https://vz.ru/news/2023/2/22/1200480.html
Le blogueur Dmitri Poutchkov explique par la russophobie ukrainienne l’interdiction par Kiev d’un jeu vidéo sur une URSS alternative. En fait on s’aperçoit que le régime de Kiev ne se contente pas d’interdire pour l’Ukraine, il exige que les pays occidentaux boycottent également. Nous avons bien une police politique en la personne de ces petits nazis et elle prétend, comme ses maitres américains à l’extraterritorialité, et ce qui est visé n’est pas la Russie, le pays supposé de ses envahisseurs, non ça va bien au-delà, c’est l’URSS, le communisme… jusqu’à quand la gauche et certains pro-occidentaux du PCF vont-ils nous imposer un soutien à ce genre de régime ? Par parenthèse cela dit également le fait qu’au contraire en Russie les jeux vidéos diffusent les valeurs de la société soviétique dans des jeux qui connaissent une audience mondiale. (note de Danielle Bleitrach traduction de Marianne Dunlop)
22 février 2023, 19:05
Photo : capture d’écran de la vidéo/Atomic Heart
Texte : Tatiana Kosolapova
“À l’intérieur d’un État nazi, tout ce qui contredit l’idéologie nazie devrait être interdit”, a déclaré le blogueur et traducteur de films Dmitry Goblin Puchkov au journal VZGLYAD, commentant l’intention de l’Ukraine de demander au développeur russe d’interdire le jeu vidéo Atomic Heart.
Le chef adjoint du ministère ukrainien de la Transformation numérique, Alexander Bornyakov, a évoqué l’intention des autorités ukrainiennes de demander à Sony, Microsoft et Valve d’interdire la vente du jeu vidéo Atomic Heart, créé par le studio russe Mundfish. Les raisons invoquées sont la “toxicité” du jeu, les menaces présumées de “collecte de données” par les utilisateurs et “l’utilisation potentielle de l’argent récolté grâce aux achats du jeu pour mener la guerre” contre l’Ukraine.
“En Ukraine, tout ce qui est russe est combattu. C’est une politique d’État, peut-on dire. Par exemple, ils ont retiré 11 millions de livres en russe des bibliothèques et les ont brûlés. Et puis tout d’un coup sort un jeu en russe qui montre l’Union soviétique pas du tout de la manière dont les États-Unis l’exigent”, estime M. Poutchkov.
Il a souligné que, quel que soit le contenu que le développeur a mis dans le sens du jeu, il ne présente peut-être pas de menace, mais s’il comporte des inscriptions et des discours en russe, il doit absolument être retiré des yeux du peuple ukrainien. D’autant plus que le jeu vidéo pourrait intéresser les enfants qui “verront quelque chose de bien en Russie”.
“Bien sûr, de telles choses devraient être interdites immédiatement”, affirme notre interlocuteur. – Dans un État nazi, tout ce qui contredit l’idéologie nazie doit être interdit. Il n’y a là donc rien d’étonnant.”
‘Ukraine appelle au boycott et à la suppression du FPS russe Atomic Heart, sorti le 21 février, du marché ukrainien et même au-delà.
La demande a en tout cas été faite par Oleksandr Bornyakov, le ministre du Numérique ukrainien, auprès de Steam, Microsoft et Sony. La raison à cela est la représentation dans le jeu d’une URSS dystopique toute-puissante en 1955 grâce à des avancées technologiques fulgurantes dans la robotique.
L’Ukraine en conflit avec Atomic Heart
Parmi les jeux vidéo les plus surveillés ce mois-ci, le FPS du studio russe Mundfish Atomic Heart n’a pas laissé indifférent, dans le bon comme dans le mauvais sens du terme. Le jeu place son intrigue en 1955 alors qu’une URSS à son apogée grâce au développement de la robotique s’apprête à lancer le Kollektiv, un réseau neuronal connectant l’ensemble de l’Union soviétique.
Parmi les détracteurs du jeu, le ministre du Numérique ukrainien a demandé sa suppression sur l’ensemble des plateformes. Parmi les raisons invoquées pour appuyer cette demande : « l’idéalisation de l’idéologie communiste », la « potentielle collecte de données d’utilisateurs » et « l’utilisation de fonds pour contribuer à la guerre contre l’Ukraine ».
« Nous aimerions également, pour l’audience occidentale, insister sur le fait que les développeurs du jeu ne se sont pas fendus d’une annonce publique condamnant le régime de Poutine et l’invasion de l’Ukraine », ajoute le ministre.
Une situation délicate
Le studio russe derrière Atomic Heart, Mundfish, a ainsi été récemment étudié à la loupe. Celui-ci a notamment un partenariat avec VK Play (anciennement Mail.RU), une plateforme de jeu russe et en majorité détenue par l’État (le P.-D.G. de Mundfish a par ailleurs été le directeur créatif de Mail.RU par le passé). Le studio compte également parmi ses investisseurs Tencent, le géant chinois, et GEM Capital, largement impliquée sur le marché énergétique russe.
Pour autant, même si Atomic Heart (en développement depuis 2018, donc avant le début de la guerre entre l’Ukraine et la Russie) dépeint une Union soviétique idéalisée et en avance sur toutes les autres nations, le propos du jeu n’est pas sans nuances. Il est en effet question de dirigeants communistes corrompus, assoiffés de pouvoir et de sang, capables de causer la mort de millions de personnes pour asseoir la suprématie de l’URSS sur le reste du monde, avec un personnage principal essayant de mettre un terme à ce projet destructeur.
Avec tous ces éléments en tête, Steam, Microsoft et Sony n’ont pas encore donné de réponse au ministre ukrainien. La décision de supprimer le jeu de leurs plateformes leur revient entièrement. Quoi qu’il en soit, celles et ceux en opposition avec les actions de la Russie n’ont pas attendu l’Ukraine pour boycotter le jeu.
Source : Dev.ua
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CROCE
Il ne manque que l’interdiction des montagnes russes dans les fêtes foraines, et celle du dessert Francorusse , pour atteindre le summum du ridicule !
Par-contre, la roulette russe, les bandéristes la connaisse depuis le 22 Février 2023 !
Au fait, les gros n’avions, s’arrivent quand ?