Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Ziouganov : Trois grandes leçons de l’ère stalinienne

S’il y a une entreprise salubre à mener au PCF c’est bien celle qui consistera à se réapproprier son passé, à passer d’une attitude de bigots, passer de la dévotion à l’anathème pour mieux adopter les analyses de la bourgeoisie conservatrice, du capital et en fait se soumettre intellectuellement en acceptant leur interprétation. Il serait bon que nous nous contentions pas de nous effrayer des références à Staline que non seulement les communistes mais la majorité du peuple russe attribue à ce dirigeant, mais nous dire qu’ils ont peut-être des informations, des analyses que nous pourrions connaître. Voici ce qu’en dit Ziouganov, le président du parti communiste de Russie. Notons qu’à l’inverse de l’image de “Staline”, le maitre tout puissant, responsable de tout, il s’agit ici de l’ère stalinienne, ce qui est effectivement plus juste, une ère de cohésion, d’unité, d’effort commun, un effort collectif. On ne peut s’empêcher de penser à ce que Staline disait à son fils jouant les blousons dorés: “tu n’es pas Staline, je ne suis pas Staline, Staline ce sont les soviets”.. (note de Danielle Bleitrach et traduction de Marianne Dunlop)

https://svpressa.ru/politic/article/364417/

La trahison a conduit à la fois à l’effondrement du pays et à l’agression occidentale actuelle
Andrei Polounine

Il y a soixante-dix ans, le 5 mars 1953, Joseph Staline s’éteignait. Le journal Pravda écrivait un jour plus tard : “Chers camarades et amis, le Comité central du Parti communiste de l’Union soviétique, le Conseil des ministres de l’URSS et le Présidium du Soviet suprême de l’URSS, avec un sentiment de grande tristesse, informent le Parti et tous les travailleurs de l’Union soviétique que le 5 mars à 9 heures 50 minutes, le cœur de Joseph Vissarionovitch Staline, compagnon d’armes et brillant successeur de Lénine, sage dirigeant et professeur du Parti communiste et du peuple soviétique, a cessé de battre. Le nom immortel de Staline vivra toujours dans le cœur du peuple soviétique et de toute l’humanité progressiste”.

Dans une interview accordée à SP, Guennadi Ziouganov, président du comité central du KPRF, s’exprime sur la signification de de Staline aujourd’hui et sur les leçons que nous devons tirer de l’ère stalinienne.

– Le 5 mars marque exactement les 70 ans de la mort de Joseph Vissarionovitch Staline. Il n’est plus là, mais sa grande œuvre continue de vivre – dans nos cœurs, nos pensées et nos aspirations, dans notre mémoire historique – déclare le leader du KPRF, Guennadi Ziouganov.

À cette époque, en mars 1953, le pays a été en deuil pendant quatre jours. Les gens pleuraient, réalisant que la personne dont dépendait leur destin, leur présent et leur avenir était décédée.

La grande majorité du peuple soviétique n’avait jamais vu Staline ; il n’y avait pas de télévision à l’époque. Certains avaient lu des articles sur lui dans les journaux, d’autres en avaient entendu parler à la radio. Mais les citoyens soviétiques étaient bien conscients qu’il était là, qu’il pensait, qu’il s’occupait d’eux. Et ils le ressentaient au quotidien.

Pendant trois jours et trois nuits, les gens ont marché vers la Salle des Colonnes pour faire leurs adieux à Staline. Sur les sept millions de Moscovites, environ deux millions sont venus ces jours-là. Tout le monde a fait ses adieux – les usines et les fabriques se sont tues, les concerts et les spectacles ont cessé. Le pays pleurait le départ de son leader et de son chef.

SP : Vous souvenez-vous vous-même de ce jour ?

– Oui. J’avais huit ans. Mon père a posé un journal sur la table avec un petit portrait de Staline dans un cadre de deuil et a dit : “Souvenez-vous, l’homme qui nous a permis de surmonter les temps difficiles, qui nous a rendus victorieux, et qui nous a fait respecter de la planète entière, est décédé.”

