La gueuse paiera… La gueuse telle était le nom que les vendéens avaient donné à la République… Effectivement, pourquoi les Vendéens d’aujourd’hui se gêneraient-ils puisque personne n’ose plus défendre la république ? Ils ont osé attribuer le nom d’Anne de Kiev (la première princesse russe épousant un roi de France Henri Ier) aux 2300 mercenaires formés, équipés comme chair à canon mais cela ne suffit pas officiellement on renouvelle les milliards déversés dans les bonnes œuvres bandéristes de Zelensky… Et la lâcheté des parlementaires, des politiciens français est telle qu’ils se taisent, l’appel à la paix qui évite soigneusement les FAITS, est vide de sens, alors que l’on supprime des postes d’enseignants… (note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
En février dernier, la France avait garanti son soutien à l’Ukraine dans un accord bilatéral de sécurité, conclu entre Paris et Kiev. LP/Fred Dugit© Fred Dugit
Guerre en Ukraine : la France a fourni plus de 2 milliards d’euros d’aide militaire en 2024© Copyright Le Nouvel Obs
L’aide militaire française à l’Ukraine dépassera deux milliards d’euros en 2024, notamment grâce à l’utilisation d’intérêts d’avoirs russes gelés, mais n’atteindra pas le maximum de trois milliards envisagé dans un accord de sécurité conclu avec Kiev, a affirmé ce lundi 14 octobre le ministre des Armées Sébastien Lecornu
« Il était arrêté politiquement au début de l’année 2024 que cette aide pouvait aller jusqu’à trois milliards d’euros. Dans les faits, nous serons au-dessus de deux milliards d’euros, mais pas à trois milliards d’euros », a annoncé le ministre devant les députés de la commission de la Défense.
La France avait garanti son soutien à l’Ukraine dans un accord bilatéral de sécurité conclu le 16 février entre Paris et Kiev. L’aide militaire française a atteint 1,7 milliard d’euros en 2022 et 2,1 milliards en 2023, selon Paris
Quelque 300 millions d’euros d’aide en 2024 proviennent de l’utilisation des intérêts d’avoirs russes gelés après l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022. Ils « permettent de financer des munitions – plutôt des obus de 155 mm -, des canons Caesar, du carburant », a détaillé le ministre.
Dons de matériels, inflation moins forte…
Le don de matériels anciens des armées françaises amenés à être remplacés par des équipements neufs, comme les véhicules de l’avant-blindé (VAB) ou des chars AMX-10RC représentent un coût de 533 millions en 2024, contre 177 millions l’an passé. Ces dons de matériels anciens à l’Ukraine représenteront l’an prochain « pratiquement 700 millions d’euros », a précisé Sébastien Lecornu.
Le financement de l’aide à l’Ukraine provient également de « gains d’inflation », évalués cette année entre 400 et 600 millions d’euros cette année, selon lui. Ces « gains » proviennent du ralentissement de l’inflation par rapport aux hypothèses d’inflation plus élevées retenues lors de l’élaboration de la loi de programmation militaire. Sur les 413 milliards d’euros prévus entre 2024 et 2030, environ 30 milliards devaient couvrir les effets de l’inflation.
Le financement de l’aide à l’Ukraine provient également du fonds de soutien d’un total de 400 millions d’euros permettant à Kiev d’acquérir des équipements directement auprès d’industriels français ou encore de la Facilité européenne pour la paix (FEP).
La France contribue à hauteur de 1,2 milliard d’euros à cet instrument de l’UE destiné à gérer ses interventions dans les conflits, notamment la fourniture d’armes, mais « nous en sommes bénéficiaires puisque 143 millions d’euros ont été perçus par le ministère en 2024 » au profit de l’Ukraine, selon lui.
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