Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Coopération et pas la guerre… sans vous on ne peut rien du tout… même pas la faire… la guerre…

Du temps où il existait un dialogue entre les artistes et le peuple, ce chant magnifique de Colette Magny qui dit que l’humanité sera sauvée quand elle passera de la compétition à la coopération, à ce moment-là, elle pourra à la fois douter et croire, douter et agir, douter et vouloir.. Cela s’appelle le socialisme, le vrai celui qui libère la créativité des masses… Et le second chant dit que nul ne peut le faire à votre place…

Que ces deux chansons et la voix magnifique de Colette Magny vous dise le fond de ma pensée, parce que lutter contre l’extrême-droite est indispensable mais ce sera terrible si c’est la démonstration de l’incapacité à respecter les promesses et la parole donnée. Non seulement toutes les forces du capital vont être vent debout devant ce programme fruit de l’intersyndicale et tenteront par tous les moyens de le rendre impossible, mais il y a une disposition qui est déjà la base de l’échec c’est le choix de la guerre…

Il n’y aura aucune possibilité d’appliquer un programme de gouvernement de rupture avec la politique menée depuis des décennies par une alternance de gouvernements de droite et de gauche, si on suit l’OTAN et si on consacre à la guerre non seulement toujours plus du budget de la nation mais tout ce qui est prévu pour “aller jusqu’au bout” en faveur de l’Ukraine…

Le vrai problème est donc dans la capacité du peuple et singulièrement des travailleurs sur leur lieu de travail d’exiger l’application du dit programme et de refuser de sacrifier les promesses aux trusts de l’armement et à ceux qui comme Bouygues lorgnent le marché de la reconstruction des désastres de la guerre.

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