Celui qui vient au monde pour ne rien troubler ne mérite ni égards ni patience
René Char, fureur et mystère
Vendredi, je vous avais promis une réflexion ce weekend, elle prend une forme individuelle, mais j’ai consulté diverses personnes, dont bien sûr Marianne, qui a sa propre trajectoire, mais avec qui nous sommes d’accord sur ce que nous publierons et pourquoi nous le ferons.
Disons que si j’ai heureusement et malheureusement changé depuis ce temps où je jouais les globe trotter, la même curiosité m’anime et elle réunit ceux qui contribuent à ce blog. Pas une curiosité vaine, nous avons choisi notre camp… et nous croyons à ce que nous écrivons…
J’ai tenté depuis le 22 avril 2020, date à laquelle j’ai définitivement rendu ma carte de membre du PCF de conserver une position de sympathisante privilégiée c’est-à-dire appuyer les combats de ce parti auquel j’avais adhéré en 1956 et que j’avais dû quitter en 2003 et en 2020 après avoir tenté d’y retourner en 2013. “Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée” disait Alfred de Musset en 1845, le malheureux enfant du siècle qui se plaignait déjà que l’ère des Révolutions soit terminée. C’est une manie très française que de s’ennuyer à la veille des explosions et j’aimerais être française en la matière. Mais ce sera sans carte du PCF : deux expériences cela suffit, vous serez d’accord avec moi..
Quelle que soit la suite il n’y aura aucun retour, mais aucune acrimonie non plus. Il serait ridicule de désavouer une vie que je ne regrette pas. Mais le plus important, la conviction qui fut et reste mienne que, soit on arrive à reconstruire un PCF sur des bases de classe, nationales et internationalistes tel que l’avait fondé Maurice Thorez, soit c’est la fin de toute possibilité du socialisme en France et même d’une gauche réelle. Le syndicalisme révolutionnaire si fort en France, lui-même ne survivra pas à la vague réactionnaire qui va vers la barbarie s’il n’y a pas de perspective politique. Vous me direz qu’en pensant cela je participe de la maladie sénile du communiste, ça se discute…
Le temps des gilets jaunes, de l’abstention massive et de la droite bénéficiant du rejet de l’extrême-droite… peut très bien se combiner avec notre goût pour les explosions sociales qui, malgré nos crimes coloniaux, nous a créé une aura.
C’est là je le reconnais une hypothèse qui mérite discussion mais pour le moment j’en suis là et je ne saurais penser autrement que si les faits me contredisent. Et encore il faut qu’ils soient têtus… Donc non seulement je n’ai nulle acrimonie contre le PCF, mais j’attends tout de son renouveau entamé au 38e congrès.
J’avais pensé que le dialogue pouvait se poursuivre et que l’apport de ce qui se passait sur la planète pouvait aider à maturer ce questionnement, nous aurions entretenu une relation privilégiée… Beaucoup s’en félicitent mais un petit nombre enrage, insulte… et ils crient au viol, celui d’un consensus établi, disons celui qui depuis plus de vingt ans a été introduit par l’eurocommunisme. Je ne suis pas malveillante à ce point et à l’inverse des tenants du profit j’estime que chaque communiste doit être à tout âge maitre de son parti, les captations d’héritage ne seront jamais dans mes mœurs.
Le contexte est celui d’un reflux massif des idées non seulement communistes mais révolutionnaires, reflux marqué par l’abstention et l’avancée de droite et cela n’a rien de conjoncturel, on ne survit pas dans ce naufrage, il faut résister…
Alors que la réhabilitation des collaborateurs du nazisme est justifiée de mille et une manières qui vont de la nécessité de se documenter ou de leurs qualités littéraires, voire de la totale innocuité de la publication “indispensable” de “Mein Kampf”… tout ce qui a trait à l’histoire du communisme doit passer par un certain filtre… Qu’il s’agisse du socialisme existant ou de son histoire en particulier européenne il y a une mythologie qu’il ne faut pour rien au monde remettre en cause même si l’on apporte arguments et faits.
