Aucun pays d’Europe n’est actuellement en guerre avec la Russie et la condamnation vertueuse de la dite Russie, assortie de sanctions multiples relève bien de deux poids, deux mesures quand on la compare à la tolérance dont jouissent les Etats-Unis et leurs protégés en matière de génocide et de viol des frontières, de soutien au terrorisme international. Les campagnes de haine sous couvert d’amour de la démocratie ne remplaçant en rien la légalité internationale. Mais là où l’odieux le dispute au grotesque, c’est quand sous le seul prétexte de telles campagnes, il est interdit à des nations européennes, membres ou non de l’UE, (mais contraintes par l’OTAN) de revendiquer leur droits économiques, ceux pour lesquels ils ont été mandatés par leur peuple. Les campagnes qui prétendent justifier de tels diktats sont de vraies bouffonneries. En voici la démonstration à travers le cas de Zelenski prétendant bloquer l’approvisionnement en gaz de la Slovaquie alors qu’il n’est plus président de l’Ukraine depuis avril 2024. Et accomplissant un tel acte insensé avec l’appui de la propagande de la Corée du sud, qui est elle-même dans un imbroglio pas possible, celle de la destitution du président allié, caution de Zelenski, au nom de l’invasion supposée des Coréens du nord sur le territoire russe. Sans parler de ce faux cul de Macron qui couvre de baisers Zelenski tout en tentant de négocier derrière son dos avec la Russie. Mais qui peut encore faire confiance en ces gens-là?
Le Premier ministre slovaque Robert Fico a rendu visite à Vladimir Poutine dimanche 22 décembre, à Moscou.© Gavriil GRIGOROV / POOL / AFP
Volodymyr Zelensky a vivement critiqué la visite du Premier ministre slovaque Robert Fico à Moscou, l’accusant de vouloir aider Poutine « à gagner de l’argent pour financer la guerre avec Kiev ». Le New York Times révèle que l’idée d’envoyer des troupes nord-coréennes en Russie venait de Pyongyang, et non d’une demande russe. Retour sur les événements qui ont marqué la nuit du lundi 23 au mardi 24 décembre 2024.
« Il veut aider Poutine à gagner de l’argent pour financer la guerre et affaiblir l’Europe ». Volodymyr Zelensky n’a pas pris de détour pour critiquer le Premier ministre slovaque, dans un message posté sur le réseau social X. Le président ukrainien dénonce la visite de Robert Fico à Moscou dimanche, qui visait notamment à discuter de la fin prochaine du contrat entre l’Ukraine et la Russie pour faire transiter le gaz russe vers l’Europe et dont la Slovaquie est très dépendante.
D’après des informations du New York Times, c’est la Corée du Nord qui aurait émis l’idée d’envoyer ses soldats combattre en Russie. Avec cette initiative, rapidement validée par Vladimir Poutine, Kim Jong-un espérerait que le dirigeant russe lui rende la pareille à l’avenir, sur les plans diplomatique et technologique.
Zelensky accuse le Premier ministre slovaque de vouloir « aider Poutine »
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé lundi le Premier ministre slovaque Robert Fico, qui a visité Moscou la veille, de vouloir « aider » Vladimir Poutine « à gagner de l’argent pour financer la guerre avec Kiev ».
Confrontée depuis bientôt trois ans à l’invasion russe, l’Ukraine a fait savoir l’été dernier qu’elle ne renouvellerait pas le contrat la liant jusqu’à la fin de l’année à la Russie pour faire transiter le gaz russe vers l’Europe via son réseau étendu de gazoducs. Robert Fico, dont le pays est très dépendant de cet approvisionnement, reproche ce choix à Kiev.
Mais le Premier ministre slovaque ne veut pas trouver des solutions pour remplacer le gaz russe et assurer « l’indépendance énergétique » de l’Europe, a accusé Volodymyr Zelensky dans un message au ton courroucé. Cela suggère qu’« il veut aider Poutine à gagner de l’argent pour financer la guerre et affaiblir l’Europe », a écrit le président ukrainien sur X. « Nous perdons des gens à cause de la guerre que Poutine a lancée, et nous pensons qu’une telle aide à Poutine est immorale », a-t-il dit.
Le « but principal » de Robert Fico « est de faire des affaires avec la Russie », a tancé Volodymyr Zelensky. « Pourquoi ce dirigeant est-il si dépendant de Moscou ? », a-t-il demandé, suggérant que le chef du gouvernement slovaque pouvait être « payé ».
Robert Fico, l’un des seuls dirigeants européens à être restés proches de Vladimir Poutine, a décidé de stopper toute aide militaire à l’Ukraine et plaide pour des pourparlers de paix. Il a expliqué dimanche que sa visite surprise à Moscou était « en réponse » à la position de Volodymyr Zelensky sur le gaz.
Mais le plus extraordinaire dans cette histoire est la crédibilité accordée à Zelenski. Notez à quel point l’occident assoit la “criminalisation” de l’adversaire sur des “campagnes” dignes du faux charnier de Timisoara, des bébés en couveuse de Saddam Hussein, des “infirmières bulgares”, etc… là il s’agit des troupes coréennes ce qui tourne au gag avec l’un d’entre eux fait prisonnier, ce qui est avancé alors que l’on en est déjà selon le dit Zelenski à des milliers de morts et autant de blessés…
L’envoi de soldats nord-coréens en Russie était une idée de Pyongyang. Selon un article du New York Times publié lundi et citant des agents américains sous couvert d’anonymat, le déploiement de troupes nord-coréennes en Russie n’était pas une initiative de Moscou mais bien de Pyongyang. Vladimir Poutine aurait cependant « rapidement approuvé » cette idée d’après le quotidien américain.
