La Commune de Paris est la base du droit étatique socialiste, nous dit Andrei Doultsev dans cet article qu’il nous a confié et qui parait aujourd’hui dans la Pravda et notre blog pour célébrer la Commune de Paris. Il explique d’une manière argumentée l’importance que Marx et à sa suite, Lénine et Staline ont accordé à cette expérience qui n’a duré que soixante et dix jours. (1) C’est un article excellemment documenté et un travail dans la Pravda complété par d’autres que nous publierons également qui s’avère n’avoir pas d’équivalent en France où le temps est celui de la réinterprétation qui va de Mélenchon aux éditions sociales, donc le PCF, réinterprétation qui consiste à éloigner l’événement de l’analyse qu’en faisaient Marx, Engels, Lénine. (2) (note de Danielle Bleitrach, traduction de Marianne Dunlop pour histoireetsociete)
“…Quiconque veut savoir ce qu’est la dictature du prolétariat aux yeux des marxistes, doit étudier l’expérience de la Commune de Paris.” I. V. Staline.
La Commune de Paris de 1871, malgré ses deux courts mois d’existence, est fermement ancrée dans la conscience historique du mouvement ouvrier et communiste. Le jour de sa création – le 18 mars – n’a jamais été un jour chômé en Union soviétique, mais c’est une date bien ancrée dans le calendrier rouge des bolcheviks. La Commune a été louée par les pères fondateurs du communisme scientifique, K. Marx et F. Engels ; son exploit a été admiré par Lénine et Staline. La semaine sanglante de mai – la répression de la Commune – et la fusillade des communards n’ont pas été oubliées jusqu’à ce jour. L’Internationale, écrite en mai 1871 par le communard Eugène Potier et dédiée à leur mémoire, est devenue l’hymne des communistes du monde entier. La commune est le premier exemple historique de démocratie ouvrière dans laquelle les classes opprimées ont pris le pouvoir entre leurs mains. En accomplissant une révolution prolétarienne, la classe ouvrière de Paris a établi la première dictature du prolétariat au monde. Quelle est la signification de l’expérience de la Commune 150 ans plus tard ?
1870 est une année difficile pour la France : le grondement menaçant des canons plane sur Paris, une fumée noire s’étire des faubourgs en feu, c’est la guerre franco-prussienne… Le 2 septembre 1870, l’armée française à la bataille de Sedan capitule devant les troupes prussiennes. La défaite des armes françaises entraîne la chute du Second Empire de Napoléon III.
Un gouvernement de défense nationale est formé en France, qui conclut une paix honteuse avec la Prusse. La bourgeoisie française, craignant un soulèvement révolutionnaire du prolétariat de la capitale, a tenté de désarmer les ouvriers de Paris dans la nuit du 17 au 18 mars, ce qui a servi de déclencheur au soulèvement révolutionnaire. Au matin du 19 mars, Paris est déjà aux mains du prolétariat : le gouvernement bourgeois de Thiers a fui honteusement la ville, et au-dessus du bâtiment de l’Hôtel de Ville de Paris flotte fièrement la bannière rouge. La première révolution prolétarienne de l’histoire mondiale a eu lieu.
Passant de la défense de la république bourgeoise à la dictature du prolétariat, la Commune de Paris de 1871 a ouvert l’ère historique des révolutions prolétariennes et socialistes, elle a donné le premier exemple historique de dictature du prolétariat. C’est l’expérience de la Commune qui a permis à Marx et Lénine d’améliorer la théorie marxiste de l’État. En même temps, la Commune de Paris est le dernier maillon de la longue série de révolutions bourgeoises qui ont secoué la France après la Grande Révolution de 1789 et qui n’ont cessé de saper l’ordre républicain, une partie de la bourgeoisie approuvant la restauration de la monarchie absolue. Il y a eu des révolutions bourgeoises à Paris en 1789, 1830 et 1848, sans compter des centaines d’affrontements sanglants. Mais c’est la Commune de 1871 qui a été, pour Marx et Engels, le premier exemple concret de la dictature du prolétariat – un prototype de révolution et un exemple de renversement de l’ordre bourgeois. Les pères fondateurs du communisme scientifique voyaient la principale différence entre la Commune et les révolutions précédentes dans l’expérience de l’expropriation de la classe exploiteuse.
