https://kprf.ru/party-live/cknews/224995.html
- Chers camarades ! Chers amis !
Pour la première fois, les élections présidentielles auront lieu dans les conditions de la guerre déclenchée contre nous par les troupes de l’OTAN. L’Occident a décidé que l’occasion d’en finir avec la Russie était venue. Il se venge des peuples qui n’ont pas pu être intimidés ou soudoyés par des promesses. Nous continuons tous à honorer les exploits de nos ancêtres. Les défenseurs de la patrie luttent vaillamment contre un ennemi lourdement armé. La réserve de force de la grande économie soviétique nous a permis de résister. Le pays a reçu l’espoir d’une nouvelle renaissance. Si au moins les communistes français daignaient comme la plupart des autres partis dans le monde prendre connaissance des positions du KPRF, ça les aiderait peut être à ne pas être le canada dry de la FI quand elle s’aligne sur Glucksman… On a beau savoir que ‘l’on ne remonte pas trente ans de dérive en un jour il est des moments où l’on se dit qu’il y a trop de forces qui tirent en arrière… j’espère que d’autres ont meilleur moral que moi… (note de danielle Bleitrach traduction de Marianne Dunlop)
Les élections présidentielles sont un événement particulier. Chacun a l’occasion de montrer, par son bulletin de vote, la voie qu’il préconise pour la Russie. Et la Russie, c’est nous. Il s’agit du destin de chacun d’entre nous. Lorsque l’enjeu est tel, il est dangereux de penser que rien ne dépend de notre vote.
Oui, les autorités se sont entourées d’un mur de pression administrative et informationnelle, de vote à trois jours et de vote électronique. Mais ce mur n’est imprenable qu’à première vue. La sagesse populaire dit, non sans raison, que “la solidarité est plus précieuse que la richesse”. L’histoire a prouvé qu’un peuple uni peut faire des miracles.
Plus d’une fois, notre patrie s’est trouvée au bord de l’abîme. L’ennemi extérieur et le traître intérieur l’ont déchirée. Mais la Russie a su renaître de ses cendres et revivre. Elle a été sauvée non pas par des héros individuels, mais par la dignité et le courage de tout le peuple. Ce sont nos ancêtres qui ont chassé Mamai du champ de Kulikovo. Ils ont accompagné Minin et Pozharsky pour libérer Moscou des Polonais et de la trahison des boyards. C’est leur bâton qui a battu l’armée “invincible” de Napoléon. Ce sont les travailleurs qui ont accompli la révolution socialiste et défendu la patrie contre les envahisseurs cupides et la trahison des gardes blancs. Sous la direction des communistes, le peuple soviétique a écrasé la racaille fasciste.
Les masses laborieuses sont l’épine dorsale de la Russie d’aujourd’hui. Même la trahison la plus diabolique des “fringantes années quatre-vingt-dix” n’a pas pu briser notre peuple. Il a remporté une grande victoire morale sur les mensonges et la trahison universels. Redressant les épaules, il a montré à tous qu’il était vivant et prêt à mener les “humiliés et les insultés” à l’assaut des forteresses de l’injustice.
Il y a beaucoup de choses à faire. Le gouvernement est encore plein de ceux qui entravent la renaissance de la patrie et soupirent secrètement après les stations de Courchevel. De nombreux problèmes nécessitent des solutions urgentes. Le KPRF les a toujours énoncés de manière honnête et réfléchie. Nous avons dénoncé la nocivité de la voie libérale, insisté sur un changement complet d’approche du développement de l’économie et de la société.
Nous avons exigé et continuons d’exiger un soutien à la science et à l’introduction de nouvelles technologies. Nous défendons les enseignants et les médecins, les retraités et les familles nombreuses. Nous nous soucions de la jeune génération. Nous aidons le Donbass. Nous soutenons l’armée et la marine. Nous luttons contre la falsification de l’histoire. Nous défendons notre grande spiritualité et notre culture.
Le gouvernement emprunte déjà les idées et les approches du KPRF, mais il le fait timidement et à l’aveuglette. Les changements importants sont clairement retardés.