Le mal a atteint les esprits, il s’avère que la manière dont certains exigent partout la censure de l’apport de notre blog et, dans la logique de plus de vingt ans de censure de la presse communiste, ils exigent que désormais cette censure intervienne sur des sites proches du PCF. Ils y sont parvenus sur certains sites comme celui de Ian Brossat, ce qui visiblement n’a aucun effet sur l’audience du blog. Mais il leur faut impérieusement créer des cordons sanitaires.
Il y a déjà pas mal de temps le sémiologue Roland Barthes a analysé les “mythologies qui tendent à se substituer à la réalité et engendrer l’illusion d’un savoir immédiat sur tout”. Le discours mythique, a t-il montré, vise à vider la mémoire de la production des choses, de la manière dont idées et événements se sont historiquement engendrés. Ce savoir mythique agit avec un sens celui de “naturaliser” les choses, supprimant ainsi la dialectique de l’histoire. Il faut constituer une évidence souvent technocratique qui donne une fatalité à la décision qui est prise. Ainsi en est-il advenu des politiques d’austérité, de l’idée que l’occident au moment même où il torturait au Chili, pillait la planète représentait la démocratie et les droits de l’homme. Pour Barthes, ce qui est présent dans le mythe n’est pas la dissimulation, mais la déformation. Ainsi, en vidant les formations sociales singulièrement européennes, aux Etats-Unis, de leur sens historique, de leur dimension de classe, le mythe ouvre d’abord l’espace pour le remplir par d’autres significations donnant un autre sens à la réalité alors qu’il continue d’agir et à se substituer aux faits.
En ce moment bien des gens s’intéressent non sans raison à cette police de l’esprit qui tend à s’instituer dans les réseaux sociaux et qui revient à traquer les “fake news” avec des méthodes qui en fait cautionnent des grands groupes qui eux-mêmes utilisent de fausses informations, les valident de telle sorte qu’elle interdisent l’accès à la réalité.
L’interdiction des comptes Twitter, Facebook de Trump a paradoxalement alerté sur l’ampleur du phénomène.
Les délires d’un Glucksmann sur les Ouïghours ne sont pas sanctionnés. Le trois quart des émissions de France-culture fonctionnent dans le renforcement de cet espace mythique avec ses spécialistes qui en sont à la fois la garantie et les dévots. La presse communiste et l’Humanité en particulier suit depuis plus de vingt ans cette substitution.
Les appels à la censure qui accompagnent nos écrits et ce que nous publions sont parvenus à leurs visées en maniant les insultes ad hominem sous prétexte que nous oserions remettre en cause trente ans d’eurocommunisme dans lesquels la seule référence marxiste tolérée a été la doxa trotskiste. Leurs cris d’orfraies et leurs arguments concernant mon âge, mon gâtisme supposé, voire d’autres références à ma personne ne devraient susciter que le mépris, mais ce qui les rend si aisément tolérables c’est qu’ils s’inscrivent dans cet espace mythologique et a-historique construit à gauche. Je prends le risque de la transgression, religieuse, mais elle se présente comme l’évidence, voire le seul bon sens.
Le paradoxe est que les militants communistes se plaignent légitimement d’être interdits dans les médias, de l’anticommunisme ambiant, mais ils ne mettent jamais en cause la responsabilité de leur organisation dans cette situation. Ils commencent à percevoir l’effacement imposé par la manière dont leurs dirigeants les ont placés derrière Mélenchon, mais il suffirait de diaboliser celui-ci pour se libérer du fait, de cette soumission à laquelle ils ont adhéré. Ils commencent à percevoir la nature de leur effacement dans le monde du travail et les couches populaires, le rôle joué par la destruction des cellules d’entreprises, d’établissement, de quartier populaires mais ils continuent à penser que pour attirer la jeunesse seul le sociétal a un sens. Bref, il faut poursuivre dans le sens de cette “réalité” construite de toute pièce. Ils perçoivent l’ampleur de la marginalisation du PCF mais ils ne s’interrogent jamais sur disons la vision “trotskiste” de leurs analyses : Ce que dit le trotskisme quelle que soit son obédience, non sans dévouement, est que toutes les expériences socialistes sont des échecs, des dictatures. Mais le trotskiste qui n’a jamais réussi la moindre expérience poursuit: ” nous vous garantissons que nous nous vous apporterons le communisme déjà réalisé… “ Avec une telle démonstration tous les partis trotskistes ont réussi à faire du 2%, nous y voilà. Et ce discours peu efficace sur le plan politique n’avait qu’une vertu quand il a pénétré le PCF, il était conforme au mythe qui s’est développé dans les années soixante et dix. C’est ça ou l’abandon total de la référence marxiste pour passer à la lecture du Nouvel Observateur ou l’équivalent.