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un n’aurait pour l’instant rien reçu en retour, mais semble « espérer que la Russie lui rendra la pareille à l’avenir », via un soutien diplomatique et technologique.
Entre 1 100 et 3 000 soldats nord-coréens engagés contre les forces ukrainiennes ont été tués ou blessés, ont affirmé lundi l’état-major de l’armée sud-coréenne et le président ukrainien, dans deux évaluations divergentes.
Les renseignements émanant du régime ukrainien sont pour le moins sujets à caution et les déclarations de Zelenski – qui n’est plus président depuis avril 2024 ce qui parait ne gêner personne et surtout pas les puissances de l’OTAN, le chef de la CIA, les “conseillers” qui accompagnent les armes livrées tout ce monde qui représente “la communauté internationale” à l’exclusion de la majorité des nations qui elles pensent différemment… Mais qu’importe les élections roumaines sont suspendues, Zelenski est le grand leader bien aimé et il a même envoyé des régiments prendre Damas avec un terroriste sous mandat international devenu le “libérateur”. Mais il n’y a pas dans cette “nouvelle” que ces sources “crédibles”, “démocratiques”, il y a les officines de la Corée du sud. Oui vous savez là où le président qui ne supportait plus d’être en minorité à son parlement à déclaré la loi martiale en inventant une invasion de la Corée du nord avec la complicité des parlementaires récalcitrants. Et bien voilà l’autre source de l’information concernant le soldat nord coréen capturé par des régiments spéciaux ukrainiens en visite amicale dans l’oblast de Koursk en Russie.
Et voilà sans rire ce que cela donne dans nos médias :
L’armée ukrainienne a fait prisonnier un soldat nord-coréen déployé pour la combattre en soutien à la Russie, ont rapporté vendredi les renseignements sud-coréens, une première depuis que Kiev et les Occidentaux ont fait état de la participation de troupes de Pyongyang au conflit.
Cette implication d’une armée régulière étrangère a constitué une escalade majeure de l’invasion qui a été lancée il y a près de trois ans par Vladimir Poutine et aborde une phase critique avec le retour dans un moins d’un mois de Donald Trump à la Maison Blanche.
“Dans le cadre d’échanges d’informations en temps réel avec l’agence de renseignement d’un pays allié, il a été confirmé qu’un soldat nord-coréen blessé a été capturé”, a déclaré l’Agence nationale sud-coréenne de renseignement dans un communiqué, sans plus de précision sur les circonstances.
Cette dernière réagissait à des publications sur les réseaux sociaux de comptes ukrainiens faisant état de cette capture, avec des photos d’un militaire présenté comme nord-coréen.
Selon Kiev, 12.000 soldats nord-coréens, dont “environ 500 officiers et trois généraux”, sont engagés dans la région russe de Koursk, dont l’armée ukrainienne occupe plusieurs centaines de kilomètres carrés depuis août.
Ni la Russie ni la Corée du Nord n’ont jamais confirmé la présence de ce contingent aux côtés de l’armée russe.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assuré lundi que près de 3.000 soldats nord-coréens avaient été “tués ou blessés” depuis leur engagement aux côtés de la Russie. Séoul a de son côté évoqué lundi 1.100 “tués ou blessés”.
L’état-major sud-coréen a également observé des préparatifs qui lui font penser que la Corée du Nord s’apprête à envoyer de nouvelles unités en Russie, en renfort ou pour relever celles qui combattent déjà, en plus de drones.
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Martin
Zakharova a parlé sèchement de Zelensky : une personne anormale
(sv.pressa.ru de ce jour)
La représentante officielle du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a vivement critiqué le dirigeant de Kiev, Vladimir Zelensky . Selon elle, c’est une personne anormale et inadéquate.
« Je veux dire qu’écouter Zelensky est dangereux. Pour deux raisons. D’abord parce que c’est une personne anormale. Ce n’est pas une façon de parler… C’est un fait. C’est une personne inadéquate qui est constamment sous l’influence de… drogues », cite Zakharova, citée par RT .
Elle a précisé que Zelensky se droguait depuis assez longtemps. De plus, il est « ivre d’ambition » et de pouvoir.
Une autre raison pour laquelle il est dangereux d’écouter Zelensky, a ajouté le diplomate, est l’expiration de son mandat présidentiel. « Ses pouvoirs présidentiels, son mandat de président, ont pris fin. Comment décrire l’état juridique dans lequel il se trouve ? Ils ne l’utilisent même plus sur le territoire ukrainien à l’heure actuelle », a-t-elle déclaré dans une interview.
Zakharova a également souligné le fait que l’homme politique de Kyiv fait constamment des déclarations contradictoires.
D’ailleurs, comme l’a déjà déclaré l’expert militaro-politique Yan Gagin , le chef du régime de Kiev sera jugé après la fin de l’opération militaire spéciale, mais il ne vivra peut-être pas assez longtemps.
Bosteph
En fait, Maria Zakharova a également défini un autre “dirigeant” Européen : le Macron de France.