Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

La lettre volée, l’envol présidentiel ou cette guerre que l’on ne saurait voir

Jouons sur les “mots” et maux puisqu’il est question de lettre et de guerre, quelle lettre du président nous a été “volée” : comment se fait-il que personne ne paraisse voir l’évidence, à savoir que la lettre est envoyé du sommet de l’OTAN ? La lettre volée d’un président envolé, loin de la catastrophe qu’il a provoquée et le vol annoncé (comme pour la constitution européenne) du vote des Français pour garantir le vol de ceux à qui la guerre rapporte … le tout dans le contexte des révélations sur les budgets transport de ces gens qui truffent notre continent de missiles et déversent des milliards dans l’escarcelle de Zelensky, le président volant…

De l’OTAN et de La lettre volée celle du président !

Hier, nous avons déjà manifesté notre étonnement sur le fait que les commentateurs, politiciens mettaient si peu en évidence le fait que le président avait cru indispensable malgré la situation de crise de s’envoler au sommet de l’OTAN (y rejoindre d’ailleurs d’autres chefs d’Etat déstabilisés) et en quoi son contenu avait un rapport avec ce qui se traitait à ce sommet.

Ce paragraphe d’un article d’Asia Times ( site pour investisseurs asiatiques) dit les chose très clairement:

Il y a aussi des problèmes économiques graves et inévitables. Si le président français Emmanuel Macron fait des concessions à la gauche, ce sera douloureux. La gauche veut un « impôt sur la fortune » de 90 % et des dépenses sociales beaucoup plus importantes. (« La richesse » quitte déjà la France.) La France ne peut pas faire cela et quand même mettre des milliards en Ukraine. Les arsenaux actuels sont gravement épuisés, de sorte que le financement réel pour l’avenir devra provenir des budgets de fonctionnement actuels. Les conséquences sont une spirale de mort économique pour la France ; une expérience qui pourrait se répéter au Royaume-Uni avec son nouveau gouvernement travailliste.

Cet article d’Asia times, que nous publions aujourd’hui, énonce sans la moindre ambiguité ce que nous expliquions hier à savoir que la lettre du président qu’il adresse au pays et aux parlementaires en proie à des tractations et jacasseries insensées s’explique par la fait qu’il l’adresse depuis le sommet de l’OTAN. L’alliance de guerre qui cherche à s’étendre toujours plus et avait à l’ordre du jour la manière d’entretenir le conflit ukrainien y compris en cas d’arrivée au pouvoir de l’ingérable Trump et l’ouverture à l’Asie en vue de la guerre avec la Chine. .. Cette alliance qui se veut un bélier de puissances imposant leur loi (intitulée “démocratie) au reste de l’humanité, en particulier au sud qui émerge et veut trouver sa place non subordonnée dans les relations internationales.

La lettre du président a laissé pantois la plupart des commentateurs même les mieux disposés tant elle reposait sur le déni, déni du vote, déni de la responsabilité présidentielle. L’art et la manière de prétendre se situer au dessus de la mêlée du désordre que son auteur n’a cessé de provoquer. Entre autrres il a fait de la montée du Rassemblement National le principe même de son maintien au pouvoir de plus en plus impopulaire, au vu d’une politique qui sacrifie toujours plus les couches populaires et rend leur protestation dénuée d’écho politique… Il a récolté le fruit de ses efforts et de celui de ses prédecesseurs avec un Rassemblement national proche du pouvoir . Tout en feignant de s’en effrayer il s’apprêtait déjà à négocier le domaine réservé de la politique étrangère, de la guerre, comme d’autres qui jouent déjà la présidentielle comme Edouard Philippe dinant avec madame Le pen et lui proposant sans doute d’attendre… Mais revenons à Macron, il a organisé la dissolution dans le double but d’abord de porter au pouvoir le dit RN et l’user dans une cohabitation qui s’entendrait au préalable sur la poursuite de l’essentiel. Ces calculs ont été déjoués par la poussée du NFP. Poussée toute relative comme sa majorité relative dans une assemblée nationale dont la “droitisation” est encore plus évidente. Ce qui laisse augurer le type de “compromis de projets” sur lesquels se réaliseraient les attentes présidentielles de la lettre qui vole leur vote aux Français.

