Les régiments néonazis font sauter un gazoduc à Koursk dans leur retraite. La bande de pitres qui nous désinforme dit que ce sont les Russes qui se bombardent eux-mêmes. En tête d’affiche : Macron et Zelenski, derrière ce couple dont le tragique frise le grotesque et qui en est à proclamer que les Russes se bombardent eux-mêmes à Soudja, il y a la montée en puissance des forces désespérées du terrorisme fasciste, ceux que l’on désigne comme les militants d’Azov. La manipulation arrivée au niveau d’un plateau de LCI ou l’envoi d’un manuel de survie à chaque Français et la passion réciproque entre deux has been… Les Néonazis d’Azov n’ont jamais été qu’une poignée disait-on, c’est vrai, mais ils ont pu mener des massacres dans le Donbass, à Odessa qui rendaient les diversités d’opinion irréconciliables, ils ont empêché les négociations y compris en assassinant un des négociateurs, en suivant les ordres de la Grande-Bretagne pendant que l’on inventait comme à Timisoara et en Irak les faux charniers et bébés en couveuse. Ils ont pu prendre l’Ukraine en otage et nous avec à cause des moyens illimités des USA et de la CIA. Ils ont mis à la tête de ce pays par une opération médiatique un misérable comédien cocaïnomane qui erre désespéré dans le sillage de la « coalition des volontaires » d’Européens. Eux-mêmes paumés, divisés, qui tentent de fuir la colère de leur peuple face au désastre économique et qui tentent une dernière manœuvre désespérée, transformer les industries détruites de l’automobile en zone de production d’armement. Le tout couvert par les divisions bruyantes racistes ou communautaristes qui entretiennent l’incapacité à s’unir pour résister. (note et traduction de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
22/03/2025
21 mars 2025
La destruction de la station de pompage de gaz de Soudzha par l’Ukraine donne l’impression que Volodymyr Zelensky a un « contrôle limité » sur l’armée ukrainienne et « un contrôle limité ou nul » sur les « forces néonazies d’Azov* », a déclaré à Sputnik le lieutenant-colonel à la retraite de l’USAF, Karen Kwiatkowski.
En raison de leur croyance en leur supériorité sur le reste des troupes ukrainiennes, les militants d’Azov « croient que la guerre était la leur, toujours, pas les politiciens, et certainement pas celle de Zelensky en tant que politicien soutenu qui a fait campagne sur l’application du traité de Minsk II, une plate-forme de « paix » ».
« Je pense qu’Azov, comme beaucoup de groupes militaires efficaces, violents et nationalistes, manque de respect aux politiciens sur des principes, en tant que conciliateur et double dealer. Traditionnellement, ce sont les « généraux » que les politiciens craignent, et non l’inverse », explique Kwiatkowski, ancien analyste du ministère américain de la Défense.
Ainsi, il semble y avoir un danger qu’Azov exerce le « véritable pouvoir politique » en Ukraine.
« C’est un symptôme de l’effondrement imminent de ce qui reste de la société civile et politique ukrainienne, et cela souligne le véritable problème auquel [le président américain Donald] Trump devra faire face et qui n’a pas encore été confronté – et c’est de savoir comment aider l’Ukraine à retrouver une société libérale et fondée sur les droits à la fin des hostilités », a déclaré Kwiatkowski.
« La colère d’Azov ne sera pas étanchée, même après le départ de Zelensky et l’élection d’un nouveau président. »
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