Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

POURQUOI LE NPA NE CRAINT PAS LES NEO NAZIS DE L’OTAN

Au titre de ceux que l’histoire jugera il y a ces gens-là mais ils ont déjà sévi quand Cuba était assailli en déclarant que le blocus n’expliquait pas tout et en soutenant de fait comme Patrick le Hyaric et d’autres de la même engeance Robert Ménard à l’époque président de reporters sans frontière et financé selon ses propres aveux par la CIA tout en se présentant comme d’obédience trotskiste… Tous les trotskistes n’ont pas agi comme cela mais ceux-là on les retrouve dans le camp international de l’OTAN et en train de diviser en France ceux qui devraient être unis en soutenant ou en feignant de soutenir les islamistes qui sous couvert de radicalité dévoient la lutte en faveur du peuple palestinien. Est-ce un hasard si on retrouve les mêmes à mediapart soutenu par Soros avec toujours la même vocation à la division. Eux et une partie des lambertistes semblent avoir à cœur de justifier ce qui pendant la seconde guerre mondiale avait justifié le terme d’hitlero-trotskiste.

Sous prétexte d’une « gauche ukrainienne en construction sur plusieurs front », à savoir le groupuscule Sotsialny Ruskh (SR – Mouvement social d’Ukraine) composé d’ « anarchistes, trotskistes et post-staliniens notamment», Catherine Samary*, dénonce « l’impérialisme russe », le « néo campisme », et raconte à sa façon le coup d’état de 2014 :

« L’euro-Maidan de 2013/2014 a été traité dans le cadre de ce type d’approche en y ajoutant la dénonciation du rôle actif (réel mais sur-dimensionné dans les analyses) des milices d’extrême-droite dans les mobilisations populaires. La surreprésentation de ces courants et leur influence dans le gouvernement de transition mis en place en Ukraine (avant les nouvelles élections) après la chute et la fuite de Ianoukovitch a tenu lieu de « preuve » d’un « coup d’Etat fasciste anti-russe soutenu par l’Occident» – que l’on retrouve dans le discours Poutinien précédant « l’opération militaire » du 24 février 2022. La glorification officielle du héros nationaliste Stepan Bandera (choisissant l’alliance avec les nazis contre l’URSS stalinienne) ou encore la remise en cause de la loi de 2012 sur les langues (qui avait été adoptée sous la présidence de Ianoukovitch et donnait de fait un statut de co-langue officielle au russe et aux langues régionalement dominantes), l’affirmation de la langue ukrainienne comme seule langue officielle ont conforté cette narration et les inquiétudes populaires dans les régions les plus russophones – du moins en 2014 ».

L’anticapitaliste Catherine Samary se tait au passage sur la destruction de la statue de Lénine par Svoboda, l’intervention du sénateur républicain John McCain et de son homologue démocrate Chris Murphy auprès de trois opposants dont Oleh Tyahnybok, chef du parti Svoboda, le soutien et l’intervention de la secrétaire d’Etat assistante pour l’Europe et l’Eurasie Victoria Nuland pour mettre en place Arseni Latseniouk, de l’ONG International Renaissance Foundation (créée par Soros et soutenue par la National Endowment for Democracy), l’incendie de la maison syndicale d’Odessa par les néo nazis faisant plus de 40 morts brûlés vifs le 2/05/2014, l’interdiction du russe puis les bombardements systématiques du Donbass. Enfin la découverte de 12 stations de la CIA au lendemain de Maïdan.

https://www.lejdd.fr/international/la-cia-demasquee-en-ukraine-apres-la-decouverte-de-bases-americaines-142648

L’année suivante le Parlement de l’Ukraine vote quatre lois de décommunisation.

« Une gauche ukrainienne en construction sur plusieurs fronts »

Dans Contretemps le 18/10/22, à l’occasion de son invitation avec Olivier Besancenot à la Conférence nationale de ce groupuscule à Kiev, elle décrit sous le titre « Une gauche ukrainienne en construction sur plusieurs fronts », « Une nouvelle gauche au sein de la « révolution de la dignité » », issue de « courants anarchistes se reconnaissant  dans le combat du dirigeant anarchiste Makhno mais aussi du côté des marxistes anti-staliniens se réclamant de Roman Rosdolsky fondateur du Parti communiste dans l’ouest de l’Ukraine et se rapprochant de l’Opposition de gauche trotskiste contre Staline ».