Des années plus tard, lorsque la bacchanale Gorbatchev-Yakovlev-Yeltsine de calomnies contre la grande époque soviétique a commencé, je me suis à nouveau tourné vers les documents. Je me suis demandé : tout le monde s’était-il vraiment trompé – ceux qui étaient proches de lui, qui sous son commandement ont assuré la Victoire, qui avec lui ont construit et défendu notre grande Patrie ?

Et voici ce que disent les documents. Cinq mois avant la mort de Staline, en octobre 1952, le XIXe Congrès du PCUS (b) a eu lieu. Quarante-trois représentants de partis ouvriers communistes étrangers y prirent la parole. Vingt autres pays ont dû se contenter de messages de bienvenue, car la guerre froide battait déjà son plein, et beaucoup n’ont tout simplement pas pu y assister.

Je dois dire que c’étaient des salutations enthousiastes, des souhaits étonnants. Ils étaient absolument sincères, venant du cœur. On ne dit pas cela sans sincérité, juste pour le protocole. Tout le monde a remercié Staline pour l’exemple soviétique concernant les droits des travailleurs, pour la victoire sur le fascisme, pour la libération du joug colonial. Pour le fait qu’il a lutté pour la vraie liberté, la vraie démocratie et une vie décente pour les travailleurs.

Je voudrais que notre gouvernement réédite ces réponses aujourd’hui. Et qu’il montre quelle était la véritable attitude envers Staline parmi ces mêmes Européens. Les félicitations au leader soviétique sont venues de 24 pays d’Europe. J’ai été impressionné par la sincérité et l’enthousiasme qu’elles contenaient.

Aujourd’hui, des Européens barbares déclarent la guerre au monde russe – à la grande culture, à nos victoires exceptionnelles – et soutiennent le nazisme et le banderisme. Ce manque de mémoire historique et de respect est tout simplement stupéfiant !

SP : – Comment les contemporains parlaient-ils de Staline ?

– J’ai entre les mains le livre “Staline” de la série “Vie des hommes remarquables”. On y trouve les déclarations de presque tous ceux qui, de son vivant, l’ont connu, compris et qui ont profondément ressenti le véritable sens de son œuvre. Parmi les auteurs de ces souvenirs, vous ne trouverez personne qui blasphémerait Staline, qui remettrait en question la grandeur de son héritage. Et la composition de ceux qui parlent ici de Staline est très diverse. De leurs paroles, une conclusion extrêmement importante émerge : l’autorité du dirigeant soviétique est restée invariablement élevée, même dans les moments les plus difficiles, lorsque la foi en la viabilité de notre État a été soumise à la plus sérieuse épreuve de force. Dans les moments difficiles où l’Armée rouge battait en retraite jusqu’à Moscou, jusqu’à la Volga, il était possible de craquer, de paniquer, de dire n’importe quoi. Mais non, rien de tout cela n’est arrivé.

J’ai lu les mémoires de Joukov, Vasilevsky, Konev, Rokossovsky. Il n’y a pas un seul mot négatif sur Staline. Comme dans les mémoires d’Ivan Khristoforovich Baghramyan, qui a commandé le front et libéré mon Oriol natal, particulièrement chères à mes yeux.

J’ai rencontré Baghramyan personnellement et je l’ai interrogé sur Staline. Il m’a répondu : “Staline écoutait toujours, et si vous insistiez – si vous persuadiez, si vous étiez sûr – il était généralement d’accord. Il était très favorable à nos propositions spécifiques. Et si je disais, par exemple, de nous donner un corps d’armée supplémentaire, j’étais tout à fait sûr d’obtenir des renforts à temps.”

Aujourd’hui, alors que nous sommes en guerre contre le nazisme et le fascisme, alors que nous menons une opération militaire spéciale en Ukraine, il est grand temps de relire Staline et d’apprendre de lui !

“SP : – Que pensaient les étrangers de Staline ?

– Churchill en 1918 appelait à se battre contre Lénine et Staline, il exigeait que la république soviétique soit étranglée. Mais plus tard, le même Churchill a laissé des mémoires sur Staline, remplis de notes extrêmement élogieuses. En parlant du leader soviétique, il admettait que même lui, qui avait été élevé au Parlement britannique, n’avait rien à opposer à sa logique de fer et à ses sarcasmes.