La dictature de la bourgeoisie et le principe de la séparation des pouvoirs
La révolution de 1848, qui a précédé la Commune, a commencé par des appels à l’établissement d’une république sociale, et s’est terminée après la défaite et la répression du prolétariat parisien par la création de l’empire en 1851. Cet échec a incité Marx à analyser la nécessité pour le prolétariat de prendre le pouvoir, avec pour but de détruire l’appareil d’État bourgeois. Dans une lettre à Joseph Weydemeyer du 5 mars 1852, Marx note que “la lutte des classes conduit inévitablement à la dictature du prolétariat”, qui “ne constitue qu’une transition vers la destruction de toutes les classes et vers une société sans classes” (Marx et Engels, Opus, vol. XXVIII, p. 422). Il revient sur cette idée plus tard dans son analyse de la Commune dans son ouvrage La guerre civile en France, où il prouve que la classe ouvrière ne pouvait recevoir l’appareil d’État tel qu’il était. Engels l’a également affirmé vingt ans après les événements, en concluant sa préface à l’œuvre de Marx par ces mots : “Ces derniers temps, le philistin allemand a recommencé à éprouver une terreur salvatrice devant les mots : dictature du prolétariat. Voulez-vous savoir, gracieux souverains, ce qu’est cette dictature ? Regardez la Commune de Paris. C’était la dictature du prolétariat !”
La perspective de Marx est basée sur une analyse de l’État et de la démocratie bourgeoise et de ses contradictions. Dans son ouvrage Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte, Marx rappelle le rôle essentiel de la centralisation du pouvoir et souligne que “chaque paragraphe de la constitution contient en lui-même son propre contraire, sa propre chambre haute et sa chambre basse : la liberté dans une phrase générale, l’abolition de la liberté dans une clause de réserve” (Marx et Engels, op. VIII, p. 132). Cette critique de la “démocratie bourgeoise” et de l’État bourgeois est apparue sous le Second Empire, lorsque Napoléon III concentrait la plénitude du pouvoir entre ses mains, et que le Parlement était une sorte de théâtre de pantomime pour l’annonce des décrets impériaux.
De la Commune de Paris, Marx a tiré la principale leçon pour l’organisation du processus révolutionnaire : l’appareil d’État bourgeois doit être détruit dans son ensemble, car c’est la seule façon d’introduire une autre forme d’organisation qui ne soit pas pervertie par le bureaucratisme et le parlementarisme. En ce sens, la déclaration de Marx selon laquelle la commune doit se voir attribuer non seulement les fonctions législatives mais aussi les fonctions exécutives du pouvoir doit être comprise comme une négation de la ” démocratie bourgeoise “, qui est en fait une dictature de la bourgeoisie, une expression de ses intérêts de classe. L’État bourgeois s’obstine à vouloir séparer les pouvoirs législatif et exécutif, y voyant la base de la “démocratie”. Cependant, la séparation des pouvoirs, théorisée par Montesquieu dans son traité L’esprit des lois, qui a été progressiste à l’époque des révolutions bourgeoises pour désarmer l’aristocratie, a, depuis l’émergence du prolétariat en tant que classe et la formation du mouvement ouvrier, contribué à consolider le pouvoir de la bourgeoisie. Dans L’Idéologie allemande, Karl Marx et Friedrich Engels ont montré la conditionnalité historique et la signification de classe de la séparation des pouvoirs : “Dans une telle époque, par exemple, et dans un tel pays, où la royauté, l’aristocratie et la bourgeoisie se disputent la domination, où, par conséquent, la domination est divisée, la pensée dominante est la doctrine de la séparation des pouvoirs, dont on parle comme d’une “loi éternelle” (Marx et Engels, Op., vol. IV, p. 37). Ayant utilisé la théorie de la séparation des pouvoirs dans sa lutte contre le pouvoir de l’aristocratie, la