Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Ziouganov : les revendications territoriales de Trump sont celles d’un impérialiste

Que dire ? sinon une fois de plus que cette analyse mériterait d’être publiée par l’Humanité mais qu’elle ne le sera pas et à la place nous aurons un texte confus qui diabolisera Trump au lieu d’en faire ce qu’il est, le représentant d’intérêts qui ont leur relais actifs en Europe et en France : « Les appétits invasifs de Trump ne sont pas le fruit de son imagination enflammée, mais le programme d’un groupe politique influent, une partie importante de la classe dirigeante des États-Unis. Cette conclusion est confirmée par l’hystérie propagandiste qui a commencé. Les politiciens et les médias de droite ont repris les slogans du futur président, les diffusant largement et de manière sophistiquée. Des cartes sont apparues sur lesquelles l’ensemble de l’Amérique du Nord, le Groenland et le canal de Panama sont inclus dans les États-Unis. » (note de Danielle Bleitrach, traduction de Marianne Dunlop pour histoireetsociete)

https://kprf.ru/party-live/cknews/231336.html

Tout le monde était préparé au fait que le retour de Donald Trump à la Maison Blanche apporterait des changements tangibles dans la politique intérieure et étrangère des États-Unis. Cependant, l’ancien et futur président a réussi à choquer même dans ces conditions. Premièrement, il a commencé à prendre des mesures radicales avant même d’entrer en fonction. Deuxièmement, ses actions étaient inattendues, même si l’on tient compte de la réputation scandaleuse de Trump.

Peu après l’annonce des résultats de l’élection, le républicain a tenu des propos très durs qui laissaient présager des projets d’expansion territoriale. Il a qualifié le Canada de 51e État des États-Unis et son chef de gouvernement de gouverneur. Selon M. Trump, la frontière entre les États-Unis et le Canada est « artificiellement tracée ». Le pays lui-même vivrait aux dépens des États-Unis.

Puis ce fut le tour du Panama, et plus précisément du canal de Panama. Depuis 1903, la zone de ce canal était sous la juridiction des États-Unis. Cependant, en 1977, les présidents des deux pays, Omar Torrijos et Jimmy Carter, ont signé un accord sur la restitution progressive de ce territoire au Panama. Le processus a été entièrement achevé en 1999.

Trump promet de remettre en cause les accords précédents. Il affirme que le contrôle du canal de Panama a en réalité été transféré à la Chine. Pour cette raison, les autorités panaméennes auraient augmenté les tarifs de transit pour les navires américains. Toutefois, ces deux affirmations sont fausses. Il est vrai que des entreprises chinoises ont remporté des appels d’offres pour gérer certains ports maritimes panaméens. Mais elles ne peuvent pas interférer dans le fonctionnement de l’artère interocéanique. Quant à l’augmentation des paiements, ce processus se produit régulièrement et touche tous les navires sans exception, y compris les navires chinois.

Les demandes de Trump au Danemark de céder le Groenland aux États-Unis n’ont pas été moins retentissantes. En réalité, Washington disposait déjà auparavant d’un sérieux moyen de pression sur Copenhague et sur la plus grande île du monde. En tant que membre de l’OTAN, le Danemark est en fait sous le contrôle des États-Unis. Leur base spatiale de Pituffik est située directement au Groenland. Jusqu’en 2023, elle était connue sous le nom de base aérienne de Thulé. Cette installation militaire dispose de l’infrastructure nécessaire pour accueillir jusqu’à 10 000 soldats et des bombardiers stratégiques B-52. Pendant la guerre froide, une station de détection radar précoce y a été construite.

Donald Trump n’est pas prêt à se satisfaire de tout cela. Il insiste pour que le Groenland revienne aux États-Unis. Selon lui, la mise en œuvre de cette idée répond aux intérêts de la sécurité nationale et de la « défense du monde libre contre les menaces de la Chine et de la Russie »

Le Mexique est un autre destinataire de la rhétorique belliqueuse du président élu. Trump ne parle pas d’annexer ce pays de 130 millions d’habitants. Il est plus facile pour lui de traiter avec le Canada, car sa population est de 40 millions d’habitants. Dans le même temps, le nouveau dirigeant américain a déjà exigé de changer le nom du golfe du Mexique en golfe américain, et son équipe considère qu’il est possible de mener ses propres opérations militaires « contre les syndicats de la drogue » sur le territoire mexicain.

