Il est difficile – mais nécessaire – de retenir l’exaspération provoquée par le gauchisme radicalo-social démocrate qui fait du PCF sa cible principale et quasi-exclusive. Au moment même où l’on voit où mènent les tactiques qui relèvent d’une telle inspiration. En France, il serait révolutionnaire d’accélérer l’élection présidentielle en assurant la victoire du Rassemblement national : tout ce qui prétend s’émanciper de cette ligne suicidaire subit un procès inquisitoire en forfaiture. Mais cette « ligne » n’est pas un facteur isolé événementiel, propre à la société française apparu à l’occasion d’une dissolution. Depuis une trentaine d’années, la contre-révolution qui a frappé le socialisme a été aussi une attaque contre le prolétariat du sud comme celui du nord et un « travail » idéologique sur la mémoire, la liquidation des principes, des buts, des moyens, de tout le patrimoine théorique, historique du mouvement ouvrier. Cette dilapidation a eu son équivalent organisationnel à travers un éparpillement groupusculaire dont la vertu a été la protestation devant une telle liquidation. Mais l’indignation ne donne pas la clé d’une stratégie et elle nous fait prendre nos désirs pour des réalités, elle est souvent le complément des illusions de la petite bourgeoisie… Un principe de consolation qui en proclamant que le communisme est déjà là ou s’imaginant des victoires imaginaires permettrait d’économiser toute réflexion sur le but socialiste et le chemin pour y parvenir.
Incontestablement la réalité des processus dans lesquels nous sommes engagés peut être un choc salutaire et il faut profiter de l’opportunité d’un pouvoir qui se fissure et son idéologie avec. Parce que le constat rassurant c’est que cette attaque dirigée en priorité contre le PCF a lieu alors que le pouvoir est en pleine débandade. Cette crise « du sommet » a sa caractéristique française mais elle existe partout là où l’occident a implanté son illusion « démocratique » en troc du droit au pillage.
Il y a les avancées, un monde multipolaire avec une « communauté de destin », mais il y a aussi les échecs, les guerres, les crises politiques comme celles que nous vivons en France et il faut en voir l’étendue géopolitique face à l’alternative qui est celle avancée par les pays socialistes donc la Chine entrainant dans leur sillage un ensemble hétéroclite mais puissant.
C’est par rapport à cet enjeu que le gauchisme pseudo-radical peut révéler le danger de son rêve éveillé. Ce sont les mêmes qui ont refusé de mesurer le rapport des forces réels au Moyen Orient, les mêmes qui ont prétendu nous faire approuver la stratégie du Hamas, et de toutes les forces libérales qui à l’instar de l’impérialisme jouent le massacre, la destruction. Même si l’on considère, ce qui est notre cas, que le 7 octobre intervient dans l’histoire d’une spoliation du peuple palestinien, d’un refus de plus en plus manifeste du gouvernement d’extrême-droite israélien corrompu et fanatisé de tenir compte du droit international si limité soit-il,, et si la réponse de cette extrême-droite, le carnage israélien à Gaza est totalement inappropriée à ce qui s’est passé le 7 octobre, on ne peux pas pour le peuple palestinien, israélien et ceux de la région, nous faire approuver l’intervention du Hamas. On ne peut plus nous convaincre que le dit Hamas avait réussi à replacer le problème palestinien sur le devant de la scène. Il est vrai que dans le contexte contre-révolutionnaire général d’atonie des peuples, les manoeuvres des USA aurprès des gouvernements réacionnaires, avait sacrifié les palestiniens, ostensiblement, à des marchandages multiples et l’opération du Hamas a été saluée comme le réveil de la cause. Certes ce qui se passe à Gaza et ailleurs contribue à une prise de conscience internationale de l’hypocrisie des proclamations de l’occident. Mais pas assez pour otalement changer au sommet le monde arabo-musulman. La stratégie des Etats-Unis aboutissait à monter des coalitions à son dévolu, celles de son hégémonisme, en particulier autour des pétro-dollars, et organisait une apocalypse génocidaire modèle réduit. Il fallait renforcer l’alternative des BRICS. Cela aurait dû au moins nous inciter à comprendre que les stratégies de décolonisation, de lutte contre le racisme et la xénophobie ne pouvait en aucun cas s’appuyer sur le chauvinisme religieux, les communautarismes véhiculés par la bourgeoisie dite nationale mais devaient aboutir à un réglement politique, sur des bases politiques.