Elle s’y était déjà retrouvée le 8 mai en compagnie du réseau européen de gauche ENSU « European network in solidarity with Ukraine and against war », dont on précisera que son opposition à la guerre vise exclusivement la Russie et non l’OTAN évidemment et dont la présentation dit « Russie hors d’Ukraine ! Solidarité avec la gauche en Ukraine et le mouvement pacifiste russe ».

Un joyeux mouvement pacifiste donc, dont elle signale la déclaration commune du 7/04/2022 « contre l’impérialisme russe »

Une « guerre populaire » ou Azov ne joue pas un rôle prépondérant

On y lit notamment que l’envoi d’armes supplémentaires par l’OTAN doit être considéré « dans un contexte plus large», qu’Azov ne joue pas un rôle prépondérant dans la guerre, qui est devenue « une guerre populaire » :

Nous voulons aborder une demande très controversée, celle de l’aide militaire à l’Ukraine. Nous comprenons les répercussions de la militarisation sur le mouvement de la gauche progressiste dans le monde et la résistance de la gauche à l’expansion de l’OTAN ou à l’intervention occidentale. Cependant, un contexte plus large est nécessaire pour donner une image plus complète.

Tout d’abord, les pays de l’OTAN ont fourni des armes à la Russie malgré l’embargo de 2014 (France, Allemagne, Italie, Autriche, Bulgarie, République tchèque, Croatie, Slovaquie et Espagne). Ainsi, la discussion sur la question de savoir si les armes envoyées dans la région finissent dans de bonnes ou de mauvaises mains semble un peu tardive. Elles sont déjà dans de mauvaises mains et les pays de l’UE ne feraient que réparer leurs erreurs antérieures en fournissant des armes à l’Ukraine. En outre, les garanties de sécurité alternatives proposées par le gouvernement ukrainien nécessitent l’implication d’un certain nombre de pays, et ne peuvent probablement être obtenues qu’avec leur implication également.

Deuxièmement, comme de nombreux articles l’ont souligné, le régiment Azov est un problème. Cependant, contrairement à 2014, l’extrême droite ne joue pas un rôle prépondérant dans la guerre d’aujourd’hui, qui est devenue une guerre populaire – et nos camarades de la gauche anti-autoritaire d’Ukraine, de Russie et de Biélorussie luttent ensemble contre l’impérialisme. Comme cela est devenu clair ces derniers jours, la Russie tente de compenser son échec sur le terrain par des attaques aériennes. La défense aérienne ne donnera pas de puissance supplémentaire à Azov, mais elle aidera l’Ukraine à garder le contrôle de son territoire et à réduire le nombre de morts civiles, même si les négociations échouent.

L’agresseur impérialiste n’est pas l’OTAN !

Le texte intégral publié par le NPA Déclaration commune du Mouvement socialiste russe et de Sotsialnyi Rukh (Mouvement social d’Ukraine), le 7 avril 2022.

https://lanticapitaliste.org/opinions/international/declaration-contre-limperialisme-russe

condamne une certaine gauche qui considère « cette guerre comme une guerre inter-impérialiste » et appelle à une autre unité du camp de gauche : « C’est Poutine, et non l’OTAN, qui fait la guerre à l’Ukraine. C’est pourquoi il est nécessaire de déplacer notre attention de l’impérialisme occidental vers l’impérialisme agressif de Poutine, qui a une base idéologique et politique en plus d’une base économique ».

Puis :

« L’impérialisme russe est alimenté par le désir de changer le soi-disant « ordre mondial ». Ainsi, l’exigence de Poutine concernant le retrait de l’OTAN de l’Europe de l’Est pourrait indiquer que la Russie ne s’arrêtera pas à l’Ukraine […]. Il est très naïf de demander la démilitarisation de l’Europe de l’Est, car à la lumière des circonstances actuelles, ce ne ferait qu’apaiser Poutine et rendrait les pays d’Europe de l’Est vulnérables»

« Aujourd’hui, l’agresseur impérialiste est la Russie, pas l’OTAN, et si la Russie n’est pas arrêtée en Ukraine, elle continuera certainement son agression ».