Ce que dit cette lettre, c’est une fin de non recevoir à la prière de la gauche : “laissez-nous gouverner… “Il leur répond, c’est moi l’OTAN ou le chaos ou les deux peu m’importe, trouvez un compromis qui ne remette pas en cause ce fondamental et nous verrons. En attendant il me reste les moyens de gouverner avec mes priorités.

Pourquoi personne n’a fait le lien entre l’OTAN et ce déni, cette arrogance présidentielle.. cette manière d’ignorer le cri électoral et la ruée vers les urnes ?

La question de la paix et de la guerre a d’ailleurs été totalement occultée dans cette étrange vaudeville qu’ont été les comportements médiatico- politiciens et l’interprétation des votes français, la question de la SECURITE se limitant à la seule immigration… Les programmes ignorant pratiquement le coût de la guerre…Personne de droite comme de gauche parait s’intéresser à la question…

Cette impossibilité de voir fait étrangement songer à la lettre volée d’Edgar Allan Poe, qui d’ailleurs se passe à Paris

La Lettre volée est une nouvelle d’Edgar Allan Poe, parue en décembre 1844, qui a donné lieu à toute une littérature psychanalytique de Marie Bonaparte à Lacan . L’histoire est la suivante : Le détective Auguste Dupin est informé par G…, le préfet de police de Paris, qu’une lettre de la plus haute importance a été volée dans le boudoir royal. Le moment précis du vol et le voleur, D…, sont connus du policier, mais celui-ci est dans l’incapacité d’accabler le coupable. Malgré des fouilles extrêmement minutieuses effectuées au domicile du voleur, G… n’a en effet pas pu retrouver la lettre. Quelques semaines plus tard, Dupin restitue la lettre au préfet. Il explique alors au narrateur comment certains principes simples lui ont permis de retrouver la lettre.

La réflexion logique est au centre de la nouvelle, et toute une part de l’intrigue s’appuie sur les difficultés à trouver une solution rationnelle à la disparition de la lettre. Lors de sa visite à Dupin, G… explique les raisonnements qui lui ont permis de découvrir l’identité du voleur, D…, et ceux qui lui ont permis de déduire que la lettre était toujours en sa possession, cachée quelque part dans son domicile. En dépit de ses certitudes, G… n’est pourtant pas parvenu à récupérer l’objet : le mystère, pour lui, résulte donc de cette incapacité à obtenir des résultats malgré la possession d’éléments suffisants, en principe, pour réussir. Si Dupin réussit, lui, à résoudre cette apparente contradiction, c’est parce qu’il a su raisonner autrement que le policier. G… a en vain cherché la lettre en la supposant cachée : il a sondé tous les espaces pouvant abriter une lettre qu’on aurait voulu dissimuler. Dupin comprend lui que si G… a échoué, c’est que la lettre volée a volontairement été mise en évidence par le criminel. Loin d’être rangé dans un endroit secret, le billet est en évidence dans le bureau du coupable : la lettre a été froissée, maquillée d’un autre sceau et d’une autre écriture après avoir été pliée à l’envers. Si elle n’attire pas l’attention c’est qu’elle semble sans valeur, ordinaire et ne suscitant aucune curiosité.

L’idée qui est au centre de notre référence de ce conte à l’occultation de la Guerre serait : Ne dépense-t-on donc tant d’esprit d’investigation des motifs cachés qu’afin de détourner le nôtre de ce qu’il nous fut indiqué de tenir pour acquis auparavant, à savoir que la police a cherché partout enfin dans le champ du quadrillage qui est le sien ou le notre. Alors on peut concevoir que la lettre échappe à tous en particulier à ce bavardage ininterrompu des médias, des réseaux sociaux, alors que la lettre est là dans une telle évidence.

Tout ce bavardage des médias et des réseaux sociaux tourne autour de l’idée de faire connaitre ce que l’observation du naïf ordinaire ne saurait découvrir, mettre en évidence les ressorts de la politique ne peut découvrir. L’objet de la politique est affaire de spécialistes et le petit peuple en est réduit à imaginer des complots.

