kamenka et d’autres stipendiés toujours plus amalgamer leur petite frappe qui a vendu son peuple à d’autres causes plus respectables… Ils tablent sur la mémoire de poisson rouge des Français, leur incapacité à mémoriser qui est savamment entretenue y compris dans les manuels scolaires et tous les médias, la fabrication d’un consensus atlantique… Sans doute que quelqu’un qui n’est pas juif peut aller jusqu’à considérer qu’il y a des choses plus importantes mais moi ça m’est impossible
Connaissez vous la Shoah par balle et Babi Yar (en français, le « ravin des bonnes femmes »[4] ; en russe : Бабий Яр ; en ukrainien : Бабин Яр, Babyn Yar ; en polonais : Babi Jar) est un lieu-dit de l’ouest de la ville de Kiev (Ukraine) entre les quartiers de Louk’ianivka (Лук’янівка) et de Syrets’ (Сирець). je vais tenter de vous expliquer bien que je doute de plus en plus que vous compreniez autrement vous vous conduiriez différemment : C’est étrange mais un jour j’ai découvert en travaillant sur le film de Brecht et Lang : les bourreaux meurent aussi, que ceux qui m’étaient peut-être le plus proches dans la douleur de ce qui s’était passé sous le nazisme étaient les exilés allemands.
Les Russes n’en ont pas assez parlé, que voulez-vous des babi yar il y en a eu beaucoup… et voilà ce que décrivait Alexis tolstoÏ qui aimait la culture allemande, avait pris plaisir à rencontrer des intellectuels à Berlin…
À une heure de l’après-midi, le train, dans lequel se trouvaient environ dix-huit cents personnes, passa la gare de Mineralnye Vody, s’arrêta dans un champ et les officiers allemands qui l’accompagnaient examinèrent les plis du terrain à l’aide de jumelles ; ils n’étaient pas satisfaits de l’inspection, le train a fait demi-tour vers Mineralnye Vody, est passé sur la voie de garage et s’est arrêté à l’usine de verre, « Sortez, sautez par terre ! » ont crié les gardes allemands. Puis l’anxiété a commencé. Les membres du comité juif, parmi lesquels se trouvaient quatre médecins bien connus et le vieil écrivain Bergman, rassurèrent : « Les Allemands sont ennemis, les Allemands sont durs, mais ce sont aussi des gens cultivés, nous devons croire à la promesse du commandement… L’ordre de remettre les bijoux a suivi. Ils enlevèrent précipitamment leurs boucles d’oreilles, leurs bagues, leurs montres et les jetèrent dans leurs casquettes aux gardes. Dix minutes s’écoulèrent encore. Une voiture d’état-major arriva avec à son bord le chef de la Gestapo, Welben, et le commandant, Pohl. L’ordre s’ensuivit : « Tout le monde se déshabille nu…
Tout cela m’a été raconté par le seul vieil homme survivant Fingerut – il s’est caché sur la voie d’évitement dans l’herbe entre les roues de la voiture. Quand il y avait un ordre de se déshabiller, les gens se rendaient compte que c’était maintenant la fin de la vie, c’était maintenant l’exécution. Les gens ont commencé à crier, à se précipiter et à hurler tellement que leurs yeux ont éclaté et beaucoup sont devenus fous. Beaucoup se sont déshabillés – on ne sait pas pourquoi, les femmes sont restées en culottes, les hommes – en caleçon. Les gardes ont conduit la foule de ces personnes à travers l’aérodrome jusqu’à un fossé antichar à un kilomètre de l’usine de verre. Fingerut a vu un soldat allemand traîner deux enfants par les bras, a sorti un revolver et les a abattus. Ceux qui ont tenté de s’échapper ont été tués par des tirs. Plusieurs voitures tournaient en rond à travers les champs, tirant sur ceux qui fuyaient. Il n’est pas facile de tuer dix-huit cents hommes, après les avoir conduits dans un fossé antichar, ils furent fusillés d’une heure de l’après-midi jusqu’au soir.
Dans la nuit, des voitures fermées de la ville d’Essentuki ont commencé à s’approcher de ce fossé. Là, de la même manière, 507 Juifs valides et environ un millier et demi d’enfants, vieillards et femmes, provoqués par le Comité juif, sur ordre du commandant Beck, se sont rassemblés pour être réinstallés dans le bâtiment de l’école à la périphérie d’Essentuki, avec des bagages et de la nourriture. Ils ont attendu toute la journée pour la cargaison. Au bout de vingt heures, les gardes ont commencé à piller leurs bagages et à charger les gens dans des voitures par lots. Le lendemain matin, les deux mille personnes ont été tuées et jetées dans un fossé antichar à Mineralnye Vody.
