Nous relayons volontiers les pétitions qui nous paraissent importantes. Celle concernant le parti qu’il faut et pourquoi faire? est désormais soumise à signatures sur le site officiel du PCF et sur celui de PCF débat et si Pierre Alain Millet qui anime ce site et est un lecteur attentif (à ce qu’il dit) d’Histoire et societe a rétabli le lien avec le format requis pour les dites signatures, il y en a déjà plus de 200 et beaucoup de communistes qui ont renoncé à reprendre leur carte me disent également leur accord et l’espoir que soulève une telle initiative, d’autres se plaignent d’une situation encore plus dégradée dans leur département et se demande comment agir quand le désert a été créé ou quand on laisse totalement l’expression de la politique du parti à d’autres forces et leurs élus… ou à l’intérieur de la presse, de l’humanité, des publications une protestation des rédacteurs devant les orientations imposées… La censure de fait de l’expression du parti, on mesure à quel point une réflexion est nécessaire et combien devra naitre un positionnement riche de tous ces apports, une reflexion calme, fraternelle mais ferme parce qu’il y a urgence.
à signer sur
https://framaforms.org/un-parti-pour-quoi-faire-1732272810
Mais voici une autre pétition initié par les amis du Café marxiste ! sur l’état réel de l’offensive antisoviétique qui est menée derrière le soutien à l’Ukraine. Je vous recommande le nom du personnage qui a lancé la proposition de débaptiser à Bordeaux la place Stalingrad, c’est vraiment le retour de Coblenz derrière la sainte alliance… et comme il y a dans toutes les villes de France une place stalingrad imaginez leur opération… (note de danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
Chers camarades, sympathisants et amis du Café marxiste,
Une pétition au maire de Bordeaux a été lancée le 17 novembre par l’héritier du Château Siran, William-Alain Miailhe de Burgh, pour renommer la place Stalingrad en « place de l’Ukraine ».
Nos amis et camarades de Bordeaux ont donc lancé une contre-pétition pour s’opposer à cette campagne négationniste et faire respecter la mémoire antifasciste :https://www.change.org/p/contre-la-rebaptisation-de-la-place-stalingrad-en-place-de-l-ukraine-%C3%A0-bordeaux?redirect_reason=guest_user
Cette pétition a déjà recueilli près de 1500 signatures. Faisons en sorte qu’elle rattrape et surpasse les 6 000 signatures du camp adverse d’ici le 30 novembre ! Merci de la signer et de la partager au maximum autour de vous. Si notre démarche est actuellement une sorte de défense préventive, l’enjeu est de taille puisque les soutiens de leur pétition affichent leur intention de multiplier leurs attaques dans toutes les villes de France.
Pour plus d’informations :https://www.initiative-communiste.fr/articles/luttes/signez-la-petition-pas-de-revanche-pour-les-vaincus-hitleriens-de-stalingrad-empechez-la-suppression-de-la-place-de-stalingrad-a-bordeaux/
Fraternellement,
Le personnage qui a initié cette pétition dit son inspiration, la revanche vient de loin… l’héritier du Château Siran, William-Alain Miailhe de Burgh, pour renommer la place Stalingrad en « place de l’Ukraine ». et l’on pense à cette bourgeoisie bordelaise, celle des châteaux des grands crus mais aussi celle qui fit sa fortune dans le commerce triangulaire de l’esclavage vers les Antilles, la Réunion… celle qui s’est tout naturellement retrouvée à Vichy et derrière Papon mais qui s’est refait une santé à la libération en donnant ses lettres de noblesse à l’anticommunisme… Celle qui comme Mitterrand alla toutes les années fleurir la tombe du maréchal qui lui avait donné la francisque et refusa les funérailles nationales à Aragon… celle qui nous donna les héros des plateaux de télévision actuels , l’ignominie de LCI derrière Macron- la droite-le RN et la commission européenne avec le retour des junkers de madame Ursula von der Leyen… Tous d’accord sans doute pour en finir avec Stalingrad derrière Zelensky le pitre corrompu otage de Bandera et de la CIA… Cela vous donne des envies d’anarchie avec les railleries de Brassens sur ces gens-là ceux à qui un tel pouvoir réserve ses hommages nationaux. Danielle Bleitrach
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