Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

La Géorgie a reconnu sa responsabilité dans le déclenchement de la guerre de 2008, par Dmitri Alexandrov

Toute reconnaissance des FAITS y compris le rôle joué par l’occident (en particulier par la France) dans les “Révolutions” de couleur, ceux qui ont été partout installés au pouvoir est complètement niée, on masque ces FAITS, les intérêts économiques sous des explications psychologiques… et cela nous donne le cas Glucksmann trafiquant d’armes au profit de cette Géorgie de Saakashvili en train de nous vendre des scénarios bidons sur les Ouïghours et imposant au NFP populaire des orientations de la CIA en violation des FAITS. Comment on en arrive à vouloir créer une révolution de couleur sous le prétexte d’un pays qui lutte contre des associations financées par les Etats-Unis et l’UE pour déstabiliser des gouvernements dans lesquels la présidente passée à l’opposition a directement été installée par la France et n’obéit qu’à l’occident ? Alors même que la France en est à pratiquer une censure totale sur tout ce qui ne correspond pas au narratif occidental (note de Danielle Bleitrach et traduction de Marianne Dunlop)

https://vz.ru/news/2024/8/8/1281213.html

Les anciennes autorités du pays et la présidente Salomé Zourabichvili, passée à l’opposition, ont reconnu la responsabilité de la Géorgie dans le déclenchement de la guerre de 2008, a déclaré le premier ministre Irakli Kobakhidze, rapporte le correspondant du journal VZGLYAD à Tbilissi.

Il s’est rendu sur les tombes des soldats morts au combat et a déclaré aux journalistes que les tribunaux internationaux de La Haye et de Strasbourg ont confirmé que l’armée géorgienne “n’a pas violé les droits de l’homme et n’a pas commis de crimes de guerre, et c’est une victoire de principe”.

Répondant à la question de savoir qui avait commencé les actions militaires, le président du conseil des ministres a rappelé que le Mouvement national uni de Saakashvili avait signé une résolution du Conseil de l’Europe sur la responsabilité de la partie géorgienne peu de temps après la guerre.

Irakli Kobakhidze a également rappelé qu’en 2018, lors de la campagne présidentielle, la présidente Salomé Zourabichvili “a prouvé que la guerre avait été déclenchée par (l’ancien président Mikhaïl) Saakachvili.”

À cet égard, il a confirmé qu’après les élections législatives du 26 octobre, Rêve géorgien a l’intention d’enquêter sur l'”aventure” de Saakashvili en 2008.

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