Parfois comme l’enfant qui s’exclame que le roi est nu, une innocente ménagère peut s’exclamer au détour de babillages qui se terminent toujours par l’initulité de s’occuper de politique: ils veulent faire la guerre parce que ça rapporte à certains.

Et voici tout le quadrillage de notre société, tout ce qui bâtit en fait une confiance jamais entamée dans la subtilité mise à nous cacher les arcanes de ceux qui prennent la décision et si loin de nous qu’ils sont intouchables proche de l’effondrement.

Et comme tout le système fonctionne sur l’irresponsabilité revendiquée de gamins vicieux qui feignent de savoir et forment des clans dont le principe est moins ce que l’on pourra faire mais comment défaire le rival, le partenaire… le tout dans des déjeuners en ville, dans des transports que l’on confond avec son bureau, et en se désintéressant totalement du vain peuple qui ne sait rien ou est censé ne rien savoir… A tort et à raison, cela laisse penser que l’ambition de cette gauche se réusme à l’illusion de postes, celui de la présidence de l’Assemblée ou quelques marroquins dérisoires la politique se décidant ailleurs… Tous ces gens semblent avoir oublié les expériences de cohabitation et ce à quoi elles ont abouti faute d’intitatives populaires… Les bonnes volontés sont usées dans les apparences et je me souviens encore de ce ministre de la seconde cohabitation que nous avions surnommé “gyrophare” tant il paraissait éprouver de joie aux excès de vitesse autorisés par l’application de cet instrument sur son véhicule…

Un message dans les médias est censé valoir plus que l’électeur et que le militant du parti politique condamné n’être plus qu’un distributeur de tract et colleur d’affiche tandis qu’un quarteron pense pour lui…

Ce qui est in fine exigé de ces “responsables” est leur autodestruction :

L’exemple vient de haut, Macron détruisant sa majorité et sa propre assise, mais cela va encore plus loin : là encore voyez ce qui se passe au sommet de l’OTAN dans cet aréopage de dirigeants fragilisés par rapport à leur propre peuple : Il a fallu que le malheureux Biden fasse la preuve qu’il est apte à donner une conférence de presse cohérente. A ce stage du dopage même Amstrong relève de l’amateurisme . Pendant près d’une heure hier soir, jeudi le président américain a réussi à répondre aux questions des journalistes à la fin du sommet de l’Otan. Mais puisque nous en sommes à la lettre volée et à l’intérêt que ce récit a suscité chez les psychanalistes sur la relation entre le mot, la lettre et l’inconscient fonctionnant comme un langage,les lapsus malheureux, comme lorsqu’il a confondu le nom de sa vice-présidente Kamala Harris avec celui de Donald Trump, après avoir peu de temps auparavant appelé Vladimir Poutine le président ukrainien Volodymyr Zelensky, ont terni sa performance. Ces bourdes auraient été qualifiées de gaffes voici encore quelques semaines, Biden étant connu pour mélanger fréquemment les mots. Mais depuis son apparition télévisée face à Trump le 27 juin dernier, les questions sur son état physique se multiplient et tout cela éclaire le caractère de plus en plus autophage de cette “hégémonie” et son déclin mortifère … Ce n’est même plus une question d’âge la lettre de notre président étant un symptôme encore plus manifeste de la sénilité de la dictature du capital.

Vol en plein vol pour des vols bien plus considérables…

L’impression d’un monde tout puissant et caché à un coût stupéfiant et grotesque, le capital bureaucratise à l’infini la production, y compris sa “démocratie”.

Aujourd’hui est entrevu par Politico qui a mené une enquête sur les notes de frais des ministres se rendant à ces sommets et traitant à leur manière de la paix et de la guerre On se dit vaguement que n’avoir aucune prise sur cet Olympe relève d’une organisation complexe, hautement bureaucratisée mais qui laisse des traces . Des pratiques sont inconsciemment destinées à créer ce halo d’invulnérabilité et de toute puissance… qui est celle des individus qui définissent les politiques internationales et l’idée élémentaire (mon cher Waston) que la guerre ça rapporte à certains nous est révélé par le prix des déplacements tout en n’étant on s’en doute que la pointe de l’iceberg, le menu pourboire dérisoire du fonctionnement de la dictature du Capital qui nous conduit silencieusement à la guerre.

