Un ami ukrainien me signale ce site (chaîne telegram) bilingue anglais-russe qui fait l’inventaire des violences anticommunistes et russophobes en Ukraine :
https://t.me/repressionoftheleft
“Comme vous le savez, notre pays connaît actuellement une situation difficile, qui est exacerbée par la répression et les exécutions extrajudiciaires dont sont victimes les militants de gauche. Y compris certains de mes amis de Dnipropetrovsk qui sont maintenant en prison ou ont été attaqués.
Cette chaîne a été créée par nos camarades pour informer des violations des droits sous la loi martiale en Ukraine.
Si vous avez l’occasion de faire passer le mot et d’attirer l’attention de la communauté internationale sur la situation, la publicité internationale pourrait influencer, au moins en partie, la situation de nos prisonniers politiques.”
https://t.me/repressionoftheleft, à ouvrir avec l’application Telegram qui se télécharge facilement sur téléphone portable. (Note de Marianne Dunlop pour Histoire et Société)
Voici la dernière communication :
Le 23 avril 2022, une “loi sur les collaborateurs” est entrée en vigueur en Ukraine.
La loi introduit l’article 111-2 du code pénal ukrainien. Il stipule qu’une personne peut recevoir jusqu’à 12 ans de prison pour toute coopération ou soutien aux actions des représentants de la Fédération de Russie.
Ainsi, tous les résidents des régions ukrainiennes de Kherson, Zaporojié, Kharkov, Lougansk et Donetsk qui vivent simplement dans les territoires contrôlés par les forces russes risquent une grave responsabilité pénale.
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