Trump appuie généreusement ses déclarations fracassantes par des menaces de recours à la force militaire. Il promet que Washington pourra recourir à des méthodes extrêmes en cas d’intransigeance du Panama et en l’absence de progrès dans les négociations avec les autorités danoises.

Les appétits invasifs de Trump ne sont pas le fruit de son imagination enflammée, mais le programme d’un groupe politique influent, une partie importante de la classe dirigeante des États-Unis. Cette conclusion est confirmée par l’hystérie propagandiste qui a commencé. Les politiciens et les médias de droite ont repris les slogans du futur président, les diffusant largement et de manière sophistiquée. Des cartes sont apparues sur lesquelles l’ensemble de l’Amérique du Nord, le Groenland et le canal de Panama sont inclus dans les États-Unis.

Le terme « Doctrine Trump » est en train d’être inventé. Il s’agit d’une référence directe à la doctrine Monroe et à son interprétation élargie par le président Theodore Roosevelt. Depuis, cette ligne est connue sous le nom de « big stick politics » (politique du gros bâton).

Les parallèles sont plus que transparents. Au cours de son premier mandat présidentiel, M. Trump a choisi Ronald Reagan comme modèle. Aujourd’hui, l’ombre de Theodore Roosevelt plane sur le pays et le monde. C’est sous sa direction que les États-Unis ont assujetti la zone du canal de Panama, transformé Cuba en protectorat de facto et finalement occupé les Philippines pour en faire une colonie.

À cette époque, les États-Unis mènent une politique d’invasion active. En 1905, sous la menace d’une invasion, Washington a imposé des traités inégaux à la République dominicaine. Auparavant, une combinaison similaire avait été mise en œuvre contre le Venezuela. Sous le prétexte de rétablir l’ordre, les troupes américaines occupent Cuba et y restent jusqu’en 1909. « La mobilisation et l’envoi de troupes par mer les plus rapides jamais réalisés par notre gouvernement », s’est vanté Roosevelt en évaluant cette opération.

Aujourd’hui, des notes arrogantes résonnent dans les déclarations de Donald Trump. Rappelons qu’il a bâti sa campagne électorale sur la promesse de mettre fin aux conflits internationaux, d’annuler l’implication des États-Unis dans ces derniers et de se concentrer sur la résolution des problèmes intérieurs. Mais qu’est-ce qui a poussé l’homme politique à changer si rapidement et à se tourner vers des appels interventionnistes ?

Il semble y avoir plusieurs raisons. Tout d’abord, les déclarations scandaleuses et le contexte informationnel qu’elles créent devraient atténuer l’effet négatif de la politique sociale et économique de Trump. La nomination à des postes clés de représentants des grandes entreprises, dont les as de la finance de Wall Street, ne laisse planer aucun doute : « Trump 2.0 » poursuivra une voie encore plus néolibérale qu’auparavant. Par exemple, l’impôt sur les sociétés a été ramené de 35 % à 21 % lorsqu’il était président. Aujourd’hui, il est prévu de le ramener à 15 %. En outre, les plus grandes entreprises se voient promettre de nombreux avantages fiscaux.

Tout cela va inévitablement réduire les recettes budgétaires. On peut, bien sûr, essayer de boucher les trous en augmentant la dette nationale. Mais Trump a impitoyablement réprimandé Biden et Obama pour cela. Il est peu probable qu’il se tourne rapidement vers cet outil. Il reste une deuxième solution : réduire les dépenses. Sur ce point également, l’équipe de Trump est très franche.

Les Trumpistes qualifient de « communisme » les aides misérables que les démocrates ont accordées aux travailleurs et exigent qu’elles soient liquidées. Les membres de l’administration entrante annoncent des coupes dans les programmes préférentiels d’assurance maladie et d’aide alimentaire. Ils préconisent d’abolir les réglementations en matière de sécurité sur le lieu de travail et de dissoudre les agences chargées de les faire appliquer. Ils menacent de couper l’oxygène aux syndicats.