Et il exige :

– le retrait immédiat de toutes les forces armées russes d’Ukraine ;

– de nouvelles sanctions ciblées et personnelles contre Poutine et ses multimillionnaires. (Il est important de comprendre que Poutine et son establishment ne se soucient que de leurs propres biens privés ; ils sont inconscients de l’état de l’économie russe dans son ensemble. La gauche peut également utiliser cette demande pour dénoncer l’hypocrisie de ceux qui ont sponsorisé le régime et l’armée de Poutine et qui continuent aujourd’hui encore à vendre des armes à la Russie) ;

– le boycott du pétrole et du gaz russes ;

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7 Commentaires

  • Xuan

    La suite :

    – un soutien militaire accru à l’Ukraine, en particulier la fourniture de systèmes de défense aérienne ;
    – l’introduction de soldats de la paix de l’ONU provenant de pays non-membres de l’OTAN pour protéger les civils, y compris la protection des corridors verts et des centrales nucléaires (le veto de la Russie au Conseil de sécurité de l’ONU peut être surmonté à l’Assemblée générale).
    Ce qui correspond très exactement aux demandes de Zelensky relayées par Van der Layen, mais fondamentalement aux objectifs ouvertement documentés de l’hégémonisme US, de démantèlement de la Fédération de Russie.

    Pourquoi les pacifistes doivent accentuer l’envoi d’armes en Ukraine

    On lit aussi dans la littérature pacifiste du « Mouvement Social d’Ukraine »
    « Droit aux armes. Comment la gauche peut-elle soutenir l’Ukraine ? » le 20/05/2022
    https://rev.org.ua/right-to-weapons-how-can-leftists-support-ukraine/
    « La gauche et les internationalistes doivent comprendre qu’un front anti-impérialiste est impossible sans résistance armée. L’invasion de l’Ukraine par la Russie est actuellement l’attaque impérialiste la plus effrontée et la plus cynique du monde. Derrière les critiques sur les livraisons d’armes à l’Ukraine se cache un désir mal dissimulé de défaite du peuple ukrainien, inspiré par la propagande du Kremlin.
    Plusieurs partis de gauche de l’Union européenne ont récemment publié une déclaration commune appelant à accélérer les livraisons d’armes à l’Ukraine. Il ne fait aucun doute que le développement d’un mouvement internationaliste efficace est impossible sans un front uni contre l’impérialisme et sans une résistance sous toutes ses formes, y compris armée, à l’agression impérialiste »….

    Et quelques perles dans ce pot-pourri au propre et au figuré:
    « Quant au changement social systémique en faveur de la classe ouvrière, il n’est possible que sur la base d’un mouvement populaire de masse, tout comme une démocratie « Maïdan » autogérée, si détestée par la clique de Poutine ».
    « la vision du monde de Poutine nie la possibilité même de l’auto-organisation, arguant que tous les mouvements populaires sont toujours organisés par de mystérieux agents étrangers. Bien sûr, le Maïdan n’est pas toujours une révolution sociale, mais toute révolution sociale est d’abord et avant tout un Maïdan. »…
    « Une démocratie qui dérange
    Malgré les lacunes de l’Ukraine post-Maïdan, des élections ont eu lieu régulièrement, poussant souvent de nouveaux partis et de nouveaux dirigeants au pouvoir contre la volonté des dirigeants actuels du pays. »…
    « Facteur OTAN
    Les tentatives de justifier l’agression par une prétendue menace de l’OTAN semblent ridicules, sachant que tous les instructeurs et même les diplomates de nombreux pays membres de l’OTAN ont ostensiblement quitté l’Ukraine un mois avant l’invasion. Une déclaration ferme selon laquelle les soldats des pays membres de l’OTAN ne participeraient en aucun cas au conflit pourrait-elle être considérée comme une provocation ? Peut-être la provocation, au contraire, résidait-elle dans le fait que l’Ukraine semblait trop accessible ? »
    « La vie politique en Ukraine a ses inconvénients. En particulier, la politique de « décommunisation » est clairement néfaste et ne répond en rien aux normes démocratiques. L’inclusion d’une clause sur l’adhésion à l’OTAN dans la Constitution et la campagne nationaliste de droite évidente autour de « la langue et de la religion » ont sans aucun doute beaucoup nui à l’Ukraine. Mais en même temps, l’Ukraine a toujours maintenu un système politique pluraliste et, grâce à un contrôle mutuel méticuleux des forces politiques, des élections ont été organisées régulièrement, dont les résultats ont été déterminés non par des fraudes, mais par des résultats de vote réels, véridiques et exacts ».

