Si on ne peut pas faire avaler aux RUSSES les mêmes stupidités sur l’URSS que celle que notre système de propagande déverse sur les malheureux français de plus en plus décérébrés, pétris de peur et de xénophobie, c’est qu’ils sont les produits – y compris Poutine- de ce crée une révolution en particulier socialiste, une formidable opportunité pour les enfants du peuple à accéder à d’autres possibilités. Ce que les pauvres français ignorent de leur propre histoire c’est ce qu’ils doivent dans leur propre système éducatif et de santé – par exemple les maternelles- à l’URSS. Même si le programme de LANGEVIN-WALLON, ne vit jamais tout à fait le jour. Mais la FRANCE est si fermée sur elle-même que quand elle veut bien déjà reconnaitre ce qu’elle doit au ministre communistes comme AMBROISE CROIZAT, il faut que ce soit par génération spontanée en ignorant que ces ministres préfèrent aller en prison plutôt que de dénoncer l’URSS qui les inspira jusqu’au bout, à commencer par Maurice THOREZ Tout ça pour mieux ignorer le socialisme et limiter leurhorizon à des sociaux démocrates qui n’ont cessé de trahir les peuples. (note et traduction de danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
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L’URSS a réussi à créer un système éducatif qui a rendu possible un ambitieux programme de modernisation qui a fait de Moscou l’une des deux superpuissances mondiales. Les réformes de l’éducation ont influencé tous les éléments du processus, de la maternelle à l’enseignement supérieur.
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Avant la révolution de 1917,il y avait à peine plusieurs dizaines de jardins d’enfants dans tout l’Empire russe. Tout a radicalement changé après que les bolcheviks ont pris le pouvoir et ont commencé à réaliser leurs slogans sur l’égalité des femmes et à propager leur participation active dans tous les domaines de la vie sociale. Grâce à eux, un réseau d’installations pour les enfants d’âge préscolaire a été développé.
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Lénine appelait les jardins d’enfants et les jardins d’enfants des « germes du communisme ». Selon lui, ces équipements « pourraient vraiment libérer les femmes, en diminuant et en éliminant leurs inégalités par rapport aux hommes, en augmentant leur rôle dans la production sociale et la vie sociale ».
Yanis Kruminsh
Depuis la fin des années , s’est crée un réseau de jardin d’enfant dans les villes comme dans les campagnes. En1941, deux millions de petits enfants soviétiques connurent les garderies et jardin d’enfant . Dans les années trente, la chiffre connut une grande croissance pour atteindre le 12 millions. 
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En 1959, fut introduit un nouveau système unifiant les garderies et jardins d’enfants. De sorte que l’ETAT prenne en charge les enfants de deux mois à sept ans,âge auquel il entrait àl’école. 
Sputnik
Quand se produisit la Révolution bolchevique, le taux d’analphabétisme dans l’empire russe était à la fin du XIX e siècle de 21% de la population. Les soviétiques lancèrent une campagne intitulée “Likbez” (Liquidation de l’analphabétisme ) et créèrent un réseau pour tout le pays. Mais en 1926, seul un million de personnes avait été alphabétisé. 
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mais en 1939, grace au programme éducatif, “Likbez”, autour de 40 millons de personnes avaient acquis des capacités basiques de lecture. Ce qui avait permis une telle avancée était intervenu en 1930, quand fut introduit l’éducation primaire universelle. Au début de 1940, était totalement résolu le problème de l’analphabétisme de masse. 
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néanmoins, vu la situattion à une telle époque, quand intervint le décret sur l’éducation universelle, il était difficile pour le système scolaire d’absorber un tel afflux. les écoliers furent divisés en trois groupes: les plus jeunes commençaient leurs classes à 8 heures et terminaient à midi. puis c’était le tour d’un autre groupe et les plus âgés allaient en classe entre 18 et 22heures de la nuit et parfois jusqu’à23 heures. 
TASS
Les premières décades de l’existence de l’ URSS furent des périodes de grandes expérimentations éducatives. Parmi elles il faut suivre la manière dont l’histoire prit place dans d’autres sciences sociales, ce ne fut qu’en 1934, que l’histoire fut “réhabilitée” et prit unrôle central àl’école. 
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La Grande guerre Patriotique a affecté gravement le système éducatif. Bien des années furent nécessaires pour réparer les dommages provoqués par l’invasion d’Hitler. Les autorités firent un grand effort pour augmenter le niveau de l’éducation secondaire . Il fut recommandé de prêter plus d’attention à chaque élève en particulier et d’introduire des récompenses pour les enseignants. 
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Dans le contexte de la guerre froide et de l’intensification de la concurrence technologique, l’État soviétique a commencé à accorder de plus en plus d’attention aux sciences exactes, en particulier aux mathématiques. On dit que le véritable boom de cette discipline a commencé à la fin des années 1950. À cette époque, des écoles spéciales de mathématiques ont été créées. Les diplômés de ces écoles ont été ceux qui ont obtenu les réalisations du programme spatial soviétique, à partir des années 1950.
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En plus de l’éducation scolaire en tant que telle, en URSS, il existait également un réseau de clubs spéciaux que les étudiants pouvaient fréquenter gratuitement et étudier un grand nombre de sujets: de la photographie au design aéronautique.
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Il est difficile de se souvenir de l’école soviétique sans mentionner les pionniers, la version soviétique des scouts. Bien que leurs activités aient un certain air idéologique, ils étaient essentiellement dédiés à une sorte de bénévolat: collecte de pièces de papier ou de métal usagées pour une réutilisation ultérieure. Une expérience dans la gestion de ses tâches a également été acquise et les personnes âgées ont été aidées.
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En URSS également furent consacré les plus grands efforts et les ressources pour le développement de l’éducation supérieure. Inmediatament après la Revolution, les bolcheviques établirent des dizaines de nouvelles universités. Dans les années de1930 se fut un véritable essor , quand le programme d’industrialisation à grande échelle nécessita toujours plus de spécialistes. plus tard à partir des années 50 eut lieu une nouvelle vague de création d’institut et d’université. En 1975, Ily avait environ cinq millions d’étudiants d’éducation supérieure 
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Certains de ces étudiants étaient des gens de pays en développement, des amis de l’URSS. En 1960, les autorités soviétiques ont fondé l’Université de l’amitié des peuples. Le but déclaré de cette institution était de donner une opportunité aux jeunes, en particulier ceux d’origines non privilégiées, d’Endroits comme l’Amérique latine, l’Asie et l’Afrique.
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Suivre des études supérieures en URSS signifiait non seulement acquérir des connaissances, mais aussi devoir faire une sorte de travail manuel. Pendant la saison estivale, les étudiants ont formé les soi-disant brigades de construction étudiantes, qui ont participé à certains travaux importants pour l’économie soviétique. L’idée derrière lui était de fournir aux étudiants une éthique de travail basée sur le respect du travail.
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