Une politique rigide dans l’intérêt d’une bande de riches suscite des protestations croissantes. Anticipant cela, Trump forge une image de l’ennemi. Parmi les opposants, on trouve les « immigrants illégaux », les « communistes », les « agents chinois ». Des sentiments chauvins sont attisés. On promet aux Américains ordinaires les bénéfices de l’annexion de nouvelles terres.

Il est faux de croire que les motivations de Trump sont purement manipulatrices. L’homme politique et les forces qui le soutiennent affirment explicitement que leur objectif est de préserver l’hégémonie mondiale des États-Unis. Et ce, à n’importe quel prix. Avec le slogan « La paix par la force », ils promettent de remettre la Chine à sa place et d’écraser tous ceux qui n’acceptent pas leurs règles. La Russie en fait partie.

Dans une interview accordée au Wall Street Journal, M. Trump a déclaré avoir mis en garde M. Poutine contre une attaque de l’Ukraine. « Vladimir, si tu attaques l’Ukraine, je te frapperai si fort que tu n’en reviendras pas. Je vous frapperai en plein centre de votre (…) Moscou », a-t-il affirmé.

Dans un autre discours, M. Trump a fait part de la méthode qu’il compte employer pour amener Moscou à la table des négociations. Cette méthode consiste à faire chuter les prix du pétrole et du gaz, privant ainsi la Russie de revenus. « Le jour de mon investiture, j’appellerai Poutine et lui dirai : asseyez-vous à la table des négociations. S’il refuse, le pétrole coûtera moins de 40 dollars dans quelques mois », a menacé Donald Trump lors d’un meeting de campagne.

Étonnamment, et malgré tout cela, de nombreux médias russes façonnent Trump dans l’image d’un pacificateur et d’un « ami de Moscou ». Ils préfèrent taire les sorties anti-russes qui émaillent régulièrement sa rhétorique.

Il est possible que l’administration Trump n’envoie pas immédiatement des troupes s’emparer du Groenland ou annexer le canal de Panama. Mais faire monter les enchères est la marque de fabrique de Trump. Après avoir fait monter la température au maximum, il pourrait se contenter de concessions de la part du Canada dans la renégociation des accords commerciaux. Il peut se limiter à des privilèges dans l’utilisation du canal de Panama. Il peut négocier l’accès aux gisements de lithium, de cuivre, de nickel, de cobalt et de pétrole du Groenland. Mais dans tous les cas, les grands argentiers américains engrangeront un nouveau gros bénéfice et Washington renforcera sa position sur la scène mondiale.

À cet égard, la position d’un certain nombre de « leaders d’opinion » dans notre pays est surprenante. Certains d’entre eux s’abstiennent de la moindre critique à l’égard de Trump, même si, dans le cas du Groenland, ses initiatives s’accompagnent d’attaques antirusses. Une autre partie des experts traite les menaces de l’homme politique américain avec une sympathie évidente, les présentant comme des coups portés aux élites mondialistes.

Cette réaction semble toutefois tout à fait naturelle. Malgré les déclarations de Vladimir Poutine selon lesquelles le capitalisme est dans une impasse, la classe dirigeante russe ne va pas rompre avec le système capitaliste. La limite de leurs désirs est d’être laissés tranquilles et autorisés à s’enrichir davantage.

La confrontation forcée avec l’Occident a manifestement lassé une partie importante de la classe dirigeante russe. Elle attend des conditions plus ou moins favorables pour la résolution du conflit en Ukraine. Elle accepte donc volontiers tout changement qui suscite l’espoir de désamorcer la confrontation. Le retour de Trump à la présidence leur semble être l’un de ces changements.

Piégée dans un cul-de-sac d’illusions, l’administration russe ferme les yeux sur tout ce qui fait s’effondrer la fausse image du monde qu’elle a à ses yeux. Ils rejettent les faits évidents. Ils ne voient pas que Trump n’a jamais eu l’intention d’assécher le « marais de Washington » et de mettre fin à l’ingérence des États-Unis dans les affaires du monde dans le but de préserver leur domination mondiale.

En fait, la « deuxième édition » de Trump sera beaucoup plus impitoyable et effrontée que la première ! C’est la logique du développement du capitalisme. L’intensification de la concurrence inter-impérialiste oblige les principaux acteurs à se débarrasser des masques de la démocratie et des droits de l’homme.

