Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

A propos d’un lynchage, de ce qu’est un homme ou une femme, de la lecture de Marx

Deux lecteurs pour lequel j’ai une grande estime me font part de leur réserve sur le premier article sur “le monstre sacré” Depardieu… Disons tout de suite que parmi les commentaires,il en est d’autres dont je censure l’expression sans le moindre état d’âme, parce qu’ils abondent dans les réseaux sociaux et si ce blog a un certain niveau reconnu de débat on le doit à ce qui est publié. Donc ces deux amis lecteurs ont critiqué mon article sur Depardieu en proclamant que ce type, cet “évadé fiscal” ajoute l’un d’eux, ne mérite que le mépris. Leur opinion était claire, précise, et sans le moindre tarabiscotage, c’est bien! Voici ce que je leur répond et qui vaut également pour le choix d’une certaine complexité qui m’est parfois reprochée, alors que ce blog grâce à ses nombreux collaborateurs insiste sur une vocation d’éducation populaire au meilleur sens du terme. Nous y défendons la “clarté gauloise” dont parlait Marx, celle de Diderot disant “laissons aux grues le séjour des brouillards” et l’éternel Boileau “ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément“… Alors parlons clairement si faire se peut quand il est plus ou moins questions de ‘l’obscur objet du désir”…

Est-il vrai qu’il est prétentieux et abscons de s’intéresser à la bonne conscience d’un lynchage, de s’interroger sur ce que le machisme, la virilité joue à tuer dans l’homme ? Comment tout cela est porté par une industrie culturelle au moment où celle-ci est en train de stocker et de restituer grâce à des machines avec des algorithmes des morceaux de virtuosité humaine ? De s’interroger sur la grève des artistes à Hollywood sur ce thème justement… qu’est-ce qui est vendu ? et par qui ? Le doigt d’honneur du piquet de gréve ou la bitte de Depardieu…

C’est clair et mes interlocuteurs ont raison d’exiger qu’un intellectuel, un artiste, ait le minimum de respect de lui-même et des autres pour se conduire correctement, il n’y a pas de complaisance à avoir face au délit, face à ce qui blesse et détruit parfois une vie. Mais c’est le contraire du lynchage…

Oui cela est clair, ce qui l’est moins est ce qui relève d’aller au delà du fait divers de sa sanction par les tribunaux et des luttes syndicales face à ce qu’est l’industrie culturelle.

Il est plus difficile de prétendre moduler une réflexion entre le “fétichisme de la marchandise” et celui du “je sais bien mais quand même” innocente perversion de l’amateur de bottine chez Restif de la Bretonne, de l’image, qui sait bien que maman n’a pas de penis mais tout de même, de la volupté à la pornographie, du puritanisme, de l’éthique protestante au capitalisme, de la paranoïa sociale du fait divers à la crise de l’impérialisme… C’est périlleux… mais comprendre est aussi nécessaire… cela fait partie de l’aspiration à une autre société. Et ce n’est pas un hasard si Marx et toutes les réflexions qui l’ont enrichi sont allées plus loin, dans ce qui chez l’individu renvoie à la nécessaire transformation de la société et entraine la transformation de l’individu.

Depardieu un porc, certes… Oui mais… Alors qu’il suffit de voir la prestation de Depardieu dans le tour de chant qu’il consacre à Barbara ou tenue de soirée pour mesurer à quel point il a une sensibilité “féminine” ou qui a été décidée telle, baptisée hystérie et qui va avec l’autorisation du viol : elles le demandent n’est-ce pas ces utérus sur pattes, ces provocatrices ? dit le porc ordinaire ce qui est injurieux pour le cochon comme l’a défendu Pasolini dans “porcherie” puisque le porc sauve le fils de famille du nazisme comme le masochisme supposé du désir féminin fait de certains des Venus à la fourrure, chacun se déguise … Et à partir de cette féminisation de l’hypervirilité, qui se retrouve chez Marlon Brando et qui fait l’horreur ambiguë d’un tramway nommé désir et du dernier tango à Paris, clouer au sol la femme vieillissante, la starlette fragile en offrant au désir homosexuel le spectacle d’un torse masculin artistiquement dévoilé… Est-ce un hasard si ceux qui ont assumé cette “hystérisation” sont devenus obèses quand le temps est celui d’Héliogabale et de l’anarchiste couronné avec Elon Musk ? Où en sommes nous dans la parodie ?

