En occident “global”, selon les habitudes – depuis la guerre du Golfe où s’est établie la pratique d’avoir des reporters accrédités comme instrument de propagande dans les invasions – une presse sélectionnée accompagne l’armée dite ukrainienne dans son viol des souverainetés alors même que l’occident n’est pas en guerre. Ce qui est censé nous valoir des reportages à la gloire des “envahisseurs” représentant le “bien” victorieux du “mal” mais les images sont ambigües avec des commentaires exaltés, les conquêtes se font par des robocops investissant des poulaillers abandonnés par leurs occupants, des ponts détruits et les objectifs de la dite armée deviennent de plus en plus flous. A ces jeux de reporters dans les bagages de l’armée et la mettant en scène, on peut opposer me dit Marianne le silence russe, la manière dont il s’adresse à la mémoire des effets du terrorisme subi ces dernières années pour décrire ce qui se passe à Koursk. Rares sont les reportages sur ce qui se passe à la frontière du côté de Soudja sinon le spectacle de mercenaires tuant et détruisant sans le moindre espoir de conquête, ne jouissant d’aucune adhésion à l’inverse de ce qui se passe dans le nord et le Sud de l’Ukraine. La Russie refuse le piège et traite en “terroristes” la folle équipée qui s’attaque en priorité aux objectifs civils et elle garde ses forces militaires là où l’avancée continue avec hier la prise de New York, (nom aboli du temps de l’URSS retrouvé par l’Ukraine russophobe et bandériste, comme Toresk en souvenir de Maurice Thorez mineur de fond et fondateur du PCF a été débaptisé, ce qui n’émeut pas le moins du monde Kamenka l’agent de la légion russe de Ponomarev ni les directions internationales de ce parti… ) (note de Danielle Bleitrach traduction de Marianne Dunlop pour histoireetsociete)
https://svpressa.ru/war21/news/426383/
Des militants de l’AFU ont tiré sur des civils de Soudja qui tentaient de quitter la ville. L’une des habitantes, Galina Samborskaya, en a parlé à la chaîne de TV Zvezda.
Les soldats ukrainiens tiraient sur les voitures transportant des personnes « comme dans un stand de tir », s’est souvenue la femme. Elle a précisé que la passagère de la voiture qui la précédait n’a pas pu être sauvé.
L’interlocutrice de la chaîne et son mari ont été blessés.
« J’avais tellement de sang que mon pantacourt beige était complètement rouge de sang », a expliqué Mme Samborskaya.
Un autre habitant de Soudja, Nikolai Volodkov, a été touché par un drone ukrainien. Il a non seulement réussi à survivre, mais il a également dégagé la voiture endommagée de la route afin de ne pas empêcher les autres de passer.
« Une telle explosion. Tout a volé, mes yeux se sont obscurcis », a déclaré l’homme.
Auparavant, Viktor Vodolatsky, premier vice-président de la commission de la Douma d’État chargée des affaires de la CEI, de l’intégration eurasienne et des relations avec les compatriotes, a déclaré que des militaires ukrainiens avaient laissé les corps de mercenaires occidentaux morts, abandonnés dans les champs de la région de Koursk.
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