    Enfin la cerise sur le gâteau :
    Bien entendu, Volodymyr Zelensky est avant tout un représentant de la bourgeoisie et, outre quelques évolutions positives dans la politique anti-corruption, il mène des réformes qui limitent les droits des travailleurs et réduisent les garanties sociales des Ukrainiens. Mais il a été élu par les travailleurs ukrainiens, et c’est à eux de le juger et de décider s’il faut l’élire pour un second mandat. Et Zelensky est bien conscient qu’il doit agir dans l’intérêt de son électorat, et ce sont eux, et non d’autres États, qui doivent et qui décideront de son avenir politique. Dans les conditions difficiles de la guerre, il semble se comporter exactement comme la plupart des électeurs l’attendaient, et sa cote de popularité et ses chances de réélection augmentent.
    On aura rarement trouvé même dans notre pays une gauche tellement lèche-cul qu’on croirait lire le dépliant d’une agence de tourisme.

    Des « anticapitalistes » à l’abri de la décommunisation :

    Contrairement à 11 partis ukrainiens : Plateforme d’opposition – Pour la vie, Parti de Charij, Nachi, Bloc d’opposition, Opposition de gauche, Union des forces de gauche, Derjava, Parti socialiste progressiste d’Ukraine, Parti socialiste d’Ukraine, Socialistes, Bloc de Volodymyr Saldo, (le KPU est déjà censuré depuis les lois de décommunisation), le Mouvement social d’Ukraine n’a pas été interdit le 20 mars 2022.

    Il a commenté ces interdictions le lendemain de la façon suivante :
    https://rev.org.ua/statement-on-temporary-ban-of-some-ukrainian-parties/
    « Récemment, le Conseil national de défense et de sécurité a décidé de suspendre temporairement les activités d’un certain nombre de partis politiques ukrainiens. La liste comprend à la fois les principaux partis d’opposition et des partis moins connus qui utilisent les mots « progressiste », « gauche » ou « socialiste » dans leur nom. Le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky, les a accusés de « liens avec la Russie », sans étayer ses affirmations par un raisonnement juridique approprié.
    Nous nous rendons bien compte qu’au moins certains membres de ces partis, et en particulier leurs dirigeants, ont minimisé le danger de la présence russe dans le pays, ont minimisé le danger des ambitions chauvines de la Russie et ont failli justifier l’agression s’ils ne travaillaient pas directement avec le Kremlin, ont détourné la frustration populaire causée par les politiques néolibérales des gouvernements en combattant l’image caricaturale de « l’Occident » détruisant la « civilisation slave », répandu la xénophobie, l’antisémitisme, l’homophobie et la haine.
    Ainsi, même ceux qui utilisent, mais en fait détournent, la phraséologie de gauche ne font en réalité que servir le consensus oligarchique »»

    Et on comprend maintenant pourquoi ni Zelensky ni Svoboda, ni Azov, ni Secteur Droit, ni l’OTAN n’inquièteront jamais le « Mouvement Social d’Ukraine » et ses compères du NPA.

    *[Catherine Samary cofondatrice de la Ligue Communiste Révolutionnaire devenue Nouveau Parti Anticapitaliste, membre du Comité international de la Quatrième Internationale]

    Xuan

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  • Marxou
    Marxou

    Le NPA est lunaire , les trotskystes sont souvent atteint de mégalomanie intellectuelle , mais le NPA est le pire de tous. Néanmoins , certains ( lutte ouvrière ou le parti des travailleurs ) sont moins ravagés.