Et lisez de Gaulle – même éloge !

Le magazine Time a désigné Staline comme l’homme de l’année dès le 4 février 1944 – bien avant la fin de la guerre. Et le roi britannique George VI a envoyé une épée gravée : “Aux citoyens de Stalingrad, forts comme l’acier” à la conférence de Téhéran. C’est le plus grand éloge de la bravoure du soldat soviétique et de son commandant en chef suprême.

De nombreuses délégations étrangères sont venues saluer le dernier voyage de Staline. Pour eux, au Théâtre d’art de Moscou – le seul théâtre du pays en activité ce jour-là – une représentation de “La salve du croiseur Aurore” est donnée. Lorsque Lénine, accompagné de Staline, est apparu sur la scène, qui montrait la place devant la gare de Finlande, le public a fondu en larmes. Pendant longtemps il n’a pas été possible de la camer, la représentation a failli être interrompue, et il a été difficile de la terminer. Il s’agissait d’une condoléance sincère, d’un désir sincère de poursuivre la grande cause de la construction d’une société juste et véritablement progressiste. La cause à laquelle Staline avait consacré sa vie.

SP : – Quelles leçons faut-il tirer de l’héritage de Staline ?

– Nous avons diffusé sur Ligne Rouge un documentaire en plusieurs parties sur la modernisation de Staline. Si j’étais Poutine, je réunirais le gouvernement pour regarder ce film et en discuter. Il montre clairement comment l’empire tsariste s’est effondré. Comment il est rené de ses cendres sous les bannières du travail, de la justice et de l’amitié. Comment un pays qui, jusqu’il y a peu, ne produisait pas en masse des avions, des voitures et des chars est devenu une puissance industrielle – puissante, technologiquement avancée, éduquée et courageuse – en 1941.

Aujourd’hui, il y a trois grandes leçons à tirer de la politique de Staline.

La première est de faire avancer le développement. La modernisation léniniste-stalinienne offrait un système socialiste, une idéologie communiste, une haute spiritualité et un haut niveau d’éducation. Et tout cela, non pas pour rattraper l’Occident capitaliste, mais pour le devancer ! Et la tâche a été résolue brillamment – nous étions en avance sur l’Europe, en avance sur le Reich nazi !

L’essence de ce dépassement s’est exprimée dans le taux de croissance économique : 14 % de croissance du PIB par an en moyenne pendant les 30 ans de pouvoir de Staline ! L’histoire de l’humanité n’a jamais rien connu de tel. Une économie qui croissait à un rythme aussi fantastique n’était pas au service d’une bande de nouveaux riches, mais de la société. Les mêmes personnes qui, le 5 mars, ont pleuré Staline et ont compris : il est parti l’homme à qui ils doivent tout dans cette vie.

La deuxième leçon est la cohésion et l’unité. Les blessures de la guerre civile – les blessures de l’antagonisme – ont mis longtemps à guérir. Staline a été l’un des premiers à le comprendre. Il a soutenu tous ceux qui ont fidèlement montré la tragédie de cet affrontement dans la littérature, le théâtre et le cinéma. Et tout en faisant tout pour donner naissance à une nouvelle intelligentsia, une nouvelle génération de vainqueurs – des gens capables de défendre leur chère Patrie et les intérêts des travailleurs.

L’essentiel pour Staline a toujours été d’être un homme de travail. Il portait fièrement l’étoile dorée de Héros du Travail Socialiste. Lorsque le Présidium du Comité central du PCUS (b), à la suggestion de Kalinine, lui a remis l’étoile de Héros de l’Union soviétique, il a rabroué Kalinine. Il a dit : vous n’auriez pas dû faire cela ! La décision de la décerner a été prise, mais Staline n’a presque jamais porté l’étoile de héros de l’Union soviétique.

