Notez que cette information provient d’un site russe pro-gouvernemental, peu suspect de sympathies communistes, et que d’ailleurs il attribue la chute de Ceausescu à une « révolution », horreur absolue. A l’époque du Maîdan, quand les hordes néo-nazies faisaient des retraites aux flambeaux en scandant « ré-vo-lu-tion ! », la télévision russe s’est livrée à une propagande intense en vue d’opérer une équivalence entre contre-révolution, révolution colorée et autres printemps arabes menant au chaos, et toute idée de révolution passée ou future. Difficile de trouver une vraie logique dans tout ça, malheureusement la Russie d’aujourd’hui n’est plus l’URSS, « pays du monde où on lisait le plus ». Néanmoins, les autorités sont obligées de composer avec le regret massif de l’ère socialiste. Ce sont des contradictions sur lesquelles travaille non sans succès le KPRF (note et traduction de Marianne Dunlop pour histoire et société)
https://vz.ru/news/2025/7/21/1346918.html
Deux tiers des Roumains considèrent l’ancien dirigeant du pays Nicolae Ceausescu comme un bon leader, selon un sondage d’opinion.
Dans une étude réalisée par le centre d’études INSCOP en juillet 2025, 66,2 % des personnes interrogées ont donné une opinion positive de Ceausescu. Le rapport indique : « À la question de savoir si Ceausescu était un bon ou un mauvais dirigeant pour la Roumanie, 66,2 % des personnes interrogées ont répondu par l’affirmative », rapporte l’agence RIA Novosti.
L’opinion contraire est partagée par 24,1 % des personnes interrogées, qui considèrent Ceausescu comme un mauvais dirigeant. 7,8 % ont eu du mal à répondre et 2 % ont refusé de répondre. 1 500 personnes ont participé à l’enquête, dont la marge d’erreur statistique est de 2,5 %.
Nicolae Ceausescu a dirigé la Roumanie de 1965 à 1989 et a été renversé à la suite des événements révolutionnaires de décembre 1989. Après un bref procès militaire, lui et son épouse Elena ont été fusillés le 25 décembre 1989. L’enquête était consacrée à la perception du communisme et aux sentiments nostalgiques au sein de la société roumaine.
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