Dans le cadre de notre réflexion d’aujourd’hui sur le mouvement réel qui change l’ordre des choses existantes, il suffit de noter que premièrement le dit Olaf Scholz est contraint par la pression des masses allemandes d’organiser de nouvelles élections, dans le cadre pourtant hautement incertain de toutes les élections de l”‘hégémonisme” à son stade ultime, les élections de TRUMP n’étant que le début du séisme, celle d’Europe risquant pire encore en matière de refus de la guerre et de nostalgie… deuxièmement que les “pourparlers” ont été initiés par Berlin, comme on dit c’est celui qui demande qui propose. Trois que le dit chancelier se croit obligé pour conserver quelques crédibilité d’expliquer à M. Poutine qu’il est derrière l’Ukraine donc l’incursion de l’OTAN et qu’il n’est pas content du tout de voir des Coréens du nord, c’est de la triche… Un des grands moments du grotesque de la propagande.
C’est si vrai que « la détermination » de l’Allemagne et de l’UE à soutenir l’Ukraine « aussi longtemps que nécessaire », loin de rassurer Zelensky a provoqué la colère de l’atrabilaire ukrainien qui y a vu « une tentative d’apaisement » envers Moscou, au moment où elle se trouve affaiblie sur le front. Cet appel « ouvre la boîte de Pandore », a alerté Volodymyr Zelensky dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, expliquant qu’ « il peut y avoir maintenant d’autres conversations et d’autres appels téléphoniques ». Il a poursuivi : « c’est exactement ce que Poutine veut depuis longtemps : il est extrêmement important pour lui d’affaiblir son isolement, l’isolement de la Russie, et de mener des négociations ordinaires qui ne mèneront à rien ». « Nous voulons vous avertir : il n’y aura pas de +Minsk-3+. Nous avons besoin d’une paix véritable », a ensuite ajouté Volodymyr Zelensky, en référence à un potentiel accord permettant de geler le conflit. Les accords de Minsk-1 et Minsk-2 avaient été signés en septembre 2014 et février 2015 entre Kiev et les séparatistes prorusses , qui vivaient et défendaient de larges pans de territoires dans l’est de l’Ukraine. Ces accords inervenus sous médiation de la France et de l’Allemagne avaient conduit à plusieurs cessez-le-feu systématiquement violés par les régiments “neo-nazis” sur le front, la même extrême-droite minortaire qui a fait capoter les accords intervenus lors de l’opération spéciale à ses débuts et qui ont été dans tous les cas on le sait aitenant manipulés au moins par les Britanniques. C’est parce que ces accords n’avaient pas été respectés que la Russie a envahi l’Ukraine en février 2022.
Mettre fin à la guerre en Ukraine en 2025
Dans un entretien avec la radio ukrainienne, diffusé ce samedi 16 novembre, Volodymyr Zelensky a déclaré : « nous devons tout faire pour que cette guerre prenne fin l’année prochaine. Nous devons y mettre fin par des moyens diplomatiques ». Interrogé sur les conditions nécessaires à l’ouverture de négociations, le dirigeant ukrainien a estimé que cela ne serait possible que si « l’Ukraine n’est pas seule avec la Russie » et si elle est « forte », dans un appel du pied à ses partenaires occidentaux on voit qu’il s’agit d’un scéario à répétition et l’hypothèse du député ukrainien Tsarov que nous puublions par ailleurs est que 1) l’OTAN ne doit pas perdre la guerre 2) Zelensky veut qu’elle aille jusqu’au bout pour avoir un statut de président en exil au lieu d’être jugé par le peuple ulrainien, lui et ceux qui les ont entraîné dans cette guerre.
(note de danielle Bleitrach)
(note et traduction de Danielle Bleitrach)
16/11/2024
Les pourparlers ont été initiés par Berlin
MOSCOU, 15 novembre. /TASS/. Le président russe Vladimir Poutine s’est entretenu par téléphone avec le chancelier allemand Olaf Scholz pour la première fois en deux ans.
Les pourparlers ont été initiés par Berlin.