Et lorsqu’il a été suggéré d’instituer l’Ordre de Staline – l’échantillon avait déjà été apporté – il l’a regardé et a dit : nous allons décerner l’Ordre de Lénine, mais nous le mettrons dans les archives. J’ai vu cette récompense. L’Ermitage a une section fermée “Prix mondiaux” – là, en un seul exemplaire, se trouve l’Ordre de Staline.

L’unité et la cohésion qui ont renforcé la société soviétique se sont également manifestées en tendant la main à ceux qui ont souffert pendant la transformation révolutionnaire du pays. Les régiments et divisions cosaques ont été restaurés, les droits de ceux qui avaient été dépossédés et exilés ont été rétablis. Grâce en grande partie à cela, il y avait un peuple soviétique uni qui a pris la bataille contre le fascisme pendant la Grande Guerre Patriotique et l’a gagnée. Personne n’a divisé le peuple en Russes, Ukrainiens, Biélorusses, Ouzbeks et Azerbaïdjanais. Chacun s’est battu pour sa patrie et pour Staline – ils se sont battus désespérément et courageusement.

C’est une chose que Poutine et Shoigu doivent apprendre d’aujourd’hui. Apprendre à ne pas entretenir une cinquième colonne, qui parle encore en grinçant les dents de l’époque stalinienne. Ils n’ont même pas eu le courage de donner à Stalingrad son véritable nom héroïque ! Ils ont peur du grand exploit de notre peuple. Mais sans le respect de cet exploit, sans la volonté de faire revivre les grandes valeurs et les grands principes qui l’ont fondé, il est impossible de gagner aujourd’hui !

La troisième leçon est la parité stratégique. Lorsque Staline est décédé, nous avions déjà l’arme nucléaire et la technologie des fusées et de l’espace était en plein essor. Il a tout fait pour renforcer notre sécurité. En juillet 1945, lors de la conférence de Potsdam, Truman a annoncé que les Américains avaient testé des armes nucléaires. Il a écrit plus tard qu’à ce moment-là, “pas un muscle n’a tressailli sur le visage de Staline, il me semblait qu’il ne comprenait pas que désormais il y aurait une diplomatie nucléaire, et que nous dicterions les termes.”

Mais Staline a parfaitement compris. Et il a compris bien plus tôt. Déjà en 1943, il a signé près de mille documents sur la création et le développement de missiles nucléaires. Tous ces documents avaient le visa de Kourtchatov – Staline comptait sur la science et faisait tout pour encourager, récompenser et soutenir les scientifiques de toutes les manières possibles. Parce que leur rôle colossal dans le développement du pays, dans la garantie de son avenir digne et sûr, n’était pas seulement évident pour le dirigeant soviétique. C’était l’un des repères les plus importants de sa politique.

Kourtchatov, Koroliov et Keldysh – ce sont trois génies, grâce auxquels nous disposons encore aujourd’hui de la capacité en matière de missiles nucléaires pour repousser tout agresseur. Ils ont été encouragés et soutenus par l’État soviétique. Kourtchatov, par exemple, est décédé à l’âge de 57 ans avec le prix Lénine, quatre prix Staline, cinq Ordres de Lénine et a été trois fois Héros du travail socialiste. C’est ainsi que l’on célébrait les mérites des grands scientifiques – et comment on leur faisait confiance !

Il est grand temps que le président, le gouvernement, Volodine et Matvienko s’appuient sur la grande science nationale, sur nos talents, et ne se contentent pas de les inviter de temps en temps à des événements officiels ! Chaque décision doit être réfléchie et calculée – alors la parité réelle avec nos ennemis stratégiques sera garantie, alors nous gagnerons et obtiendrons les résultats nécessaires !

“SP” : – Staline préparait-il son remplacement ?

– Il a compris que nous devions procéder à un renouvellement au sein du parti, et a tout fait pour y parvenir. Il préparait un remplacement, et de manière très approfondie. Si nous regardons le dernier commandement de Staline – le Présidium du Comité central du PCUS – nous verrons qu’il a été élu le 16 octobre 1952. Alors, 25 membres du Présidium ont été élus et des personnes talentueuses et progressistes y ont été placées. À propos, 11 candidats au Présidium ont également été élus. Parmi eux se trouvaient Brejnev et Kossyguine.