Mais qui défendra l’opéra magnifique de la chute de Berlin ? Soy Cuba ? Tout y est de l’ambiguïté humaine mais prend le risque de l’épopée de la vie sur la mort ?

Est-il aujourd’hui judicieux de s’interroger sur la vente et l’achat de l’athlète des sentiments qu’est un acteur donc de la relation avec le profit au temps de ce qui est bien mal nommé l’Intelligence Artificielle, hypostasier la peur de la machine comme celle de l’Homme pour mieux faire oublier que la créature Frankenstein est la victime, il fallait être la féministe, fille de féministe, révolutionnaire Marie Shelley pour oser affronter le mythe du monstre créature du savant fou, le golem trop humain… est-ce que l’on peut et doit citer tout ce qui dans nos lectures, de nos expériences nous conduisent à réagir ? Peut-on dénoncer la pornographie imbécile, l’inculture proclamée, la pensée réduite à un slogan souvent apocryphe d’un auteur dont on ignore tout, et leur préférer les errances d’une pensée ? A voir ce qui se joue dans la manière dont au temps du profit, signifie la création, le corps livré en pâture et de la relation entre l’industrie culturelle, il reste au moins une certitude : n’y a rien à espérer de la vertu des lynchages quand ils s’accomplisssent avec la bénédiction des mass médias et leurs propriétaires.

Ce que dit Depardieu m’écœure mais je vais aller très loin non pas dans la défense du personnage mais dans son élucidation, chacun sait qu’il a dû sortir de son mutisme à travers l’apprentissage d’une langue littéraire, théâtrale et je me suis demandé si ivre, dans l’état que Brecht prête dans Maître Puntila et son valet Matti (Herr Puntila und sein Knecht Matti) à maitre Puntila, un capitaliste immonde qui ne devient humain que saoul, encore la dialectique du maitre et de l’esclave, comme jacques le fataliste, Depardieu ne recherche pas à la fois la brutalité supposée du voyou prolétarien et la précision du langage sadien, qui nomme un chat un chat et un vier, un vier. C’est d’ailleurs pour cela que je n’ai jamais pu lire les descriptions de Sade et que je suis sortie au bout de dix minutes du film de Pasolini, Salo ou les jours de Sodome…

Qu’est ce dit Pasolini et de quoi est-il mort ? Et en pensant à ce qu’il advenu à Chaplin et à tant d’autres, le fait qu’il soit allé en Corée ne vous parait pas sans signification … que la révélation ait lieu à partir de là… parce que les évadés fiscaux il y en a d’autres…

Est-ce que cela atténue en quoi que ce soit la répulsion devant les propos, non mais cela vous incite à mesurer votre propre répulsion face à ce gros corps qui transpire… Cette rage à l’idée d’émasculer celui qui ne cesse depuis toujours de prétendre vous interdire d’exister, de se demander par quelle aberration vous avez été si longtemps occupée par ce genre d’individu ? Votre propre complicité et le plaisir absurde que vous y avez pris avant que ce corps obèse comme le vôtre vieilli ne vous incite à la sagesse.

Est-ce un hasard si c’est une femme violée par Strauss-Khan et qui s’est retrouvée prise dans la tourmente d’une dénonciation qui a eu la lucidité de mettre en cause ceux qui ont tenu la camera dans le documentaire et ceux qui se taisent en disant “moteur” ! Est-ce que cela n’a rien à voir avec la mise en scène de la vertu occidentale, de notre démocratie ?