Pour commencer, n’oublions pas à quoi ressemblaient les mesures « pacifiques » du premier mandat de Trump. Il s’agit notamment des tirs de roquettes sur la Syrie, de l’assassinat de chefs militaires iraniens, de la tentative de coup d’État au Venezuela, du renforcement des sanctions contre Cuba et du sabotage de l’accord israélo-palestinien. Sur la même liste figurent l’intensification de la confrontation avec la Chine et le début des livraisons d’armes à Kiev. Dans le nouveau cycle de la carrière politique de Trump, ces actes pourraient paraître bien timides.

Pour une raison ou une autre, nombreux sont ceux qui, à Moscou, refusent de l’admettre. Peut-être parce qu’autrement, il faudrait admettre que la source de tous les malheurs de la Russie n’est pas due à des personnalités comme Biden ou Scholz, Macron ou Sunak, Duda ou Zelensky. Notre principal problème est le capitalisme lui-même. Et la classe dirigeante russe n’a toujours pas l’intention de dépasser le capitalisme. Ces gens espéreront jusqu’au bout la « bonne volonté » des élites bourgeoises mondiales. Et à chaque fois, ils continueront à s’indigner sincèrement du fait que ces élites plantent un nouveau couteau dans le dos de la Russie.

En outre, les autorités russes comptent de nombreux sympathisants des forces de droite. D’où les révérences envers Alternative pour l’Allemagne, Marine Le Pen et d’autres politiciens occidentaux qui sont prêts à jouer les cartes pipées du chauvinisme. Mais toutes ces forces font tourner la rhétorique nationaliste dans le but direct de détourner l’attention des citoyens des problèmes intérieurs. Elles créent ainsi un régime des plus favorables pour leurs grands patrons. Il n’y a aucune allusion à l’amitié avec la Russie. Ce sont des forces d’un égoïsme extrême. L’amitié entre les nations leur est étrangère par nature.

L’Occident ne considérera la Russie que lorsque notre pays sera sur la voie d’une véritable renaissance. Lorsque nous nous relèverons vraiment, et non dans le cadre d’un modèle misérable fondé sur les matières premières. Lorsque notre économie deviendra puissante et que notre science progressera. Quand une politique sociale forte sera rétablie et que la culture s’épanouira. Ce n’est que sur la voie du développement socialiste, et non en répétant les erreurs du capitalisme, que la Russie redeviendra grande.

La tâche historique de notre pays est de se tenir à nouveau à l’avant-garde du progrès social et de ne pas vivre dans l’illusion que de faux « amis de Moscou » arriveront au pouvoir aux États-Unis ou en Europe. Ce n’est qu’ainsi que nous ne nous laisserons pas entraîner dans un « jeu de dés » sciemment perdant avec l’Occident, en fermant périodiquement les yeux sur les plans agressifs des colonialistes de Washington. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons résoudre les grandes tâches créatrices et, avec les autres pays du BRICS et la majorité mondiale, établir la justice sur notre planète.

Guennadi Ziouganov,

Président du Comité central duKPRF

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3 Commentaires

  • Michel BEYER
    Michel BEYER

    Une fois de plus, Ziouganov appuie là ou cela fait mal. Le retour de Trump n’est pas le fruit du hasard. Ce n’est pas seulement parce qu’il était un meilleur candidat que Kamala Harris, c’est aussi parce que les milieux financiers US ont absolument besoin d’une autre politique pour maintenir l’hégémonie américaine. Les déclarations de Trump peuvent apparaître pour de l’outrecuidance. en fait elles correspondent à la volonté profonde des milieux d’affaires US.
    Qu’elles sont les possibilités de Trump et ses soutiens?
    « Histoire et Société » a publié le 20 décembre un article intitulé  » Trump affronte une Chine en plein essor », article signé « Michaël T Ware » je crois. Trump est placé devant un dilemme. C’est un pragmatique. Osera-t-il pousser le bouchon plus loin, au risque de provoquer une guerre mondiale? Le Groëland et le canal de Panama ne devraient pas poser de gros problèmes. L’Artique et Taïwan, c’est autre chose.
    Pour réaliser ses objectifs, il table sur 12 ans. Son mandat, 4 ans, et 8 ans (2×4) pour un éventuel successeur républicain.
    Ce qui est certain, c’est que pendant 4 ans, le personnage va nous maintenir en haleine.
    Je doute qu’il veuille vraiment la Paix en Ukraine. Nous serons bientôt fixés.