Déjà à l’époque, on se fiait à des gens de la nouvelle génération qui avaient traversé la guerre. A propos, Kossyguine, avec Shvernik, a été impliqué dans l’évacuation des entreprises soviétiques pendant la guerre. 1.500 usines ont été transportées sur la Volga – toute une civilisation soviétique ! Et en deux ou trois mois, ces usines situées dans l’Oural, en Sibérie et en Asie centrale ont commencé à produire les meilleurs avions, chars et canons.

Staline appréciait les spécialistes talentueux. S’exprimant lors du Plénum d’octobre en 1952, cinq mois avant sa mort, il a souligné : Le Congrès du Parti s’est bien déroulé, il y a une unité, mais certains expriment leur désaccord avec nos décisions. Nous devons accroître le rôle du Parti, des comités du Parti, renforcer les liens avec le peuple, travailler dans les masses – tout cela nécessite un afflux de forces jeunes et fraîches au sein du Comité central.

Je pense qu’il a manqué à Staline deux ou trois ans pour effectuer les transformations nécessaires et faire émerger une nouvelle galaxie de cadres dirigeants. Et l’arrivée au pouvoir de Khrouchtchev a inversé cette politique à 90 degrés. En substance, cela a conduit à une trahison des grands idéaux de la modernisation léniniste-stalinienne.

Et ensuite les Eltsine, Gorbatchev et Iakovlev ont agi comme de véritables marionnettes américaines, qui ont trahi le pays et le parti très ouvertement. Et ont tout simplement entraîné la Russie dans le sillage de l’Oncle Sam.

Aujourd’hui, 30 ans plus tard, les conséquences de cette politique de trahison sont tout à fait claires. Toute cette bande de russophobes antisoviétiques a été incapable d’offrir au pays quoi que ce soit d’utile et de prometteur. Et elle n’avait aucune intention de le faire. Il est devenu clair pour les Américains, après la crise des missiles de Cuba, que nous avions la parité avec eux. Ils ont alors créé une centaine d’instituts, qui ont élaboré des plans pour la destruction de notre pays. Ils ont commencé à former une cinquième colonne américanisée. Ils ont misé sur le lavage de cerveau par la guerre de l’information, sur la réanimation des nazis, des fascistes, des Banderistes.

Aujourd’hui, nous devons comprendre : l’ère stalinienne a donné des résultats exceptionnels. Et la trahison et la destruction de son héritage ont conduit à l’effondrement du pays, et à l’agression actuelle de l’Occident mondialiste contre nous. Aujourd’hui, les Anglo-Saxons ont décidé d’établir leur dictature mondiale, un camp de concentration numérique électronique qui sera plus terrifiant que celui d’Hitler. Ce dernier ne cachait pas qu’il venait pour nous détruire – c’était explicitement indiqué dans les plans Barbarossa, Ost, Famine. Aujourd’hui, les partisans du nazisme en Amérique et en Europe déclarent ouvertement la même chose. Ils ne considèrent même pas nécessaire de déguiser leur désir de détruire le monde russe, d’éliminer la civilisation russe ! Et ils déclarent ouvertement que leur objectif principal est exactement cela.

Ils ne réussiront pas ! Mais le gouvernement actuel doit se rappeler que le fascisme a été vaincu par les communistes. Sur les sept millions d’hommes qui ont battu Hitler et ses sbires, 3,5 millions étaient communistes. Et le reste était des membres du Komsomol et de fervents partisans du pouvoir soviétique – même s’ils n’avaient pas de carte du Parti ou du Komsomol.

Notre tâche maintenant est de faire tout ce que nous pouvons pour combiner l’idée russe, le patriotisme du peuple avec la justice soviétique. Alors de nouvelles victoires viendront.

En m’inclinant devant la mémoire du grand leader, dont le cœur s’est arrêté de battre il y a 70 ans, j’appelle une fois de plus à une évaluation véridique et équitable de notre histoire. Nous devons tirer trois grandes leçons de la grande époque stalinienne, nous unir et remporter une nouvelle victoire sur le nazisme, le fascisme et le mondialisme américain.

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