L’avenir prévisible des économies des BRICS et de leur éventuelle monnaie commune est marqué par des actions stratégiques, des défis structurels et un contexte géopolitique en pleine transformation. Comme ça fait du bien d’avoir devant soi des gens qui malgré toutes leurs souffrances restent debout et pensent stratégiquemet mêle le compromis en fonction d’un but et d’une perspective. Cette absence de perspective, enfin celle qui va au-delà du poste de conseiller d’arrondissement qui est l’alapha er l’omega dans la ville de Marseille et les Bouches du Rhône ou tout a été perdu et où le RN prend de plus en plus de postions, est le drame du PCF dans ce département ouvrier consiste à retrécir notre champ de vision jusqu’à l’asphyxie totale… Nous vivons, à l’inverse des Cubains, qui subissent tout sauf le déshonneur de la peur et des barrières que l »on se met à soi -même par ce que l’on accepte la promotion de la médiocrité. Trente ans d’interdit que j’ai subi, accepté de tous, dans la presse dite communiste, trente ans de rumeurs et d »ignominie, pour mieux se faire les soutiens de l’atlantisme, de ceux qui torturent, massacrent en laissant croire qu’il y a de bons bourreaux et surtout en contribuant au négationisme ambiant… le jour où ils changeront je me demanderai l’imbécilité que j’ai faite pour qu’ils me tolèrent. Quand on me demande, comme ce matin, pourquoi je ne suis pas au PCF je réponds qu’il faut y rester et se battre, ne pas leur laisser la place, mais moi il me reste si peu de temps à vivre, je suis vivante à tous les sens du terme et avec ces gens là cela m’est impossible. Même pour Cuba, pourtant il faut ne pas déserter, le peu qui peut être fait sera bien (note et traduction de danielle Bleitrach)
Fonfy Alonso.
Les principaux aspects sont abordés ci-dessous :
Expansion et poids géoéconomique des BRICS+. Voir:
Croissance démographique et économique : les BRICS+ (avec de nouveaux membres tels que l’Égypte, l’Iran, les Émirats arabes unis et l’Éthiopie) représentent 45 % de la population mondiale, 37 % du PIB mondial et 44 % des réserves de pétrole.
Développement d’institutions financières propres : La Nouvelle Banque de développement (NDB) et le Fonds de réserve d’urgence (CRA) cherchent à offrir des alternatives au FMI et à la Banque mondiale, avec des projets financés à hauteur de plus de 32 800 millions de dollars jusqu’en 2024.
Attraction significative de nouveaux membres : Plus de 30 pays ont manifesté leur intérêt à rejoindre l’UE, dont la Turquie, l’Indonésie et le Nigeria, ce qui renforcerait leur influence dans les pays du Sud.
Dédollarisation et alternatives au système financier occidental
Commerce en monnaies locales : La Chine effectue déjà 95 % de ses échanges commerciaux avec la Russie en yuan, et d’autres membres promeuvent des accords bilatéraux pour éviter le dollar.
Infrastructures alternatives :
Le mBridge : système de paiement basé sur la blockchain et CBDC (monnaies numériques de banque centrale) pour des transactions rapides hors du contrôle de SWIFT.
Le CIPS : système de paiement interbancaire chinois pour concurrencer SWIFT.
Réserves d’or : La Chine et la Russie accumulent de l’or pour soutenir leurs monnaies et réduire leur dépendance vis-à-vis du dollar.
Le projet de monnaie commune des BRICS : avantages et obstacles.
Les avantages les plus notables :
Réduction des risques : Cela atténuerait l’impact des sanctions occidentales (telles que celles imposées à la Russie et à l’Iran) et à la volatilité du dollar.
Commerce intragroupe : Il faciliterait les transactions entre les membres, qui contrôlent déjà 20 % du commerce mondial.
Quelques designs possibles :
Ce que l’on appelle le panier de devises et de matières premières : similaire aux droits de tirage spéciaux (DTS) du FMI, garantis par l’or, le pétrole ou les terres rares.
Une monnaie numérique : liée aux CBDC pour une utilisation dans le commerce international.
Les défis :
Divergences économiques : la Chine contribue à 70 % du PIB du bloc, tandis que l’Inde et d’autres pays ont des structures économiques différentes (excédent ou déficit commercial).
Conflits géopolitiques : Les tensions entre l’Inde et la Chine, ou l’alignement de l’Arabie saoudite sur les États-Unis, entravent la cohésion.
Absence de consensus : Certains membres, comme l’Inde, préfèrent renforcer leurs monnaies nationales avant d’en adopter une commune.
Pression et réactions occidentales
Menaces américaines : Donald Trump a mis en garde contre l’imposition de droits de douane de 100 % aux pays qui adoptent une monnaie BRICS, reflétant la crainte de perdre l’hégémonie du dollar.
Négociations secrètes : Il y a des rumeurs d’accords entre les États-Unis, la Russie et la Chine pour maintenir temporairement le dollar comme dominant.
Scénarios futurs
À court terme (2025-2030) :
– Les progrès des systèmes de paiement alternatifs (mBridge, CIPS) et l’utilisation accrue des monnaies locales dans le commerce.
La monnaie commune des BRICS, si elle émergeait, serait limitée aux transactions commerciales, et ne remplacerait pas les monnaies nationales.
À plus long terme :
Multipolarité financière : Coexistence du dollar, du yuan, de l’euro et d’une éventuelle monnaie BRICS, affaiblissant la domination exclusive des États-Unis.
S’appuyer sur la cohésion interne : Le succès dépendra de la capacité du bloc à surmonter ses divisions et à mettre en place des mécanismes de gouvernance efficaces.
Les BRICS+ sont en train de redéfinir l’ordre économique mondial, mais leur monnaie commune se heurte à des obstacles techniques et politiques. Bien qu’il ne remplacera pas le dollar de sitôt, sa progression dans la dédollarisation et les systèmes alternatifs reflète un glissement irréversible vers un monde multipolaire.
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