bourgeoisie, ayant consolidé son pouvoir, n’a jamais, dans aucun État, exercé la séparation des pouvoirs en tant que pouvoirs égaux et autosuffisants de l’État, se trouvant entre les mains de différentes classes. Dans la société bourgeoise, le pouvoir est unique, et tous les organes de l’État bourgeois exécutent la volonté de la bourgeoisie, sa dictature. Le principe de la séparation des pouvoirs contredit l’unité du pouvoir, car il s’agit, comme l’écrit Marx, “d’une absurdité comme la quadrature du cercle”. (Marx et Engels, Opus, vol. VII, p. 258). La dictature de la bourgeoisie n’est nullement caractérisée par une séparation des pouvoirs comme elle le prétend, mais par la supériorité de l’exécutif, sa domination effective sur le législatif et la limitation des droits du parlement. La théorie de la séparation des pouvoirs est donc une décoration destinée à cacher aux masses ouvrières l’essence de classe de l’État bourgeois, à canaliser leurs protestations et à maintenir l’illusion d’un “équilibre” des pouvoirs. Ainsi, analysant l’expérience de la Commune de Paris et soumettant le parlementarisme bourgeois à une critique dévastatrice, Marx écrit : ” La Commune n’aurait pas dû être parlementaire, mais une corporation de travail, à la fois législatrice et exécutrice des lois ” (Marx, Œuvres choisies, vol. II, 1940, p. 401).
En outre, Marx et Engels ont reconnu la nature bloquante du parlementarisme bourgeois dans la manière de construire une société socialiste : si les partis ouvriers gagnent le pouvoir exécutif, le parlementarisme prépare le terrain pour l’établissement d’une solide opposition réactionnaire, des débats sans fin et la non-application des lois votées. Le parlementarisme est donc intrinsèquement non déformable et ne peut être mis au service de la démocratie ouvrière.
La Commune, en réunissant pour la première fois les pouvoirs législatif et exécutif, décide de mettre fin au parlementarisme afin d’éviter la fragmentation du pouvoir de la classe ouvrière. Dans la pratique, le principe de la dictature du prolétariat de la Commune a commencé, tout d’abord, par la destruction des institutions du pouvoir exécutif et législatif et leur remplacement par de nouveaux organes à travers lesquels le prolétariat exerçait un pouvoir direct.
La dictature du prolétariat est la base de l’Etat soviétique
Les vues de Marx ont été développées par Lénine dans son ouvrage L’État et la révolution et établies par le PCUS(b) comme base de la constitution soviétique. En 1918, soulignant la nécessité d’un accomplissement plus large des tâches historiques du pouvoir soviétique, Lénine considérait que l’une d’entre elles était : “La destruction du parlementarisme (en tant que séparation du travail législatif et du travail exécutif) ; l’union du travail législatif et exécutif de l’État. Fusionner la gouvernance avec la législation” (Lénine, Op., vol. XXII, p. 371). Lénine pensait que les Soviets devaient être une institution véritablement fonctionnelle, l’organe suprême du pouvoir d’État, auquel les organes de l’administration de l’État sont subordonnés et devant laquelle ils sont responsables.
Le droit étatique soviétique nie donc la séparation des pouvoirs par principe. Le pouvoir soviétique a éliminé “les côtés négatifs du parlementarisme, en particulier la séparation des pouvoirs législatif et exécutif, le détachement des institutions représentatives des masses, etc. (Programme et charte du VKP(b), 1938, p. 18). En URSS, l’unité du pouvoir ouvrier était affirmée, et la direction de la société (dictature) appartenait à la classe ouvrière, la classe avancée de la société. “Tout le pouvoir en URSS appartient aux travailleurs des villes et villages, représentés par les Soviets des députés des travailleurs” (Constitution de l’Union des républiques socialistes soviétiques 1936, art. 3).