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    • Etoilerouge
      Etoilerouge

      Trump et les soumis collabos de l’UE veulent la paix americana: une paix favorable aux intérêts du seul monde impérialiste. C’est impossible.
      Canal de panama? Bien-sûr ds un passé typiquement colonial celui ci fut sous administration des usa. Mais aujourd’hui le problème principal de ce canal c’est qu’il ne suffit plus aux passages démultipliés des navires marchands et porte conteneurs. Il y a peu de temps la chine et le Nicaragua ont envisagé d’ouvrir un nouveau passage. Mais le parcours traversait une zone écologique majeure. D’où l’arrêt de ce projet. Nul doute que l’invasion de l’empire amènerait des changements imprévus. Pour le Groenland, c’est aussi une invasion le peuple inuit subissant depuis des siècles la domination et la destruction physique de la part des danois et des usa déjà. La Russie est claire. Le projet d’expansion des usa serait un casus belli.
      Quant à l’Ukraine fascisto américaine, otanisee, Trump ne veut pas la paix mais un arrêt temporaire façon Corée
      Il a des appuis en Russie : la 5 ème colonne capitaliste, atlantiste, silencieuse et qui dévore les richesses de la Russie. Le socialisme est la solution.
      Notons l’absence apparente des brics ds ce bourdonnement médiatique tel les stukas fondant sur les masses apeurees des années 1940.
      Mais bourdonnement n’est pas decisif. Il est clair que le rôle des communistes français ds ces rapports de force ne peut être que l’objectif du socialisme à la française et non de renforcer la gaaaaauuuuuche comme vient de me le faire savoir une lettre de la fédé bdr et de son secrétaire. J’ai noté que cette fédé appelle au militantisme en donnant l’objectif de doubler le nbre d’adhérents. Comment ? Grâce aux sections et entreprises, le mot cellule étant totalement absent. Et puis pour encourager celui ci cette fédé rappelle que les sondages font plus confiance au PCF. Il ne cite nulle part le nom du secrétaire général Roussel. Étonnant non?
      Donc absence des cellules, du socialisme, du rôle central du secrétaire national Roussel, un hasard?

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  • koursk
    koursk

    La grosse mafia otanienne veut intégrer le Canada, Groenland, Panama… à sa résidence principale l’oncle sam tout comme elle cherche à s’approprier les richesses de la Russie et de la Chine *** Elle arrivera à ses fins s’il n’y a pas de mobilisation géostratégique à la hauteur, de toute l’Organisation de Coopération de Shanghaï, l’Union Economique Eurasiatique, l’Organisation du Traité de Sécurité Collective, des BRICS… ainsi qu’à tous les postulants à ces organisations *** Dans la réalité il s’agit bien d’une opération de police à grande échelle pour laquelle les pays et organisations du sud global, qui se réclament de l’intérêt général, auront donc à se mobiliser géostratégiquement et militairement pour se protéger des visées hégémoniques d’appropriation du bien commun par quelques malfrats haut de gamme *** Ceux-ci ont à leur disposition les armées régulières de l’otaneuro zone, ajoutées aux milices, et groupes paramilitaires à tout faire, également payés par le contribuable otanien *** Contre la pègre, la Chine et l’Inde et leur 1,5 milliards d’habitants chacun, peuvent mobiliser beaucoup de policiers-soldats à équiper d’armement russe d’une grande efficacité *** Le must serait de neutraliser la pègre sans violence, avec des hackers acquis à la cause de l’intérêt général et de l’ordre public, siphonnant tous les comptes des rockfeller, ford, rothschild, musk450, bezos242, zuckerberg218, ellison186, arnault175… , qui perdraient ainsi toute autorité sur les élus et fonctionnaires *** Ces derniers jusqu’ici perçus comme des capos aux ordres de requins par le citoyen de base de l’otanie *** Sans cette poignée de pillards otaniens, la planète est en paix.

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