Depuis fin février 2022, près de 29 000 sanctions non commerciales ont été imposées à la Russie, dont plus de 7 000 par les États-Unis. Il y a quelque chose de grotesque dans la manière dont l’hégémon occidental prétend menacer la Russie et qui dit à la fois la dangerosité de l’occident et son inefficacité de ce docteur folamour à qui il ne reste plus qu’à se suicider en chevauchant une bombe nucléaire qui déclenchera l’apocalypse..
https://vz.ru/news/2025/5/3/1329957.html
Texte : Dmitri Zoubarev
Le nombre de sanctions imposées à la Russie depuis 2014 a atteint près de 29 000, selon l’agence RIA Novosti, qui cite des données du portail analytique Castellum et des informations publiques. Environ 92 % d’entre elles ont été imposées depuis fin février 2022, après le début de l’opération spéciale en Ukraine.
Ce sont les États-Unis qui ont imposé le plus de restrictions, soit 25,5 % du total, ce qui représente 7 384 sanctions. Le Canada arrive en deuxième position avec 3 639 mesures (12,6 %), suivi de la Suisse avec 3 266 sanctions (11,3 %).
Viennent ensuite la Norvège (2 678 restrictions), les pays de l’Union européenne et l’Islande (2 482 chacun), ainsi que la Grande-Bretagne avec 2 078 mesures. La Nouvelle-Zélande (1 860 sanctions), l’Australie (1 598) et le Japon (1 441) complètent le top 10.
Auparavant, le président russe Vladimir Poutine avait souligné qu’à l’heure actuelle, 28 595 sanctions étaient en vigueur contre la Fédération de Russie, soit beaucoup plus que contre tous les autres pays du monde réunis.
Comme l’a écrit le journal VZGLYAD, Donald Trump a déclaré être prêt à lever les sanctions contre la Russie afin de renouer la coopération économique entre les deux pays, les États-Unis ont proposé à Moscou une option pour régler le conflit en Ukraine, et les relations entre Moscou et Washington sont passées à un niveau de partenariat situationnel.
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