Il n’est pas surprenant qu’après la première phase de la contre-révolution en URSS en 1989-1991, qui visait à détruire le Parti communiste, le cœur du système politique et l’unité du pays, la deuxième et dernière phase en 1993, marquée par le coup d’État anticonstitutionnel et le bombardement de la Chambre des Soviets de la RSFSR, visait à détruire le gouvernement soviétique pour restaurer le parlementarisme bourgeois en Russie.
L’expérience de la Commune est également intéressante car parmi les mesures introduites par la Commune pour la mise en œuvre de la démocratie ouvrière, il existe un certain nombre de dispositions qui restent d’actualité. Tout d’abord, et Marx insiste fortement sur cet aspect, le service de l’Etat doit être rémunéré à la condition que le salaire du travailleur soit préservé afin d’éviter la corruption et les privilèges. En outre, les mandats doivent être impératifs : chaque élu du peuple peut être rappelé à tout moment par les électeurs. Enfin, la Commune cherche à libérer la société de toutes les entraves qui la maintiennent sous le contrôle du pouvoir bourgeois : Le 2 avril 1871, un décret est publié sur la séparation de l’Église et de l’État ; l’enseignement gratuit général d’État est établi ; la commune établit également l’égalité des salaires entre les hommes et les femmes.
La Commune et les tentatives de pervertir la mémoire historique
Lorsque Marx écrit dans une lettre à Kugelmann, le 12 avril 1871, que les Communards de Paris sont des gens ” prêts à prendre d’assaut le ciel “, il veut souligner par là le caractère grandiose de leur lutte pour atteindre des objectifs difficilement réalisables dans les conditions objectives et subjectives de l’époque. Mais il manquait une chose aux communards parisiens de 1871 : la théorie du parti prolétarien. En étudiant la tentative héroïque faite en 1871 par les travailleurs de Paris, et en tirant les leçons des faiblesses de la Commune de Paris tant sur le plan idéologique que tactique, Lénine a tiré des conclusions d’une grande importance pour le mouvement ouvrier mondial et pour la préparation de la victoire d’octobre 1917.
Aujourd’hui, les anarchistes et les sociaux-démocrates de divers bords tentent d’étouffer le souvenir de l’exploit des communards par des sophismes renégats, mettant en avant “l’hétérogénéité de la coalition” des néojacobins, des socialistes et des anarchistes, les “tensions internes”, la “discorde et la désintégration”. On ne cesse d’entendre la voix de purs réactionnaires, comme l’ancien président français Nicolas Sarkozy, qui considèrent les communards comme des “traîtres à la France” et les Versaillais, soldats de l’armée du Second Empire qui a honteusement capitulé devant la Prusse, comme des héros.
Mais les Communards n’étaient ni des traîtres à la France, ni des anarchistes sans feu ni lieu. Pour la première fois dans l’histoire de la France, le peuple travailleur a pris – malgré l’intervention d’une puissance étrangère et la trahison des classes supérieures du pays – le pouvoir entre ses propres mains. Dans son article “Anarchisme ou socialisme ?” Staline a noté l’importance de la compréhension marxiste de la commune : “(…) la dictature est de deux sortes. Il y a la dictature d’une minorité, la dictature d’un petit groupe, (…) dirigée contre le peuple. À la tête d’une telle dictature se trouve généralement une camarilla, qui prend des décisions secrètes et resserre son étau sur la majorité du peuple. Les marxistes sont les ennemis d’une telle dictature, et ils luttent contre cette dictature avec beaucoup plus de persistance et d’abnégation que nos anarchistes braillards. Il existe une dictature d’un autre genre, la dictature de la majorité prolétarienne, la dictature des masses, dirigée contre la bourgeoisie, contre la minorité. Ici, la dictature est dirigée par les masses, il n’y a pas de place pour la camarilla, pas de décisions secrètes, tout se fait ouvertement, dans la rue, lors des réunions, et cela parce que c’est la dictature de la rue, des masses, la dictature dirigée contre tous les oppresseurs. Les marxistes applaudissent une telle dictature “des deux mains”, et ce parce qu’une telle dictature est le début majestueux de la grande révolution socialiste.