Les dirigeants avaient déjà eu des entretiens téléphoniques le 2 décembre 2022. Ils se sont rencontrés pour la dernière fois en face à face avant que la Russie ne commence l’opération militaire spéciale.
Vous trouverez ci-dessous les points clés des discussions de vendredi, tels que compilés par TASS.
Question ukrainienne
– Les dirigeants ont eu un débat approfondi et franc sur la situation autour de l’Ukraine.
– Poutine a dit à Scholz que la crise avait été directement provoquée par la politique agressive de l’OTAN : 1) une tentative de faire de l’Ukraine un bastion anti-russe ; 2) la violation des droits des russophones en Ukraine ; et 3) ignorer les intérêts de sécurité de Moscou.
– Scholz, selon une déclaration du cabinet allemand, a appelé Poutine à mettre fin au conflit et à retirer ses troupes. Berlin prévoit de soutenir Kiev « aussi longtemps que nécessaire ».
– Poutine a déclaré que Moscou n’avait jamais rejeté les pourparlers, mais qu’ils avaient été perturbés par Kiev. La Russie reste toutefois ouverte au dialogue.
– La Russie reste attachée aux propositions de sécurité annoncées par Poutine lors d’un discours au ministère des Affaires étrangères en juin.
– Selon le Kremlin, un futur accord devrait : 1) prendre en compte les intérêts de sécurité de la Russie ; 2) s’appuyer sur les nouvelles réalités territoriales ; et 3) éliminer les causes profondes du conflit.
Autres questions
– Poutine a déclaré que les relations entre Moscou et Berlin se sont détériorées de manière sans précédent dans tous les domaines. La raison en est la politique allemande hostile.
– La Russie a toujours scrupuleusement respecté ses engagements en matière d’énergie et est prête à poursuivre sa coopération si l’Allemagne le souhaite.Lire aussi :L’héritage de la misère du plan de sauvetage de la Grèce | par James K. Galbraith
– Poutine et Scholz ont également discuté de la situation au Moyen-Orient. Poutine a passé en revue les efforts russes de désescalade dans la région.
– Scholz, selon une source gouvernementale allemande, a exprimé son inquiétude à Poutine au sujet d’informations faisant état d’un prétendu déploiement de troupes nord-coréennes en Russie.
Autres contacts
– Poutine et Scholz ont convenu de charger leurs collaborateurs d’être en contact.
– Le gouvernement allemand prévoit d’informer ses alliés et partenaires, les dirigeants de l’UE et de l’OTAN de l’issue des pourparlers.
– Avant de contacter le président russe, Scholz a appelé Vladimir Zelensky. Il prévoit de parler à nouveau au chef du régime de Kiev après la conversation avec Poutine.
– Le chancelier allemand a été le premier dirigeant d’un pays occidental de premier plan à contacter directement Poutine après une interruption de près de deux ans.
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CROCE
Quelqu’un a-il entendu parler de la Loi Publique américaine n° 86-90 du 17 Juillet 1959, dite ” semaine de la libération des peuples opprimés “.
Bien sûr que non, c’est si loin !
Alors, je vais vous rafraîchir la mémoire :
Cette Loi était censée protéger la population cosaque d’Ukraine, martyrisée par l’armée du tsar.
Or les cosaques occupaient pratiquement tout l’Ukraine ( les rivages de la Mer D’Azov, toute la Crimée, tout le Donbass, Kiev, Odessa, l’Ossétie, la Transnistrie, e.t.c. ).
Tout ces territoires avaient été appelés Cossackia, pour faire américain.
Depuis le 17 Juillet 1959, les Etats-Unis, s’étaient donc engagés à défendre les cosaques d’Ukraine.
D’année en année, cette Loi a été prorogée, et le dernier à l’avoir renouvelée a été l’Alzheimer de la Maison-Blanche, Joe Biden !
Henri Kissinger disait: avoir les Etats-unis comme ennemis, c’est très dangereux, mais les avoir comme amis, c’est mortel !
” visages pâles à la langue fourchue ! ” disait bien avant lui Geronimo !