Les autorités sont de moins en moins disposées à défendre l’héritage pourri d’Eltsine. Toutefois, les vestiges de cette époque continuent d’entraver la marche en avant. Le parti de la revanche libérale espère torpiller un virage à gauche amorcé de longue date.
Il est inacceptable pour nous que les pauvres continuent à s’appauvrir, les riches à s’enrichir et le pays à s’éteindre. Que l’argent soit siphonné hors de Russie. Que la cinquième colonne continue à tisser sa toile. Que le “Centre Eltsine” nuise encore et que les monuments à la gloire du traître Krasnov polluent le sol russe.
Chacun doit savoir que les demi-mesures ne suffiront pas. Pour résister à la guerre avec l’Occident et la gagner, nous avons besoin d’un redressement complet du pays. Les changements doivent reposer sur des bases solides. Le programme de victoire du KPRF, le programme de Nikolaï Kharitonov, le crée.
Il est déjà extrêmement dangereux d’ignorer la nécessité d’un virage à gauche. Et c’est pourquoi l’élection présidentielle n’est pas une simple marque sur le bulletin de vote. C’est l’occasion de dire “oui” à un avenir meilleur et plus juste.
Nikolai Kharitonov n’a jamais eu peur de parler des problèmes, offrant la clé pour les résoudre. Et pour que la Russie puisse surmonter toutes les menaces, il est nécessaire de travailler dur, intelligemment et honnêtement.
Nikolai Mikhailovich est un personnage typique de travailleur, de combattant, de patriote. Il a été forgé par l’esprit créatif de l’ère soviétique. Représentant de la génération d’après-guerre – il est fidèle à l’exploit de ses pères – les vainqueurs du fascisme. Originaire d’un village sibérien, il a franchi toutes les étapes de l’échelle du travail, a travaillé non par peur, mais par conscience.
Dans les années difficiles, Nikolai Kharitonov est devenu la voix des paysans et des travailleurs, ceux qui ont été spoliés par la contre-révolution antisoviétique. Les travailleurs ont beaucoup perdu à l’époque, mais ils ont conservé leur honneur et leurs idéaux les plus brillants. C’est leur conscience et leurs principes qui constituent la base de la renaissance de la patrie.
Nikolaï Mikhaïlovitch n’a jamais “collé à la chaise”, il est resté un homme du peuple. Du haut de la tribune de la Douma d’État et lors des rencontres avec le peuple, il dit la vérité, porte la parole du KPRF et propose des solutions. Aujourd’hui, il est à nouveau à la pointe du combat. Avec les forces patriotiques du peuple, notre candidat propose de rendre au peuple les richesses du pays, d’assurer la percée de l’économie, de réaliser la justice.
Le temps l’a prouvé : les communistes avaient raison. Le capitalisme est en faillite. Il pue la guerre et le fascisme. L’avenir est au socialisme.
Ce n’est qu’en résolvant les problèmes stratégiques que nous pourrons aller de l’avant en toute confiance. Il nous faut notamment
- un changement de cap fondamental ;
- la nationalisation des industries stratégiques
- une planification socio-économique à long terme
- une croissance décisive des investissements dans la haute technologie, la science et l’éducation ;
- l’arrêt du retrait des capitaux à l’étranger ;
- un soutien global aux entreprises nationales et collectives ;
- le renforcement de la protection sociale des jeunes familles, des retraités et des “enfants de la guerre”.
- Améliorer la qualité de vie dans le pays.
Chers concitoyens, le programme de Kharitonov et du KPRF est un programme de création et de développement, de paix et de justice ! Plus les gens nous soutiendront, plus vite nous changerons la vie pour le mieux.
Je vous invite à voter pour un travailleur acharné, un patriote, un combattant, un communiste.
Nous avons joué avec le capitalisme et cela suffit !
Un vote pour Kharitonov est un vote pour la Russie, pour l’avenir, pour le socialisme !
Le socialisme vaincra !
Vues : 321