Les sondages que l’on diffuse en occident concernant le refus des Ukrainiens de devenir russes ne concernent justement pas les zones de l’est et du sud, celles où est né Zelenski. Dans ces zones là, Zélensky est le nom d’un héros de la guerre contre le fascisme. Son nom: Semyon Zélensky. Et son petit-fils Vladimir Zélensky est pour eux un traître, un allié des fascistes, glorifiant le principal fasciste ukrainien Bandera. Il trahit son grand-père. Comment peut-il y avoir pareille traitrise, un juif devenu ami des fascistes et des assassins ayant commis l’holocauste des Juifs? Vladimir Zélensky aurait été maudit par son grand-père, peut-être l’aurait-il personnellement abattu pensent certains enfants de résistants et ils sont nombreux dans l’est et le sud de l’Ukraine à ne pouvoir lui pardonner. Sa famille appartenait à ce monde là: son père encore encore en 1994 lui a interdit de profiter d’une bourse qu’Israël offrait aux juifs d’URSS . (note de danielle Bleitrach article écrit avec des extraits de textes russes mais aussi de wikipedia français.
Volodymyr Oleksandrovytch Zelensky naît le 25 janvier 1978 à Kryvyi Rih selon l’écriture ukrainienne ), une ville industrielle totalement russophone située près de Dnipropetrovsk, dans le sud-est du pays . Cette ville est aussi celle dont l’oligarque le plus pourri qui soit Kolomoïski est devenu le gouverneur potentat, ce juif entouré d’une garde prétorienne de nazis recrutés dans le stade de l’équipe de foot qu’il dirigeait comme le lieu de blanchiment de tous les trafics, est l’ordure qui en profitant des matchs de foot est allé assassiner le maire de Kharkiv, juif pro-russe, puis a perpétré l’horreur de la maison des syndicats. A la tête de sa troupe il s’est approprié des banques, compagnies de navigation, chaines de télévision, et c’est lui qui a lancé la candidature de Zelenski. Son complice en France est Bernard Henri Levy. Comme Glucksmann est le complice d’un autre oligarque géorgien devenu également gouverneur d’Odessa avec les mêmes voyous. Zelenski s’est fait élire sur un programme de paix avec la Russie, une autre traitrise…
Jeudi 9 mai 2019. Volodymyr Zelensky s’est encore assis sur le banc de pierre posé devant la tombe de sa famille paternelle. A l’horizon, un long terril noir, typique des villes minières de la région de Dnipro et du sud-est de l’Ukraine. En face de lui, taillés dans le marbre mortuaire, le portrait d’une femme en robe de tous les jours et celui d’un homme en uniforme de l’Armée rouge, avec barrettes et décorations : ses grands-parents, Anna et Semen Ivanovytch Zelensky, qu’auraient-ils pensé de celui qui s’est fait élire pour la paix et cède à la menace du régiment d’Azov et aux Britanniques pour refuser celle de 2022 et poursuit une longue dérive dans la drogue et le rôle de destructeur de son peuple sous le drapeau de Bandera et de l’OTAN ? Le mépris que lui témoigne Trump qui a tout le pedigree du personnage n’est pas un hasard.
Son père Oleksandr Zelensky (en), professeur et chef du département de cynbernétique et d’informatique de l’université d’État d’économie et de technologie de Kryvyï Rih (en), et sa mère Rymma Zelenska, ingénieure, sont tous deux de confession juive ashkénaze (cette origine était considérée comme une nationalité sous l’ère soviétique) et de langue russe.
Son grand-père, Semyon Ivanovytch Zelensky, a servi dans l’infanterie, atteignant le grade de colonel de l’Armée rouge pendant la Seconde Guerre mondiale où il est considéré comme un héros. Il est vrai aussi que Le père et les trois frères de Semyon avaient été assassinés durant l’extermination des juifs et des soviétiques durant l’épisode que l’on a appelé la Shoah par balle et qui s’est essentiellement déroulée en Ukraine et en Biélorussie.
Avant d’aller à l’école primaire, Zelensky vit pendant quatre ans dans la ville mongole d’Erdenet où son père travaille alors. À l’âge de 16 ans, donc en 1994, il réussit le TOEFL (test d’anglais langue étrangère) et reçoit une bourse d’étude pour étudier en Israël mais son père qui est le digne successeur du grand père ne lui permet pas d’y aller.
Erdnet est une ville de Mongolie et donc quand Vladimir Zelenski ne cesse de dénoncer le péril jaune et d’utiliser toute l’Eurasie asiatique pour provoquer la haine des occidentaux et des Etats-Unis, il n’est pas ignorant de cette dimension de l’ex URSS qui était celle de l’amitié entre les peuples et les coopérations.
Mais il est effectivement temps de vous présenter le grand père de Zelenski : connaissez-vous le nom de ce héros de la Grande guerre Patriotique? Son nom de famille est Zélinsky. Il a forcé la traversée de la rivière Boug-Ouest sans une seule perte, a battu les fascistes et a pris leurs positions.
Auparavant, près du village d’Alexandrovka, la compagnie de soldats soviétiques sous son commandement a détruit la position d’une batterie de cinq mortiers et a résisté à quatre attaques allemandes.
Pour ses actes héroïques, ce soldat fut décoré de la médaille de l’Ordre de l’Étoile Rouge (NdT: la plus haute décoration soviétique) et du Drapeau Rouge.
Son nom complet est Simon Ivanovitch Zélinsky. Aurait-il pu imaginer que, 78 ans plus tard après que le peuple soviétique eut à subir la perte de millions de morts pour écraser le fascisme, son propre petit-fils applaudirait le vétéran de 98 ans de la division hitlérienne Galitchina, Yaroslav Hunk?
Où donc Vladimir Zélinsky se rendra-t-il ce 9 mai? sur la tombe de son grand-père ou au monument érigé à la gloire de Bandera?
Est-ce étonnant que Zelenski trouve comme principal soutien celle qui elle aussi n’a aucune raison de célébrer le 9 mai ou alors pour interdire au dirigeant slovaque Fico d’inviter les ambassadeurs de Russie et de Biélorussie alors que celui-ci s’écrie : avec qui célébrer le 8 mai : avec l’Allemagne et le Japon?
Views: 169
