Personne ne semble avoir relevé la décision qui vient d’être prise d’interdire en Europe et donc en France les chaînes russes, en imaginant que nous sommes des mineurs qu’il faudrait protéger de tout autre propagande que celle qui est déversée à flot dans nos propres médias, est un acte grave. Il est dans la logique de l’enfermement d’Assange et l’on peut s’étonner dans les deux cas de la faiblesse des réactions. Nous qui avons choisi comme ici à travers des traductions de vous faire connaitre ce qui se dit et s’écrit dans la majeure partie du monde, nous continuons en pensant que nous contribuons à la paix. Ici le texte qui explique ce qui se passe dans les négociations et les effets des mesures prises par notre camp chauffé à blanc pour la guerre vient de Cuba. Quand nous disons que nous sommes gorgés de propagande je voudrais donner deux exemples, le premier c’est le fait qu’il a fallu qu’à partir des chaines biélorusses, j’indique que les pourparlers avaient lieu alors qu’en boucle chez nous on inventait un président ukrainien refusant le dialogue.Les Russes savaient le refus d’aller à Minsk et le fait que la délégation russe n’attendrait pas au delà de 15heures et le choix final de Gomel à la frontière. Autre aspect, celui qui a le premier menacé de la force nucléaire c’est le DRIAN, tandis que l’Europe n’a cessé de décrire l’envoi d’armes qui doivent être livrés en convois militaires et donc se trouver au contact des russes vu le réel encerclement des villes qui est caché et le fait que les Russes restent à la périphérie pour éviter le massacre de population. Mais le vrai problème est le fait que les vivres vont manquer. Le pouvoir ukrainien n’ignore rien de tout ça d’où les négociations. Mais face à la menace nucléaire de le Drian, la multiplication prévue des convois militaires, Poutine met en oeuvre sa “force de dissuasion” à aucun moment il ne parle du “nucléaire”. Si on considère qu’il faut la paix ce qui est notre cas, il n’y a pourtant qu’une solution, faire droit à la revendication légitime de ne pas avoir les missiles de l’OTAN à sa porte et faire se retirer les troupes russes de l’Ukraine, tout le reste est agitation stérile et dangereuse. (noteettraduction de danielle Bleitrach histoireetsociete)
Dans cet article: Biélorussie, Diplomatie, Guerre, Paix, Russie, Ukraine27 février 2022 | 9 |
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Le chef de la délégation russe, Vladimir Medinsky, a déclaré que la partie ukrainienne pourrait arriver ce dimanche en Biélorussie pour tenir des négociations entre les deux pays.
Medinsky a déclaré que la réunion se tiendrait dans la province de Gomel et que le lieu le plus approprié était choisi, « où une sécurité maximale sera garantie pour la partie ukrainienne ».
Pour sa part, Dmitri Peskov a déclaré qu’avant la conclusion de l’accord, le président biélorusse Alexandre Loukachenko avait eu une conversation téléphonique avec son homologue ukrainien Vladimir Zelensky. « Après cela, le président Loukachenko s’est adressé à la partie russe, le président Poutine, avec la demande de ne pas retirer la délégation russe parce que des signaux ont été reçus de la partie ukrainienne, exprimant sa volonté de parvenir à des négociations dans la province de Gomel », a déclaré Peskov, ajoutant que la partie russe « est complètement prête pour les négociations ». recueille RIA Novosti.
Peu de temps après, le bureau du président de l’Ukraine a rapporté que Zelensky et Loukachenko ont convenu que la délégation ukrainienne rencontrerait la partie russe « sans conditions préalables », près de la rivière Pripyat.
« Alexandre Loukachenko a assumé la responsabilité que, pendant le transfert, les négociations et le retour de la délégation ukrainienne, tous les avions, hélicoptères et missiles, déployés sur le territoire biélorusse, resteront au sol », indique le communiqué.
Une délégation russe arrive en Biélorussie pour des négociations
Plus tôt dimanche, la délégation russe est arrivée en Biélorussie pour entamer des négociations avec la partie ukrainienne et Medinsky a déclaré que la Russie attendrait jusqu’à 15h00 (heure locale biélorusse) pour une réponse de l’Ukraine à cet égard.
Zelensky avait déclaré que Kiev voulait la paix et était prêt à négocier avec la Russie, mais il n’allait pas le faire en Biélorussie. « Maintenant, nous disons : Minsk non. D’autres villes peuvent être une plate-forme de rencontre, bien sûr, nous voulons la paix, nous voulons nous rencontrer, nous voulons la fin de la guerre. Varsovie, Bratislava, Budapest, Istanbul, Bakou : tout cela, nous l’avons proposé à la partie russe, a-t-il dit », a déclaré le président ukrainien. Il a dit que « toute autre ville nous sert », mais « pas le pays d’où proviennent les missiles ».
La Banque centrale russe s’exprime après l’annonce de sanctions contre Moscou
La Banque centrale de Russie a annoncé dimanche qu’elle « dispose des ressources et des instruments nécessaires pour maintenir la stabilité financière et garantir la continuité opérationnelle du secteur financier », suite à l’annonce de l’imposition de sanctions contre Moscou par les Etats-Unis, le Canada et plusieurs pays européens, rapporte RT en Español.
La banque a déclaré qu’elle fournirait continuellement aux banques des liquidités, ainsi que de l’argent en roubles, et prendrait un certain nombre de mesures pour résister à l’impact des sanctions imposées. Ils ont également indiqué que le système bancaire russe est stable, avec « des réserves de capital et des liquidités suffisantes pour fonctionner sans heurts dans n’importe quelle situation ». Tous les comptes clients sont protégés et disponibles à tout moment.
Enfin, il a souligné que tous les services bancaires sont disponibles comme toujours. Les cartes bancaires de toutes les banques en Russie continuent également à fonctionner normalement.
Sanctions contre le système financier russe
Les États-Unis, l’Union européenne, le Royaume-Uni et le Canada ont convenu samedi de déconnecter certaines banques russes du système interbancaire SWIFT. Cette décision fait partie du nouvel ensemble de sanctions approuvées contre la Russie en réponse à l’opération militaire spéciale lancée jeudi matin par Vladimir Poutine en Ukraine. Il vise à « isoler ces institutions des flux financiers internationaux, ce qui limitera considérablement leurs activités mondiales », a déclaré le gouvernement fédéral allemand.
De son côté, l’UE envisage de « paralyser » les actifs de la Banque centrale de Russie, a déclaré samedi la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, lors de l’annonce d’une nouvelle série de sanctions contre Moscou.
« Nous allons paralyser les actifs de la Banque centrale de Russie. Cela gèlera vos transactions. Cela rendra impossible pour la Banque centrale de liquider des actifs », a-t-il tweeté.
Selon le chef de la Commission européenne, toutes les mesures ont été créées par l’UE en coordination avec les États-Unis, le Royaume-Uni et le Canada. Dans une déclaration commune, le groupe de pays a déclaré qu’ils « s’engagent à imposer des mesures restrictives qui empêchent la Banque centrale russe de déployer ses réserves internationales d’une manière qui sape l’impact de nos sanctions ».
Cependant, ces dernières années, le gouvernement et la Banque centrale de Russie ont progressivement réduit l’exposition du pays au dollar américain, reconfigurant ses avoirs internationaux en faveur d’autres devises et de l’or. Les agences de notation internationales avaient précédemment déclaré que les réserves financières de la Russie permettraient au pays de faire face aux effets négatifs des sanctions, le cas échéant.
LA POSITION DES COMMUNISTES FRANCAIS :
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