La Commune de Paris fournit le premier exemple historique d’une société libre, sans les entraves et les pièges du parlementarisme bourgeois, un exemple de la règle de la démocratie ouvrière incarnée dans la dictature du prolétariat. Sans un retour à l’expérience de la Commune, sans une réévaluation du parlementarisme bourgeois, la restauration du socialisme en Russie ne sera pas possible.
Andrei Doultsev (correspondant de la Pravda pour l’Europe de l’ouest).
(1) Un retour sur l’excellente histoire soviétique à propos de la Commune mais aussi puisqu’il s’agit d’une autre célébration sur Napoléon et des figures révolutionnaires serait bienvenue Une relecture du très grand historien Albert Zakharovich Manfred, nous apporterait une vision autre de celle de l’histoire telle qu’elle s’impose mais aussi se décompose en France sous nos yeux. Comme nous le démontrent les excellents article d’Andrei Doultsev il y a en Russie une exigence intellectuelle, un travail sur les faits qui méritent le détour (note de Danielle Bleitrach)
(1) Est paru aux editions sociales Karl Marx et Friedrich Engels sur la Commune de Paris, textes et controverses une initiative intéressante, malheureusement la préface “événement et stratégie révolutionnaire par Stathis Kouvélakis témoigne en fait d’une réinterprétation : “Tout regard sur le passé nous en dit au moins autant sur le sujet qui regarde, et sur le moment historique dans lequel s’inscrit ce regard, que sur l’objet vers lequel il se dirige. ” La réinterprétation en fait consiste à poursuivre une évolution anti-révolutionnaire qui est celle de l’historiographie française. Les publications du PCF, la gauche n’y échappent pas, en partant de la diabolisation de Staline elle a atteint Lénine et maintenant remet en cause Marx et Engels. il est clair que le regard d’Andrei Doultsev et de nos camarades du KPRF (comme des webmasters de ce blog) n’est pas le même que celui des éditions sociales, ni d’ailleurs de l’Humanité et encore moins de Mélenchon qui ne cesse de se référer à cet événement pour le soustraire aux communistes français (qui d’ailleurs ne le défendent pas). Mais revenons à la préface des éditions sociales, son auteur avec une franche naïveté expose le fait que quand le centenaire a été célébré la situation du PCF et donc de la société française était bien différente : “Un fil semblait relier Marx et Engels à l’événement en question, celui d’une histoire toujours en cours, l’histoire du mouvement ouvrier et révolutionnaire dont cet événement était vu comme un le moment fondateur“. Et ce préfacier des éditions sociales nous explique, à la manière de Mélenchon, comment désormais le lien est rompu entre les communistes et Marx et en Engels. L’événement n’est plus à chaud mais il s’est refroidi en prenant ses distances avec Marx et Engels. A la limite pour ces “théoriciens” des éditions sociales la révolution française vue par Jaurès dont le plus grand mérite est d’avoir été assassiné pour une juste cause et d’avoir dit qu’aux Jacobins il s’asseyait encore à côté de Robespierre mais qui est un réformateur, très loin du marxisme, est plus “chaud” et d’actualité pour leur “communisme” que Marx. Le guédisme, introducteur du marxisme en France leur paraitrait sans doute suspect de trop de marxisme. Bref une célébration qui confirme le reniement. (note de Danielle Bleitrach)
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etoilerouge commune
il est assez amusant en effet que des petits gauches de gauche qui n’ont jamais fait de mal au capital, ni construit une nation socialiste de A à Z se permettent de dégommer MARX Engels et LENINE. La bouffonnerie française se prend pour le sel de la terre.