D’après les dépositions des témoins et l’examen médical des cadavres, on peut établir que pour le meurtre, les Allemands ont utilisé, en plus du tir, la suffocation au monoxyde de carbone dans des machines hermétiquement fermées spécialement construites pour un tel meurtre. Le mécanicien automobile prisonnier de guerre Fenichel nous a donné une description détaillée d’un tel véhicule, construit à l’usine de construction de carrosserie de Berlin.
À Piatigorsk, de la même manière, deux mille huit cents Juifs, adultes et enfants, ont été convoqués de manière provocatrice pour la réinstallation, emmenés en voiture à Mineralnye Vody, tués et jetés dans le même fossé antichar. Les Allemands nettoient Piatigorsk dans les jours qui suivent. Le témoin Ostrovenets nous raconte : « Je vivais dans une cour où les Allemands avaient aménagé des cellules aux fenêtres murées pour les prisonniers. J’ai regardé une voiture noire et fermée s’approcher de ces cellules. Puis l’ordre a été entendu par les caméras : « Déshabillez-vous ». Des cris sauvages de femmes et d’enfants emprisonnés ont commencé. Puis, à moitié nus, ils ont été poussés hors de leurs cellules, conduits à l’intérieur et traînés par les cheveux dans une voiture. Sa porte se referma hermétiquement. Un officier et d’autres officiers de la Gestapo sortaient de la salle de prison, ils inspectaient toujours, pour une raison quelconque, le bas de la voiture. Après cela, le conducteur a allumé le moteur, qui a cependant fait un fort bourdonnement. Cela n’a pas complètement étouffé les terribles cris et piétinements des pieds dans la voiture. La Gestapo s’est mise à siffler et à rire bruyamment. Cela a duré cinq à sept minutes, après quoi la voiture s’est tue et elle est partie…
Les fouilles du fossé antichar de Mineralnye Vody, menées sous ma supervision, ont révélé une masse dense de cadavres sur cent cinq mètres. Nous avons déterminé le nombre de plus de 6 000 personnes tuées, il est quelque peu réduit par rapport aux témoignages sur la déportation de la population juive de Kislovodsk, Essentuki et Pyatigorsk. De toute évidence, toutes les tombes n’ont pas encore été découvertes. Ainsi, près de Kislovodsk, dans un ravin, près de l’Anneau, de fortes pluies ont commencé à emporter les cadavres d’enfants. Les fouilles à deux endroits de ce ravin ont révélé 161 cadavres d’adultes et 70 cadavres d’enfants. Ainsi, à Stavropol, on trouve encore des cadavres sur l’aérodrome lors du nettoyage des fissures.
À Piatigorsk, sur la montagne Mashuk, dans d’anciennes carrières, environ trois cents cadavres de citoyens de nationalité russe ont été découverts et identifiés. Aujourd’hui encore, sur la falaise de calcaire abrupte de la carrière, des taches noires et des éclaboussures de sang sont visibles, et entre les pierres, il y a des bouts de vêtements et des boucles de femmes. C’est là que les Allemands ont sorti des prisons des hommes et des femmes, parfois à moitié morts de terribles tortures. Des traces de torture ont été trouvées lors d’un examen médical – mâchoires déchirées, membres cassés et brûlés, crânes scalpés. Les gens étaient placés au bord d’une falaise, fusillés, puis des pierres étaient abattues par une explosion sur ceux qui tombaient. Sur le mont Mashuk, dans les briqueteries et ailleurs, 356 cadavres ont été retrouvés jusqu’à présent, dont 66 femmes et enfants.
Dans la ville de Stavropol, le 10 août, les Allemands ont tué 660 patients d’un hôpital psychiatrique avec du monoxyde de carbone dans leurs voitures. Le 12 août, les Allemands ont emmené trois mille cinq cents habitants de nationalité juive dans la zone de l’aérodrome et les ont abattus à la mitrailleuse. Le 15 août, cinq cents autres citoyens de nationalité juive ont été emmenés sur le territoire de l’hôpital psychiatrique, fusillés et enterrés dans des fosses de silos. En plus de ces massacres, les Allemands ont arrêté et exterminé la population russe de la ville – des gens dont ils ne voulaient pas pour une raison ou une autre. Au total, les Allemands ont tué plus de cinq mille cinq cents Russes et Juifs à Stavropol.
