Voici l’opinion des communistes russes sur l’opération des Ukrainiens dans la région de Koursk, on apprend que les communistes de tout le pays se mobilisent comme ils l’ont fait depuis des années dans le Donbass et que cet élan est celui de tout le peuple russe qui ne se trompe pas sur les raisons d’une telle aventure et son contexte géopolitique. Encore un article qui devrait être publié dans l’Humanité et qui ce faisant permettrait enfin de sortir de cette propagande absurde et mortifère qui nous tient lieu d’information aujourd’hui. Puisque l’on m’a refusé le droit à une intervention à l’Université du PCF en fin de semaine, je me demande bien ce qui pourra être dit officiellement théoriquement en faveur de la paix, si l’on poursuit une telle censure imbécile… (note de Danielle Bleitrach traduction de Marianne Dunlop)
https://kprf.ru/party-live/cknews/228127.html
Le studio a évoqué l’implication possible des dirigeants militaires et politiques d’un certain nombre de pays occidentaux dans l’invasion des formations armées du régime de Kiev dans la région de Koursk.
Youri Afonine est convaincu que l’Occident, et en premier lieu les États-Unis, étaient au courant des préparatifs de l’attaque. En effet, presque toutes les mesures prises par Zelensky et consorts sont coordonnées avec leurs patrons et maîtres des États-Unis. Mais même si nous supposons que l’invasion du territoire internationalement reconnu de la Fédération de Russie a été préparée à l’insu de Washington, Londres et Bruxelles, il est impossible de croire qu’ils ignoraient totalement les plans de Kiev. Après tout, les services de renseignement occidentaux, y compris la CIA et le département du renseignement du Pentagone, sont bien informés de ce qui se passe en Ukraine, car ils y disposent d’agents assez nombreux, notamment au sein de l’état-major général de l’AFU, du SBU et d’autres structures.
Aujourd’hui, les médias et la communauté des experts, tant en Russie qu’à l’étranger, qualifient de plus en plus l’attaque de l’AFU sur la région de Koursk d’aventure. Du point de vue du bon sens, c’est vrai. Mais Zelensky a ses propres considérations. Il a perdu sa légitimité et ne peut donc conserver le pouvoir que tant qu’il est en guerre avec la Russie. Peu lui importe le nombre de vies qu’il devra sacrifier pour cela – des dizaines, des centaines de milliers. Et Zelensky ne s’inquiète pas de l’équipement et de l’argent que l’Occident fournit à Kiev pour prolonger cette agonie. D’autant plus que pour lui et son entourage, la guerre est avant tout un business très rentable.
Le premier vice-président du comité central du KPRF a attiré l’attention sur le fait suivant : jusqu’à une certaine époque, les hommes ukrainiens soumis à la mobilisation en raison de leur âge pouvaient d’une manière ou d’une autre quitter le pays. Mais dès que l’ensemble de l’« élite » ukrainienne a fini d’emmener ses familles hors de l’Ukraine en guerre, principalement à l’Ouest, la fenêtre d’opportunité s’est refermée. Aujourd’hui, les Ukrainiens ordinaires, qui voulaient eux aussi échapper à cette guerre inutile et sauver la vie de leurs parents et amis, ne sont pas autorisés à se rendre à l’étranger et sont arrêtés par milliers à la frontière pour être envoyés à l’abattoir.
Par conséquent, tout ce que Zelensky et son entourage font devrait être considéré comme des crimes de guerre. Comme l’a rappelé le premier vice-président du comité central du KPRF, pendant la Grande Guerre patriotique et après sa fin, ces criminels de guerre ont été soumis aux châtiments les plus sévères, que notre peuple considérait comme une juste rétribution. De nombreux bourreaux de la SS et de la Wehrmacht, leurs amis et hommes de main parmi les traîtres locaux ont été jugés et pendus. Leurs disciples – les dirigeants des néo-nazis-banderistes ukrainiens – méritent le même sort, Youri Viacheslavovitch en est convaincu.
Quant à l’attaque de la région de Koursk, la Russie ne manquera pas d’y répondre de manière adéquate. L’Occident nous impose littéralement de frapper les centres de décision de Kiev. Mais le principal critère d’efficacité de la frappe est de rapprocher notre victoire, car il est impossible de tolérer l’existence de ce régime terroriste néo-nazi à nos frontières. Le commandement des forces armées russes déterminera quand et sur quels objets frapper. Certes, il peut s’agir de centres de décision, mais il n’est pas moins important de mettre hors d’état de nuire les infrastructures critiques – ponts, tunnels, nœuds ferroviaires, dépôts de locomotives, sous-stations, etc. Il est également possible de mener des opérations terrestres dans les régions voisines – Soumy, Tchernigov, etc.
En conclusion, Youri Afonine a une fois de plus attiré l’attention sur la façon dont le caractère de notre peuple s’est manifesté dans une situation difficile. Le pays tout entier aide la région de Koursk. Les communistes de dizaines de républiques, territoires et régions collectent des cargaisons contenant tout ce qui est nécessaire aux habitants de Koursk qui ont quitté leur lieu de résidence : nourriture de longue durée, aliments pour bébés, vêtements, produits d’hygiène. D’importants convois humanitaires préparés par les antennes régionales de la KPRF du Centre, de la région de la Volga et du Caucase du Nord ont déjà été envoyés à Koursk. Toute la Russie, tous les peuples se sont unis, quels que soient leur nationalité, leurs opinions ou leur lieu de résidence. Cette unité est la clé de notre victoire, a conclu le premier vice-président du comité central du KPRF.
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Etoilerouge
Article censuré par l’humanité et la marseillaise se prétendant communistes et évidemment toute la presse capitaliste il faut le souligner. Français que de crimes on commet en votre nom