Donc de la tartufferie de l’empire du bien sur le mal, et de ce point de vue je vous conseille de lire La Sainte famille et l’analyse que Marx consacre aux Mystères de Paris, le feuilleton d’Eugène Sue : l’hypocrisie que le prince Rodolphe met à organiser la rédemption des pauvres, y compris le monstre qu’est le maître d’école force de la nature. Mais que voulez-vous, lire les manuscrits de 1844 est devenu impossible à ceux pour qui Marx doit être distribué en trois lignes dans des posts dignes de l’almanach Vermot. Ce que les réseaux sociaux, l’image trafiquée font de nous, la paresse à laquelle nous sommes peu à peu contraints, le conformisme ce que la dialectique de la raison analyse justement, comme d’autres, Pasolini, il faut revoir “porcherie”… Et qui fait que des gens qui n’ont jamais lu Marx le résument à une violence que serait la lutte de classe, peuvent s’interroger sur le fait que la Chine n’aurait rien à voir avec Marx en ignorant tout de la dialectique chez Marx, de la manière dont il ne supporte pas Proudhon, son “ballottement”, ses limites intellectuelles et donc sa misogynie et son antisémitisme.

Parce qu’il est bien question ici de la dialectique du genre. Dieu sait à quel point j’en ai assez de ces thèses sur le patriarcat qui sont le canada dry de la pensée marxiste… pimenté de quelques références mal maîtrisées à Gramsci au meilleur des cas… j’en suis arrivée à quelques idées élémentaires sur le sujet qui me feraient passer pour une parfaite imbécile et je vous en livre deux : ce qui se passe entre deux (voir plus si affinités) adultes libres et consentant les regarde et je leur demande simplement de ne pas me demander d’y participer sans ma volonté expresse. La seconde idée est “on n’a qu’une vie, ne la détruits pas, fais-en un chef d’oeuvre, et tout ce qui fait du bien sans nuire à personne y compris à toi, considère-le avec ouverture d’esprit”.

Le lynchage est aux antipodes de ces deux exigences … En revanche, l’appel au droit, à la justice face au crime contre d’autres individus, s’en accommode comme la pratique syndicale et ce qu’elle porte de nécessaire évolution du droit… c’est parce que l’on a détruit ces instances collectives qu’intervient le lynchage et la fascisation à partir du fait divers…


Est-ce clair ? Est-ce dans mon style habituel ? Peut-être pas, peut-être ai-je du mal à me dégager de l’émotion, de la répulsion ? Autre chose qui aidera à percevoir la nature de ces résistances : je n’ai jamais apprécié quelque chose qui pourtant parait une évidence chez certains créateurs comme Simenon, Picasso, d’autres le lien entre l’acte de créer et le besoin en même temps d’acte sexuels brutaux, élémentaires… de l’ordre d’une tauromachie, mais cela existe… Et les textes de Marx et Engels qui nous permettent de poser autrement exploitation et domination y compris jouée dans la sexualité et dans l’art libération ont le mérite de s’arrêter là où vouloir mêler à l’amour l’honnêteté est une imbécilité… Au titre de ce qui peut être collectif, ils vont aussi profond qu’il est possible dans l’élucidation de l’humain et ce texte est une pure merveille qui renvoie à d’autres comme La Sainte famille ou De l’origine de la famille, de la propriété et de l’Etat…


Si vous allez voir perfect day regardez le dernier plan, la manière dont se modifie le visage de l’acteur et demandez-vous à quoi fait appel cette capacité à être le paysage en mouvement vers la joie, la jouissance épurée d’un professionnel, un athlète des sentiments…. ce qui s’est passé entre Wim Wenders et ce professionnel pour atteindre un tel moment de vérité… Wim Wenders enfin dépasse ses derniers films qui n’étaient plus que de l’auto-citation pour ciné club… Quelque chose était en train de se momifier, cela palpite encore dans cet étrange film sur la perfection des rites accomplis dans les gestes du travail et ceux qui nourrissent l’âme de celui qui accomplit sa tâche dans un paysage mouvant avec toutes les clés et les outils nécessaires pour être un épicurien zen. La force et la fragilité des rituels qui créent l’éternité dans l’instant.