Le passage Mélenchon n’est pas simple lubie, il est très concrètement tentative de créer un”populisme de gauche”.
En fait Mélechon comme Podemos et d’autres stratégies post-eurocommunisme adoptent une stratégie très consciente qui vide la politique de sa catégorie lutte des classes, pour leur substituer un “nous” complètement mouvant et construit de toutes pièces dans des catégories hétérogènes les unes aux autres. C’est la théorie de Chantal Mouffe : ” Le «nous» d’une stratégie populiste de gauche n’est pas la représentation d’intérêts collectifs préexistants. Il y a des demandes démocratiques liées à des intérêts économiques, mais aussi toute une autre série de demandes démocratiques qui ne sont pas d’ordre économique. Il est important de fédérer un ensemble de demandes hétérogènes, qui peuvent entrer en conflit les unes avec les autres, pour créer une volonté collective, un «nous». Toute la difficulté est de créer un «nous» qui reconnait les différences. Le peuple du populisme de gauche comme de droite est hétérogène. Il doit dépasser le conflit de classe pour atteindre un populisme de gauche qui soit aussi transversal que celui de droite. “
C’est-à-dire qu’il se revendique comme une alternative au fascisme mais fonctionne sur un modèle parallèle qui après avoir vidé la lutte des classes (catégories trop économiques) introduit des catégories fabriquées de toutes pièces comme le sont les races dans le fascisme.
Le malheureux parti communiste après avoir été vidé de ses concepts marxistes et léninistes par l’eurocommunisme au profit d’un vague socialisme à la française qui peu à peu se définit par opposition avec le “stalinisme” plus que le capitalisme et se remplit peu à peu de ces catégories vides qui s’agglomèrent avec une absence totale de contenu concret.
il faut lire la base du 37e congrès pour mesurer la nature de ce vide politique et l’agrégat auquel on aboutit. Mais l’idée de la modernité qui préside à ce bradage n’est pas issu du seul PCF mais bien de la tentative de toute la société de supprimer tout ce qui a trait à la lutte des classes, le travail sur l’histoire ou plutôt sur sa disparition.
Donc, nous nous demandions dans ce blog comment effectivement lutter contre les fausses nouvelles, xénophobes, racistes, antisémites et obscurantistes sur le plan scientifique qui sont devenues le “socialisme des imbéciles” sans pour autant nous conformer aux campagnes impérialistes et à ce populisme de droite… C’est une question qui en préoccupe beaucoup. Il y a eu non seulement le texte que nous publions aujourd’hui de ce polémiste allemand envoyé par Andrei, mais Baran, selon son habitude n’a cessé de m’expédier des vidéos sur la question de savoir qui contrôle ceux qui prétendent contrôler le vrai du faux, son mode de réflexion à partir d’algorithmes, jeux techniques me demandant des efforts considérables j’y suis encore.