Ce genre d’information sur les transports non seulement se heurte à tout un discours sur la préservation de la planète par les mêmes mais il soulève un coin du voile sur les réalités politiques et l’analyse des déplacements a déjà permis beaucoup de remise en cause du discours officiels: l’existence de centre de torture délégués par les Etats-Unis à des pays du Tiers monde de l’Egypte à l’Ouzbékistan et bien d’autres a pu être détecté grâce à l’obsession de certains observateurs maniaques qui ont détecté des vols non officiels.

Ainsi des notes de frais, révélées par Politico, témoignent de voyages ministériels onéreux. De nombreuses personnalités politiques ont utilisé des jets privés ou ont bénéficié de moyens qui ont coûté, pour la plupart, plusieurs dizaines de milliers d’euros. Il s’agit là des ministres qui agissent en notre lieu et place dans le domaine de la guerre mais il y a les mêmes comportements chez les grands argentiers : Plus de 50 000 euros en 2023 ! Les notes de frais exorbitantes du gouverneur de la Banque de France


Les chiffres donnent quelque peu le tournis. Ce jeudi 11 juillet, Politico a révélé certaines notes de frais des différents voyages ministériels. Chrysoula Zacharopoulou, Catherine Colonna, Agnès Pannier-Runacher, Amélie Oudéa-Castéra… De nombreux (anciens) ministres sont épinglés pour des déplacements onéreux. Comme l’explique le média, si la flotte d’avions gouvernementale ne peut être utilisée, les ministres peuvent se rabattre sur des vols commerciaux.

Mais certains ont plutôt l’habitude d’utiliser des jets privés. En 2022, par exemple, la ministre des Affaires étrangères, Catherine Colonna, s’était rendue au G7, à Berlin, en jet. Coût du voyage : 43 000 euros. Une jolie somme que ne renierait pas celle qui fut sa collègue au gouvernement, Chrysoula Zacharopoulou. Le 14 juillet 2022, la secrétaire d’Etat chargée du Développement assiste à une conférence en soutien à la Moldavie. Pour un voyage depuis Paris et jusqu’à Bucarest, voilà que l’État doit débourser 34 000 euros…


Relier des villes européennes en avion privé, plutôt qu’en train
«Entre les cérémonies du 14 juillet et la conférence, elle n’avait pas d’autres solutions que cette solution là», justifie le Quai d’Orsay, expliquant que cette demande avait été validée par le chef de cabinet d’Elisabeth Borne, alors Première ministre. D’autres ministres ont également eu droit à quelques faveurs : fin juillet 2022, Amélie Oudéa-Castera effectue un vol entre Paris et Londres. Problème : les villes européennes reliées par un réseau à grande vitesse doivent se faire… en train.

Pour se rendre en Ukraine, Clément Beaune, ancien ministre délégué aux Transports, a par exemple loué deux véhicules blindés. Coût du voyage de deux jours : dix mille euros. D’autres voyages, notamment vers le Qatar lors de la Coupe du Monde, ont également été épinglés par Politico. Le média a dû déposer plusieurs recours devant le tribunal administratif pour obtenir des réponses de la part des différents ministères. À cette heure, seul celui de l’Economie et des Finances n’a pas donné suite.

Qui vole qui ? avec l’assentiment de qui ?

A ce bilan des vols, il faut ajouter le coût bien plus exhorbitant , sans commune mesure même avec l’exode fiscal, celui de la militarisation de notre économie par refus de toute négociation… sans nous demander notre avis et notons le sans que même la gauche songe à demander des comptes…

Cette gauche, qui joue les copinages de cours de récréation, pourtant est la seule à réclamer un programme qui desserrerait un peu l’étranglement du peuple et fait état de ce qu’elle a appris d’une campagne électorale… Mais parce qu’elle refuse de voir le principal à savoir l’existence de ce gouffre budgétaire qui se creuse devant elle et qui va immédiatement servir aux marchés financiers et grands investisseurs pour empecher la réalisation de son programme minimum de rattrapage d’une partie de ce qui a été volé au peuple français. Parce qu’elle refuse de voir la conséquence logique d’une telle prise de conscience : organiser la résistance de ses militants et leur ancrage dans un peuple en souffrance.