Il y a des gens qui ont aiguisé en eux cette perception de l’art et de sa jouissance qui libère et il leur arrive de se demander ce qu’ils foutent là !!! Quand d’un coup quelqu’un rabat leur exaltation, et les laisse ridicules, grelottant dans leur nudité, ils ont honte de s’être ainsi découverts mais ils savent aussi que cette sensibilité est commune et surprend parfois tant elle est inattendue.


Je voudrais encore ajouter que la plupart des saloperies que j’ai subies en tant que femme l’ont été de gros cons complexés et effrayés par ma culture, ma capacité de raisonnement y percevant dieu sait pourquoi un danger pour eux-mêmes. Enfant j’ai subi des personnages immondes souvent dans ma propre famille, comme beaucoup d’enfants, de petites filles, mais je me suis défendue à partir de l’adolescence et tous ces pleutres ont eu peur… mais la pire catégorie a été et continue à être ceux qui se sentent un complexe d’infériorité et qui de diverses manières cherchent à me le faire payer. Cela va de celui qui ne cesse d’écrire des mensonges sur moi, sur ce que je suis censée avoir fait et qui est totalement imaginaire, comme A H, ceux qui osent dire des infamies y compris sur mon enfant comme IL, mes amies très chères dont les époux se sentent diminués et qui cherchent et arrivent en général à m’éloigner y mettant une opiniâtreté que la conjugalité autorise alors qu’ils n’ont jamais osé agir ainsi tant que mon époux a été vivant, ainsi si (là il y en a des tas y compris un couple de deux femmes dont l’une me hait), ceux qui répandent des histoires grotesques et dans ce blog des tarés que je ne publie pas comme un certain Yves Echard, un des nombreux individus qui en prenant un pseudonyme ne voient pas que leur E-mail est lisible) qui m’accuse d’être une espionne du mossad… Lui aussi il appartient à une catégorie… parce que tous les stigmates d’exclusion sont marqués par une dimension de genre que l’on a transformé en dimension de classe (la femme est le prolétaire du prolétaire). Celui sur qui tous les coups sont permis…

Je cite quelques noms ou initiales mais chacun d’eux en recouvre une dizaine d’autres, ils ne sont que des “types” c’est ce qui me fait dire que c’est social, ce qu’ils ne supportent pas c’est que je les remette en cause dans leur minable protection de la virilité et ce qui est fascinant c’est l’obsession maladive qui peut être la leur, leur tartufferie, on croirait Iago tramant à travers Desdémone le malheur d’Othello… Il faut qu’ils se sentent bien obsessionnellement attaqués par ma seule existence pour agir ainsi alors que je m’en désintéresse et que j’évite le contact parce que j’éprouve un mélange de pitié et de répulsion comme devant ce que fait Depardieu…

Mais je sais que c’est le revers d’une certaine autorité que l’on m’attribue, un pouvoir disons politique et qui est réservé socialement aux hommes. Cela dépend parfois comme chez Depardieu de ce qu’ils ont dû vaincre pour pouvoir parler, vaincre en eux raconte Depardieu le prolo dédé et j’ai été touchée par la réaction du frère silencieux de Depardieu qui le défend en expliquant comment avec sa mère il s’effrayait de voir Gérard raconter n’importe quoi… Se taire, se protéger, une prudence des exploités dont on a prétendu exempter Gégé et qu’il a peut-être cru être une privilège de la classe à laquelle il accédait… Là encore il y a de la chute de la courtisane dans ce lynchage… Celle qui par la théâtralité avait cru être la reine et qui meurt abandonnée de tous, un grand classique…

Une femme doit toujours payer pour la fragilité de ce qu’on dit être la virilité… J’ai eu l’immense chance d’avoir deux hommes aimés et aimants qui n’avaient pas de doutes et qui étaient d’abord préoccupés par la tâche à accomplir, ils m’ont donné confiance et amour sans réserve… Ils m’ont voulu du bien avant de chercher à se protéger d’une brutalité imaginaire que l’on m’attribue et qui politiquement est définie par l’étiquette “stalinienne” tout aussi superficielle… Leur force était de s’oublier dans cette bienveillance, ils se conduisaient avec moi selon l’éthique d’une vie de combattants, de communistes… Cette attitude je l’ai retrouvée dans l’amitié, et là aussi j’ai reçu à profusion et je continue à recevoir miraculeusement et je sais qu’un autre monde est possible…

Mais je sais aussi les cicatrices de l’âme que chacun porte en soi et qu’un lynchage n’est jamais la solution…

Il y a la vie et ceux qui la défendent j’en fait partie jusqu’au bout le temps de vivre, c’est ma politique.