Hier m’est également parvenu un article d’amis brésiliens, Maiara Marinho, journaliste et maître en communication et culture (UFRJ) et Thiago Rafagnin, professeur de droit à l’Université de Bahia occidentale (UFOB) et post-docteur en droit. Sur le sujet, il partaient également du mythe de Roland Barthes donc pour moi présentaient un certain confort sociologique et ils disaient si vous voulez excuser mon hasardeuse traduction :
“Le mythe est donc un mode de sens, un discours, mais surtout un discours volé, et qui vise à vider la mémoire de la production des choses. Il se présente comme un système de sens selon une manière de communiquer, qui « n’est pas définie par l’objet de son message, mais par la façon dont il se prononce » [1] et est donc construit par l’utilisation de la connotation. L’effet de la naturalisation de ce qui est historique donne au mythe la capacité de construire des récits qui sont sortis de leur contexte, dans lesquels il permet de recourir à d’autres éléments pour disposer d’un concept, le déformer. Cela peut se faire, dans le cas d’un texte journalistique, en utilisant des moyens connotatifs : peur, immédiateté, répétition de mots, histoires sans passé, entre autres. Pour le sémiologue, se concentrer sur le signifiant mythique comme une totalité de sens et de forme, « relier le schéma mythique à une histoire générale, expliquer comment il correspond à l’intérêt d’une société définie » signifie « passer de la sémiologie à l’idéologie ».[2], suivant sa nature sémiologique dialectique.“
J’ai d’autant plus apprécié leur réflexion qu’elle n’abandonnait pas plus que nous dans ce blog la traque des fausses nouvelles qui nous parait de salubrité publique en particulier dans des temps de xénophobie et de pandémie. Et que leurs recherches s’articulait sur un sujet bien concret celui de la réforme du code du travail au Brésil [3].
Donc nous allons poursuivre notre travail. Estimez l’apport de ce blog comme celui de gens appartenant à divers courant de réflexion indépendamment de leur adhésion ou non politique. Pour l’essentiel, en ce qui me concerne, je pense que nous vivons un moment dans lequel se multiplient les défis fondamentaux exigeant de nouvelles formes de coopération à la fois des collectifs humains dans un nouveau rapport à la nature et au développement scientifique et technologique. Pour y faire face, je privilégie la démarche historique, reconstruire chaque événement, chaque discours dans la condition de leur production. Avec bien sûr une visée politique : la tâche urgente de construire ces coopérations à différentes échelles en mesurant quels sont les leviers et les points d’appui. Il y a des foules de gens qui pensent, qui expérimentent et ce serait dommage de les ignorer. Mais je suis encore plus consciente de la fragilité du peu qui existe en matière d’organisation, de gens qui ont la force de s’engager et il faut les respecter, leur laisser le soin de s’auto-convaincre.
J’ai choisi un weekend de réflexion avec de longues discussions avec Marianne. Le plus simple est effectivement, du moins pour un temps, de ne plus intervenir du tout dans les débats internes du PCF et de ne participer à aucune des activités, débats sur ces questions parce que le traumatisme qui risque de devoir leur être infligé peut être contreproductif. Ce sont de grands blessés avec lesquels il faut agir avec délicatesse, des actions que nous approuvons comme la campagne sur l’emploi, la nationalisation et le pôle santé, seront bien plus efficaces pour les aider à sortir de là. Vouloir agir, apporter le peu qu’on peut au collectif mérite le respect de la démocratie interne et de son rythme de conviction.
Pour pouvoir conserver ce à quoi nous tenons et qui nous parait être notre apport principal non seulement à Marianne et moi mais à un nombre grandissant de contributeurs passionnés par la question du socialisme d’un point de vue des transformations internationales et leur appréciation sur la situation actuelle autant que leur interprétation de l’histoire.
Cela ne nous empêchera pas de continuer à nous interroger sur le devenir de la France et du continent européen dans ce moment périlleux mais passionnant.
Danielle Bleitrach
[1] BARTHES, Roland. Mythologies. Rio de Janeiro: Bertrand Brasil, 2001, p. 131.
2] Idem, 150.
[3] MARINHO, Maiara dos Santos. Médias, néolibéralisme et idéologie : la réforme du travail dans les éditoriaux d’O Estado de São Paulo, O Globo et Folha de São Paulo. Graduate Program in Communication and Culture (UFRJ), 2019.