Il y a les milliards déversés, le 40 milliards comme les voleurs du même nombre, la Corée du sud invitée a ajouté 26 millards alors même que le moins que l’on puisse dire est que le peuple coréen est en majorité contre l’entrée en guerre… sans garantie chacun le sait vue l’état de corruption de l’Ukraine d’où le pactole atterrira encore une histoire de voleurs…

Macron, notons le, a reçu quitus pour que la comédie qui se joue aujourd’hui vendredi à Paris autout de la mise en forme des voeux présidentiels et ceux de l’UE otanisée :

Macron rassure sur les engagements de la France
De son côté, Emmanuel Macron a réaffirmé jeudi les engagements de la France sur l’Ukraine, l’Europe et l’Otan, malgré la crise politique dans laquelle elle est plongée, et reçu un soutien appuyé du chancelier allemand Olaf Scholz durant le sommet de l’Alliance à Washington. « J’ai pu confirmer à l’ensemble de mes homologues et alliés que la France aurait une approche de continuité de ses engagements internationaux, qu’il s’agisse de l’Europe, de l’Alliance ou du soutien à l’Ukraine, car les forces politiques qui constituent une majorité à l’Assemblée sont en faveur de ces lignes », a précisé le président français à l’issue du sommet.

« En aucun cas ce sont les forces qui les remettaient en cause qui ont dégagé une majorité et ça les a rassurés » a-t-il insisté, visant les partis populistes (Rassemblement national, LFI).

« Par ailleurs, la France a une Constitution claire en ces domaines qui permet d’assurer la continuité de sa politique étrangère et sa crédibilité internationale », a encore souligné le chef de l’Etat. « Il incombe maintenant aux responsables politiques de trouver une solution et d’en tirer parti. Je suis très confiant sur le fait qu’ils finiront par le faire », a déclaré Olaf Scholz. L’Allemagne a elle-même une longue tradition de gouvernements de coalition, y compris entre adversaires chrétiens-démocrates et sociaux-démocrates qui dominent la vie politique allemande depuis 1949. « La France sera sur la scène internationale un partenaire important, un partenaire solide pour nous tous et particulièrement pour l’Allemagne », a encore indiqué le chancelier allemand.

France, Allemagne, Italie et Pologne ont signé jeudi en marge du sommet de l’Otan une lettre d’intention actant un projet conjoint de développement et d’acquisition de missiles de longue portée (supérieure à 500 kilomètres), disant vouloir combler un manque mis en exergue par l’offensive de la Russie en Ukraine.
S’exprimant à l’issue d’une cérémonie à Washington, le ministre français des Armées a déclaré que l’objectif était de disposer d’une force supplémentaire de dissuasion.

“L’idée, c’est que la démarche soit la plus inclusive possible et qu’elle corresponde à des besoins opérationnels”, a dit Sébastien Lecornu à des journalistes, laissant entendre que la Grande-Bretagne pourrait en faire également partie.

“Cela a de la valeur, y compris sur le terrain budgétaire, parce que ça permet évidemment d’amortir aussi les différents coûts”, a-t-il ajouté

En revendiquant le droit de gouverner sans ce préoccuper le moins du monde de ce domaine “réservé” à qui ? Pas au seul Macron, un simple fondé de pouvoir…

danielle Bleitrach

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2 Commentaires

  • SUN TZU
    SUN TZU

    Broutilles…
    le vrai calcul à faire serait celui de l’impact carbone et impact environnemental de la guerre période où toute régulation est mise en sommeil

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  • Zedday

    C’est gonflé de dire qu’augmenter les impôts fera moisn da’argent pour la guerre, tout de même! C’est avouer tranquillou qu’on fait la guerre uniquement avec l’argent du menu peuple, quitte à se qu’il crève de faim!

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