Au fil des événements on perçoit mieux à quel point la France a été détruite, son potentiel industriel ravagé, des bassins d’emploi industriel sont aujourd’hui des zones de sous-développement dans lesquels il est aisé de découvrir comme l’invraisemblable ministre de l’intérieur qu’il y a “mexicanisation”, triomphe des gangs, armes et drogue déversées par les conflits armés que l’OTAN rapproche de nous. Le lien entre le trafic d’armes, de la drogue et les bases militaires US étant partout avéré. Mais comment se sont-ils débrouillés pour que la France, jadis grenier à blé avec ses riches terres travaillées pendant des siècles par la paysannerie en doit arrivée à importer l’essentiel de sa nourriture… Et encore on ne dit pas tout dans ce rapport sur les liens entre la drogue et les conditions actuelles du travail, par exemple ce qu’est le travail de la pêche, les êtres humains détruits comme les ressources de la mer, de la terre… Oui ! Il faut repenser totalement le rapport du travail au capital pour résoudre les questions climatiques, la destruction de la terre… C’est parce que les gouvernants sacrifient toujours plus le travail à ce capital financiarisé qui peut y compris s’abstraire de la production que la société française explose et il serait temps que le PCF perçoive à quel point tout est désormais imbriqué : combien le choix du multipolaire des coopérations mutuellement avantageuses vaut mieux que le protectionnisme chauvin à l’ombre duquel prolifèrent les mafias et la violence… Quitte à me répéter sans cesse “delenda est” on ne peut pas avoir des “secteurs internationaux” qui tablent sur un capitalisme plus “démocratique” que l’autre et espérer changer le rapport entre le capital impérialiste et le travail, la souveraineté nationale. (note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
Agroalimentaire
de Valentine Fourreau, 20 mars 2024
Dans son plus récent rapport, publié en janvier, le Haut Conseil pour le climat relève que la France importe 20 % de son alimentation. En valeur, les importations alimentaires du pays ont doublé depuis 2000. Alors que la pandémie de Covid-19 et l’invasion de l’Ukraine ont mis en lumière certaines fragilités dans le système alimentaire français, notre dépendance aux importations reste particulièrement importante pour certains produits, comme le montre notre infographie, basée sur les plus récentes données de FranceAgriMer.
C’est tout particulièrement le cas pour le poisson, puisque la quasi-totalité de ce qui est consommé en France vient de l’étranger. Trois quarts du blé dur, ingrédient principal des pâtes, de la semoule ou du boulgour, proviennent quant à eux de l’importation. La question des importations de produits alimentaires a récemment été remise au cœur du débat : les agriculteurs français reprochent en effet aux pouvoirs publics d’autoriser une « concurrence déloyale » avec les producteurs étrangers, dont les produits sont soumis à des règles moins strictes que ceux produits sur le territoire
Valentine FourreauData Journalistvalentine.fourreau@statista.com
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Cette infographie montre la dépendance moyenne de la France aux importations d’une sélection de produits alimentaires entre 2018 et 2020.
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