Danielle Bleitrach

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4 Commentaires

  • Chabian
    Chabian

    Texte riche et magnifique dans une spirale dont on sort un peu “groggy”, d’avoir été bousculé et de n’avoir évidemment pas tout éclairci dans le détail.
    Il est vrai que la “bonne conscience” est une pratique destructrice qui me porte aux nues, parmi les “anges”, grâce à la détestation de l’autre comme inhumain. Elle fait de moi un inquisiteur vicieux malgré tout.
    Votre texte rebondit avec le “Fantasmâlgories” de Kurt Theweleit que je découvre avec délice : il a voulu dévoiler (dans des récits et romans d’hommes des “corps francs”) comment les “hommes-soldats”, orphelins de l’Empire militariste germanique et liquidateurs acharnés de la vague rouge (Spartacus, la révolution allemande de 1918), représentaient un type de virilité apeurée mais carapaçonnée, structurée dans le régiment masculin qui débouchera sur le nazisme.
    Il va être temps d’entrer dans notre virilité de façade à tous et dégager des “types” de construction virile, toutes boîteuses (nul n’est innoçent), mais donnant des usages divers de la “mission déléguée” de domination, et du devoir de maîtrise de sa violence et de son désir. Et qui “accomodent” les femmes à leur besoin mal bâti.
    Interviennent dans cela des cultures de classe, des cultures de nation, des cultures de genre, et des passages (transitions) par l’échelle sociale ou territoriale ou genrée. Où les clichés de “la Femme” se déclinent dans des accommodements que le contexte social fait différer. On ne peut se contenter de clichés patron/prolo, homme/femme, occidental/sauvage, universaliste/sectaire ; il faut analyser comment ils interagissent en nous.

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  • françois EYCHART
    françois EYCHART

    Danièle, votre commentaire est à mes yeux très pertinent, comme souvent. Mais ce n’est pas du problème que vous traitez que je veux parlez mais plus simplement du fait que vous citez un nommé Eychard, qui vous accuse de travailler pour le Mossad. Or mon nom est presque le même que le sien, à la différence de la dernière lettre, un « t » chez moi contre un « d » chez lui. Je crains la confusion dans une période où les confusions de tous genres ne manquent pas …

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    • admin5319
      admin5319

      oui bien sur il ne s’agit pas de vous mais bien d’un certain Echard yves qui a sévi également dans d’autres sites proches du PCF et qui répète toujours comme un leitmotiv quel que soit le sujet l’incantation “la bouse sioniste du Mossad”… puisqu’il a décidé de m’insulter quotidiennement je crois que je n’ai vraiment pas à respecter son anonymat et que ceux qui veulent en faire autant sache la publicité dont ils jouiront
      voici son Email : echard.yves@orange.fr

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  • YASMINA KEBIR
    YASMINA KEBIR

    Ce texte relate parfaitement les dérives de la célébrité dans un système capitaliste qui écrase toute humanité chez les hommes dits puissants , chez les détenteurs des médias et chez les consommateurs avides de scoops et de tapages .Je reprends à mon compte la pensée de Danielle : ce qui se passe entre deux (voir plus si affinités) adultes libres et consentant les regarde et je leur demande simplement de ne pas me demander d’y participer sans ma volonté expresse. La seconde idée est “on n’a qu’une vie, ne la détruits pas, fais-en un chef d’oeuvre, et tout ce qui fait du bien sans nuire à personne y compris à toi, considère-le avec ouverture d’esprit”

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