En attendant, le principal effet c’est de faire monter le cours du pétrole ce qui emplit de joie le Venezuela, l’Iran, la Russie elle-même et pénalise un peu plus le consommateur, en particulier les Européens à qui dans une démarche parallèle, Zelenski a coupé l’approvisionnement en gaz… Il ne faut pas oublier de noter qu’outre Biden, Zelenski, le gouvernement britannique s’est empressé de cosigner les mesures de Biden. Si l’on voulait arrêter l’économie mondiale et plonger l’économie mondiale et européenne dans la pire des récessions on ne s’y prendrait pas autrement… Notez que les exploits en question sont accomplis par Zelenski qui n’est plus président de l’Ukraine depuis avril 2024 (mais cocaïnomane et corrompu) et Biden un gâteux vindicatif dont le parti a été battu à plate couture… (note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
Le pipeline de Druzhba entre la Hongrie et la Russie à la raffinerie Danube du groupe hongrois MOL à Szazhalombatta, Hongrie.© Bernadett Szabo / REUTERS
Le baril de Brent gagnait, vendredi, 2,6 %, à près de 79 dollars, son plus haut niveau depuis octobre. En cause, les sanctions visant les revenus pétroliers et gaziers de la Russie imposées vendredi par l’Administration Biden. Ces mesures constituent « les sanctions les plus importantes à ce jour contre le secteur énergétique russe, la plus grande source de revenus de la machine de guerre du Kremlin », a indiqué un proche du président en exercice.
Le Trésor américain impose des sanctions aux sociétés russes Gazprom Neft et Surgutneftegas, qui explorent, produisent et vendent du pétrole, ainsi qu’à 183 navires ayant transporté du pétrole russe, dont beaucoup font partie de la flotte fantôme de pétroliers vieillissants exploités par des sociétés non-occidentales.
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Ces sanctions visent les producteurs de pétrole, les pétroliers, les intermédiaires, les négociants et les ports. Il s’agit de « frapper toutes les étapes de la chaîne de production et de distribution du pétrole russe », a expliqué un membre de l’équipe présidentielle. Si elles sont appliquées correctement, elles devraient coûter à la Russie des milliards de dollars par mois, a-t-il ajouté.
Les conseillers de Biden ont indiqué avoir informé les proches de Trump de ces nouvelles sanctions qui cherchent à donner à Kiev et à la future Administration un moyen de parvenir à un accord de paix en Ukraine.
Ce document, qui viendrait Trésor américain, circule parmi les négociants en Europe et en Asie mais Reuters n’a pas été en mesure de vérifier son authenticité et le département du Trésor n’a pas répondu à une demande de commentaire.
Les rumeurs quant aux sanctions ont fait grimper les prix mondiaux du pétrole de 3% à près de 80 dollars (78 euros) le baril.
Les sanctions, imposées à la Russie en raison de son invasion de l’Ukraine en 2022, perturberont gravement les exportations de pétrole russe vers ses principaux acheteurs, l’Inde et la Chine, ont déclaré quatre sources du secteur pétrolier russe et trois sources indiennes du secteur du raffinage.
Jusqu’à présent, des centaines de navires et de nombreux négociants en pétrole russes ont échappé aux sanctions américaines les plus sévères, l’administration de Joe Biden s’effaçant d’éviter une hausse mondiale des prix du pétrole.
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