Partout avec l’aide des belles âmes « démocratiques » qui ont reçu au sénat français « l’opposant » au Venezuela, ou encore ceux qui en Espagne ont soutenu et accueilli ces gens là pour faire plaisir à Biden, se retrouvent grace à la guerre des gangs entre démocrates et républicains au grand jour, comme chez nous où il ne nous reste plus qu’ à partir en guerre avec Zelenski à l’appel de Glucksman… pendant que Melenchon organise la diversion avec des affaires de pédophilie en attendant de commencer une tournée internationale où il va se vendre comme la seule opposition aux Chinois et à l’Amérique latine… (noteettraduction de danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
Le chef du Parlement vénézuélien a souligné que l’un des objectifs des groupes violents était de démembrer l’État vénézuélien grâce au soutien de l’Assemblée nationale de 2015. Photo : EFE
L’extrême droite vénézuélienne n’a aucun moyen de justifier les 1,684 milliard de dollars de l’USAID
15 février 2025 Heure : 01:53
Le président de l’Assemblée nationale du Venezuela a expliqué que les opérations de déstabilisation ont été menées avec des millions de dollars récoltés, en plus de l’argent reçu de l’USAID.
Le président de l’Assemblée nationale vénézuélienne, Jorge Rodríguez, a expliqué que l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) a donné plus de 1,6 milliard de dollars aux dirigeants de la droite extrémiste vénézuélienne pour financer et promouvoir des plans violents contre le peuple et le gouvernement de ce pays d’Amérique du Sud.
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« En janvier 2020, il a livré mille 684 millions de dollars. D’où la situation qui se passe actuellement avec Juan Guaidó, Carlos Bechio, Carlos Paparoni, Lester Toledo, Leopoldo López, parce qu’il n’a aucun moyen de justifier son utilisation.
Lors d’une interview dans l’émission A Pulso sur La Iguana TV, Jorge Rodríguez a expliqué que les opérations déstabilisatrices au Venezuela ont été menées avec des millions de dollars collectés, plus l’argent reçu de l’USAID.
Jorge Rodríguez a commenté qu’une partie de cet argent a été utilisée dans des complots tels que l’opération Gédéon, pour maintenir les camps de paramilitaires et de mercenaires en Colombie et acheter les faveurs des cartels de la drogue tels que celui de la péninsule de Guajira et de Los Rastrojos.
Le chef du Parlement vénézuélien a souligné que l’un des objectifs des groupes violents était de démembrer l’État vénézuélien grâce au soutien de l’Assemblée nationale de 2015.
« Cette immense opération qui comprenait l’utilisation de l’Assemblée nationale qui a obtenu les faveurs électorales en 2015 pour promouvoir le démantèlement de l’État, la balkanisation du Venezuela, l’apparition d’actions violentes et tout cela dans le bouillon de sanctions et de blocus criminel contre le pays », a-t-il déclaré.
Il a également rappelé que depuis 2018, il y avait plus de 60 mercenaires en Colombie qui se préparaient à envahir le Venezuela sur ordre du représentant d’extrême droite Juan Guaidó et des anciens présidents colombiens Álvaro Uribe et Iván Duque.
Arnaque de l’USAID
Le chef du Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV) a déclaré que l’USAID avait donné 658 millions de dollars à Juan Guaidó, Leopoldo López et María Corina pour l’aide humanitaire avant et après la pandémie de Covid-19.
« Pas un seul masque n’a été acheté avec cet argent, pas une seule assiette de nourriture n’a été fournie avec cet argent ; absolument tout était consacré à tuer, conspirer, promouvoir la violence et voler de l’argent », a précisé Jorge Rodríguez.
Rodríguez a précisé que les voyages d’Edmundo González ont été payés par l’USAID. Il a également dénoncé le fait que María Corina Machado recevait de l’argent de cette agence américaine depuis l’époque de SÚMATE.
Les coyotes de l’opposition
Interrogé sur la question des migrants vénézuéliens, Jorge Rodríguez a déclaré que les dirigeants de l’extrême droite maintiennent le commerce des soi-disant Coyotes, pour tromper les Vénézuéliens qui émigrent aux États-Unis.
En ce sens, il a affirmé que le président Nicolás Maduro avait proposé à l’envoyé spécial du gouvernement de Donald Trump, Richard Grenell, que tous les migrants expulsés soient recherchés par l’État vénézuélien, dans le respect des droits de l’homme de leurs compatriotes.
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