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    • Xuan

      Le glissement opéré après mai 68 de « Ligue Communiste Révolutionnaire » en « Nouveau Parti Anticapitaliste » préfigurait déjà l’abandon de toute référence au communisme et de toute sorte d’objectif révolutionnaire.
      Tous les trotskistes n’en sont pas là heureusement, nous l’avons vu dans les articles de WSW mais le NPA s’aventure maintenant sur un terrain déjà labouré dès les années 70 par les nouveaux philosophes.
      BHL et consorts ne se réclamaient pas d’une quelconque gauche, tandis que le NPA déguisé en gauche « anti capitaliste » exige de la gauche qu’elle s’aligne sur les faucons du Pentagone. Il constitue, dans le conflit mondial en cours entre l’hégémonisme des Etats Unis et le monde multipolaire en ascension, la pointe idéologique de l’impérialisme et de la fraction la plus belliciste de l’hégémonisme US.
      C’est une tendance pousse-au-crime dans la dérive atlantiste au sein du mouvement progressiste, l’équivalent de l’hitléro-trotskisme lors de la lutte anti nazie.

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  • Etoilerouge
    Etoilerouge

    En tout cas expliquer que ce mouvement trotscards je ne sais quoi qui s’organise aujourd’hui à Kiev commence par taire l’interdiction de toute la gauche d’Ukraine existant depuis des années et ns explique que les fascistes n’y ont que peu d’influence. A partir de quels mélanges de trotskisme et d’hitlerisme secoué par les mains sales des usa et de l’UE peut on affirmer que le poids des nazis est très faible? Un pois chiche du npa plus un pois chiche du azov? A 3 c’est quoi? Mille? 10000? Etc. Donc le Npa favorise la montée du fascisme en Europe pour essayer de vendre son projet non autoritaire et ce en pleine guerre?
    C’est tout simplement la trahison de la gauche et de la république de 1793, 1848, 1870, 1871, 1936, la résistance, 1944, . Le npa moteur du nazisme par haine de Staline. Rien de changé depuis 1933 pour eux. Et l’arrivée continue depuis 15 ans au moins et avec l’aide de l’état ukrainien depuis 10 ans de la fange nazie internationale en Ukraine, c’est pour rigoler? Certains s’y battent contre la Russie d’autres retournent ds leurs pays notamment en France avec des armes ds le silence complice du npa et de tous les autres préparant ainsi des meurtres de masse. Que fait la popo, la popo la police? Elle bave. La magistrature? Elle fait carrière. Ces 2 institutions d’état qu’ont elles de républicaines? Et le npa est bien comme le PS et des salopards PCF kamenka boulet et la fédé 13 des vendus.

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    • Xuan

      Un article plus récent de Catherine Samary montre que sa rhétorique est en train de boire la tasse. Je rappelle qu’elle fait à la fois partie du NPA, de la quatrième internationale et du réseau européen Solidarité Ukraine (ENSU).
      Quand un serpent se noie, il faut tenir sa tête sous l’eau.
      https://lanticapitaliste.org/index.php/actualite/international/arguments-pour-un-agenda-de-gauche-face-la-guerre-en-ukraine

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      • Etoilerouge
        Etoilerouge

        Cher camarade je viens de lire l’article de samary et du npa. Pour moi c’est un hachis parmentier de réflexions pèle mêle et d’oublis d’événements majeurs consternante comme l’effondrement de la population en Ukraine depuis la chute du socialisme et avant le coup d’état affirmé démocratique par l’OTAN l’UE et le Npa. Le vieillissement de la population comme ds tout le centre Europe et l’Allemagne joue contre les agendas de guerre hors la guerre nucléaire. Le refus de caractériser le nouveau cours politique de l’Ukraine depuis le coup d’état de 2014. La politique de ce même gouvernement de 2014 à 2022 intervention russe.
        Passons sur le refrain Poutine justifie Staline et condamné Lénine ds son discours d’intervention en Ukraine. La politique des nationalités est un rapport présenté par Staline devant lenine et approuvé non seulement par Lénine mais par la très gde majorité du parti bolchevik. Le npa est donc maintenant du côté de la barrière fascistoide impérialiste des usa rejoignant ainsi ds l’histoire l’hitlero trotskisme par haine de Staline. La boucle est bien bouclée

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  • Xuan

    C’est la JCR qui s’était transformée en LCR en 1969, l’appellation NPA ne date que de 2009, excusez-moi pour cette anticipation.
    Après la signature du Programme Commun, Krivine appela à soutenir Mitterrand “comme la corde soutient le pendu”. Il ne se prenait pas pour une demi queue de cerise en effet.

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