La Chine exhorte les États-Unis à lever le blocus contre Cuba. Certes les causes internationales ne manquent pas, l’impérialisme attaque partout, le tigre blessé et sa troupe de chacals tentent partout de mordre sur les peuples blessés, mais l’internationalisme prolétarien désigne en priorité le cas de Cuba. Nous devons penser le nouveau cas de figure de cet internationalisme et porter nos forces sur les lignes dont la résistance est la plus essentielle. Cuba est l’épicentre et un parti communiste qui l’oublie a renoncé à toute stratégie révolutionnaire. Cela ne signifie pas que nous ne devions pas élargir l’audience d’une telle lutte au contraire. N’oubliez pas que notre propre gouvernement français qui toutes les années dénonce le blocus de fait l’applique sous la pression des États-Unis. Ce qui pose non seulement la question du crime contre l’humanité envers des populations civiles y compris en tant de pandémie mais également la question de la souveraineté de la France. Signez la lettre au président de la république ci-dessous. (note et traduction de Danielle Bleitrach pour histoireetsoiete)
Publié le 10 mai 2021 (il y a 6 heures 45 minutes)
Un appel similaire pour les cas de l’Iran, de la Syrie et du Venezuela a été lancé lundi par la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
La Chine a exigé ce lundi que les États-Unis lèvent le blocus économique, commercial et financier contre Cuba ainsi que les mesures coercitives unilatérales imposées au Venezuela, à la Syrie et à l’Iran, les considérant comme une violation des droits de l’homme.
La position de Pékin, qui n’est pas nouvelle, a été ratifiée par Hua Chunying, une porte-parole du ministère des Affaires étrangères, qui a critiqué Washington parce que s’il se définit comme un défenseur des garanties constitutionnelles, et a intensifié les sanctions appliquées à tous ces pays malgré la pandémie de Covid-19.
Selon Hua, avec sa conduite, la Maison Blanche met gravement en danger la vie, la santé, le droit au développement et l’accès aux produits pour satisfaire les besoins fondamentaux de la population des états sous les effets de mesures coercitives, pour lesquelles il n’y a pas de mandat.
Embajada de la República Popular China en Cuba@EmbChinaCuba·(1/5)El día 6 de mayo, Xi Jinping, Secretario General del CCPCCh y Presidente de la R.P. #China sostuvo conversación telefónica con Miguel Díaz-Canel, Primer Secretario del CCPCC y Presidente de la República de #Cuba.
En ce sens, la porte-parole diplomatique a déploré le maintien du blocus contre Cuba, même si depuis 1992 la communauté internationale n’a cessé de voter, à l’Assemblée générale de l’ONU, pour l’éliminer.
Hua a souligné: “Les droits de l’homme ne doivent pas être utilisés comme excuse pour opprimer les autres. Les États-Unis doivent immédiatement arrêter et abandonner la politisation, l’instrumentalisation et le double standard de ces questions.
Il a exigé que Washington écoute la revendication universelle et cesse complètement à la fois le blocus de l’île des Caraïbes et les autres mesures coercitives illégales qu’il a imposées unilatéralement à d’autres pays et ont été renforcées par l’administration Donald Trump, sans que l’administration Joe Biden ne les supprime.
La Chine, a rappelé la porte-parole, “s’est toujours jointe à la majorité de la communauté internationale pour exiger la levée du blocus américain de Cuba”, le qualifiant de préjudiciable aux intérêts et à la vie du peuple, ainsi que contraire à la Charte des Nations
Pendant des années, elle a appelé les États-Unis à corriger cette position hostile et a dénoncé la nature extraterritoriale de ses sanctions, car elles violent le droit international, a déclaré Hua.
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