Le citoyen Konevsky, qui a échappé à la fusillade, raconte les meurtres du 12 août : « On nous a donné des pelles et on nous a ordonné de monter dans une voiture recouverte d’une bâche avec un groupe de 30 personnes arrêtées. Nous avons été emmenés hors de la ville, accompagnés de deux voitures avec des Allemands armés. À la périphérie de la ville, la voiture s’est arrêtée, les Allemands ont séparé huit personnes âgées et nous avons été emmenés à un endroit appelé Kholodny Rodnik au nombre de vingt-deux personnes. Là, on nous a emmenés dans une fosse de ciment – d’environ 8 mètres sur 12 – elle était remplie de cadavres de personnes et un peu saupoudrée de terre, à travers laquelle le sang suintait. Lorsque nous avons rempli ce trou avec des pelles, nous avons été obligés de remplir un autre trou plus petit, dans lequel il y avait aussi des cadavres. Lorsque cette fosse a été comblée, nous avons tous été emmenés à un kilomètre de là, dans plusieurs fosses et tranchées remplies de cadavres d’hommes, de femmes et d’enfants abattus, allongés en sous-vêtements ou complètement déshabillés. Non loin de l’une des tranchées, les huit hommes qui avaient été séparés de nous étaient allongés face contre terre. Ils étaient vivants. Quand nous avons commencé à travailler, un officier est monté en voiture, sur son ordre nous nous sommes couchés face contre terre, et ces huit ont été forcés par les Allemands de se lever et de s’approcher de la tranchée, ils ont été abattus avec une mitrailleuse et sont tombés là, après quoi nous avons continué à enterrer les cadavres. Avec nous se trouvait le professeur de mathématiques Goykh, dans la fosse remplie, il a soudainement reconnu les cadavres de ses deux enfants, a jeté la pelle et a sauté dans la fosse. Un officier s’est approché et a tiré sur le professeur.
Vers midi, trois camions se sont rendus à cet endroit, sur lequel étaient couchés et assis des soldats blessés de l’Armée rouge. Nous avons été forcés de prendre des photos des blessés, et ils ont été abattus sous nos yeux. L’exécution a été effectuée par des agents de la Gestapo – environ 25 à 30 personnes, je connais le nom de l’une d’entre elles – Bayer.
Et ainsi de suite, et ainsi de suite, je tourne les pages tristes des témoignages de témoins de meurtres de masse, de tortures dans la Gestapo, de viols de femmes et d’adolescents par des Allemands… J’ai lu le témoignage de la victime, Nastasya Suprun. Elle raconte comment elle a été torturée et torturée par l’enquêteur Fisher, essayant d’obtenir des aveux sur son lien avec les services de renseignement. Dans la cellule qui l’accompagnait se trouvait sa nièce Ninochka Suchkova, âgée de quatorze ans. Elle a également été interrogée par Fischer… Ninochka a été ramenée après la torture, elle est restée inconsciente pendant trois heures, l’écume du sang à la bouche. Quand elle s’est réveillée, elle a seulement dit : « Tante Asya, qu’est-ce qui va m’arriver ? » Lorsque la machine de mort est revenue après les massacres, Ninochka a été envoyée pour la nettoyer et la laver. Ninochka a déclaré que des morceaux de linge déchirés, de cheveux, de lunettes et d’excréments gisaient sur le sol de la voiture. Ninochka a de nouveau été emmenée pour interrogatoire, battue avec des bâtons et de nouveau inconsciente… Le 4 novembre, Ninochka a été sortie de sa cellule et personne ne l’a revue…
Qu’est-ce que c’est que tout cela ? Je demande : qui sont les Allemands ? Comment le peuple allemand a-t-il pu s’enfoncer au point que son armée ait accompli des actes dont l’humanité se souviendrait avec dégoût et frissonnerait pendant mille ans ? Par quel repentir et par quelles actions les Allemands pourront-ils laver la tache de la honte ? La tache de la honte, c’est le nazisme. Le peuple allemand n’a pas craché dans les yeux de son séducteur et a suivi Hitler pour tuer et voler. À ces Allemands qui ne se réveillent pas de la drogue brune maintenant, sans la remettre à demain.
Alexis TOLSTOÏ
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Etoilerouge
Je ne suis pas juif ni soviétique. J’ai honte honte que le gouvernement de mon pays, ses médias, ses partis politiques soient de tels manipulateurs de haine et de massacres contre les russes quelles que soient leurs nationalités dont les juifs et que l’on ose cacher la vérité à la jeunesse de mon pays. Que l’on accepte que l’Allemagne ce pays d’assassins se permette de dire nous nous aimons encore et encore.