Vues : 318
Claude Bagarry
Avec “L’Hégémonie du signifiant” selon Michel Clouscard . Il ne s”agit pas simplement de la “sensure”, de la disparition de sens par l’exérèse du référent (le réel, le fait historicisé) mais de la greffe
d’un pseudo référent s’élaborant
à partir du signifiant . Il y a toujours une apparence de sens
(d’où imperceptibilite de la censure, de la manipulation) . C’est la forme écrite ou parlée qui impose tout le sens. D’où une soumission “volontaire” intériorisée (comme une religion) et généralisée à la pensée dominante, notamment par la plupart de ceux qui de bonne volonté, croient s’y opposer . Leur opposition est limité par un fonctionnement cognitif (peut-être neurologique par l’habitus) induit par leur intériorisation de l’hégémonie du signifiant .
Danielle Bleitrach
En fait Melechon comme Podemos et d’autres stratégies post-eurocommunisme adoptent une stratégie très consciente qui vide la politique de sa catégorie lutte des classes, pour leur substituer un “nous” complètement mouvant et construit de toutes pièces dans des catégories hétérogènes les unes aux autres. C’est la théorie de Chantal Mouffe : ” Le «nous» d’une stratégie populiste de gauche n’est pas la représentation d’intérêts collectifs préexistants. Il y a des demandes démocratiques liées à des intérêts économiques, mais aussi toute une autre série de demandes démocratiques qui ne sont pas d’ordre économique. Il est important de fédérer un ensemble de demandes hétérogènes, qui peuvent entrer en conflit les unes avec les autres, pour créer une volonté collective, un «nous». Toute la difficulté est de créer un «nous» qui reconnait les différences. Le peuple du populisme de gauche comme de droite est hétérogène. Il doit dépasser le conflit declasse pour atteindre unpopulisme de gauche qui soit aussi transversal que celui de droite. ”
C’est-à-dire qu’il se revendique comme une alternative au fascisme mais fonctionne sur un modèle parallèle qui après avoir vidé la lutte des classes (catégories tropéconomiques) introduit des catégories fabriquées de toutes pièces comme le sont les races dans le fascisme.
le malheureux parti communiste après avoir été vidé de ses concepts marxistes et léninistes par l’eurocommunisme au profit d’un vague socialisme à la française qui peu à peu se définit par opposition avec le “stalinisme” plus que le capitalisme et se remplit peu à peu de ces catégories vides qui s’agglomèrent avec une absence totale de contenu concret.
Baran
Danielle tu décodes à la vitesse de la lumière. Comment fais-tu pour accumuler autant de capital intersubjectif?
Danielle Bleitrach
cher Baran j’appartiens à une civilisation disparue, celle de Gutenberg… je suis incapablede gérer la moindre informatique…je tape comme une sourde sur mon clavier,en souvenir du tempsoù ilfallait perforer les stencils…je ne compreends strictement rien aux méandres del’informatique, je suis devant ce monde là au stade d’un singe primate qu’il faut exécuter parce qu’il ne sait pas peler une banane . Tous ceux qui ont tenté de m’initier à ce monde là te le diront. Je vais à la gare prendre mes billets de train et je remplis mes impôts sur les dernières feuilles… Mais dans la civilisation gutenberg, on lisait vite et beaucoup, on classait très vite les informations et les contenus…
Baran
Tu te débrouilles quand même très bien les nouveaux moyens d’expression, une identité numérique richement fournie avec un blog et une présence sur des réseaux sociaux divers…
Pour ce qui est des problèmes de dactylo sais tu qu’il est désormais possible de brancher un clavier de machine à écrire à ton ordinateur? Ce pourrait régler une partie de tes problèmes 😉
Démonstration en image: https://www.youtube.com/watch?v=oZbyq2OD0OA
LEGRAND
Merci infiniment pour ce travail énorme que tu fais avec Marianne à qui j’adresse aussi tout mon fraternel respect et admiration pour son travail. Continuez très chères camarades, n’oubliez pas que chacun des articles publiés participent à la réflexion et à l’action de dizaines voire de centaines de personnes et que c’est une chance que de disposer de votre dévouement à la cause du communisme.