Vouloir faire jeter dans le chaudron ceux qui tentaient avec la Chine, la Russie et les BRICS une politique d’endiguement, forçant à la détente ne tenait compte ni de la situation réelle, ni de la stratégie des BRICS. Ni d’ailleurs de qui étaient les promoteurs d’une telle option suicidaire du « communautarisme », qui l’importait dans les banlieues ouvrières : un pouvoir religieux mais surtout libéral . Si les chrétiens, juifs musulmans, et toutes religions ont toute leur place dans les luttes des classes ou de libération nationale, il n’est pas dans la nature des forces qui sont totalement en opposition avec le socialisme, anticommuniste d’être le fer de lance du processus de la « communauté de destin ». On le voit avec l’effondrement de Bachar El Assad, qui avait présenté une feuille de route possible, susceptible de rassembler des ethnies et affiliations diverses sur un projet de souveraineté et d’indépendance nationale, et qui s’est avéré par enrichissemet personnel du clan incapable d’assurer le rassemblement,. Aujourd’hui le régime est contraint à ne pas même lutter devant la pression des « coalisés » comme les Kurdes mais aussi les Turcs d’Erdogan, qui s’avèrent les alliés objectifs des Etats-Unis et d’Israël. Oui ce qui se passe en Syrie est une catastrophe, d’abord pour les peuples, le peuple syrien, libanais mais surtout palestinien. C’est ce peuple palestinien dont le gauchisme radicalo-social démocrate pétendait faire son drapeau, qui est celui susceptible de payer la note de la manière la plus terrible parce que les forces capables d’imposer la solution à deux États, un véritable cessez-le-feu, ont temporairement été mises hors jeu. Le champ est libre pour toutes les convulsions.
Le seulpoint d’appui pour les peuples est la solidarité à la base telle que l’annoncent les partis communistes, le refus des ingérences, mais aussi la capacité qu’ont conservé la Chine et la Russie à poursuivre la stratégie de négociation et d’apaisement des BRICS. Poursuivre une politique d’unité et de paix en allant si faire se peut à la table des négociations. Qui propose cela ?
ne pas en tirer leçon au point au plan national, de voir les mêmes s’obstinant à diviser tout ce qui peut être rassemblé, avec comme seul objectif des élections présidentielles qui aujourd’hui assureront le triomphe du RN et dans la foulée lui livrer de nombreuses municipalités et régions est déplorable et contreproductif parce que je veux bien encore penser que le gauchisme radicalo-. social démocrate est dans mon camp et que l’on ne traite pas ceux qui sont vos alliés potentiels comme vos ennemis, mais il y a des moments où cela devient difficile.
Maintenant, si l’on considère la politique du PCF et son secteur international, partout et toujours les liquidateurs qui se sont installés là depuis l’eurocommunisme ont joué Israël et l’atlantisme comme l’Ukraine et l’OTAN, le secteur international de l’Humanité a relayé cette liquidation et donné à la fois aliment à la vassalisation aux USA des partis au pouvoir et à la caricature de sa contestation de l’extrême-droite au gauchisme radicalo-social démocrate et ceci pendant des décennies et encore aujourd’hui. La France a pu être totalement vassalisée de Sarkozy à Macron en passant par Hollande, l’espace de l’alternative socialiste s’est refermé, la mémoire historique du peuple bradée dans sa dimension ouvrière, l’idée même de Révolution fondatrice de la République a été bafouée.
La protestation des communistes à la base, a obligé à un bouger du secrétaire national qui sur cette question palestinienne comme sur toutes les autres s’était conformé lui-même à ses conseillers, ce n »est certainement pas l’angle sur lequel il avance le plus facilement et dans ce domaine, il ressemble aux communistes et aux Français. Cet éloignement du contexte géopolitique n’est pas une vertu mais il témoigne de l’état réel de la gauche et de la dérive liquidatrice d’une absence totale de formation et d’autonomie du parti. Mais le début du rétablissement a été facilité par ce qui restait de l’ADN communiste, la volonté de paix dans la justice et la volonté de reconquérir la classe ouvrière et les couches populaires à partir de leurs préoccupations, une politique de classe et de masse. Le contraire du clientélisme radical et des divisions groupusculaires. Très rapidement le secrétaire du PCF s’est rendu en Palestine et a adopté une ligne qui a toujours été celle du PCF, celle d’une solution politique dont les relais en France ne devait pas être le « communautarisme ». Quand on voit les limites du soutien international sur des bases religieuses et identitaires on ne peut que conclure que là est bien la solution. Il faut partir de la réalité dont j’ai souligné qu’elle était représentée par ce match France-Israël, les tribunes populaires vides et avec la présence de trois présidents français, la force de la réprobation populaire. Même choix à propos de Cuba, en revanche sur l’Ukraine et d’autres foyers la démarche a été beaucoup plus freinée et l’est toujours sur la Chine, sur l’alternative que représentent les BRICS alors qu’il y a urgence.
Nous avons pris le cas de ce qui se passe en Syrie aujourd’hui et qui témoigne de la crise profonde de l’hégémonie occidentale à son sommet, parce que partout la crise est au sommet et la folie des solutions mises en œuvre par une classe dominante à son crépuscule emporte les peuples qui n’ont pas de stratégie, ni sur les buts, ni sur les moyens à mettre en œuvre.
Cette crise de « sommet » de l’État impérialiste autant que des « gouvernants », comment la gérer, comment l’affronter alors qu’il y a eu depuis plus de trente ans non seulement la destruction de toutes les organisations ouvrières, une déformation de leur histoire, un véritable négationnisme sur l’inutilité et même la criminalisation de l’intervention des peuples ? La remise en question de leur souveraineté au-delà du travail effectué sur la révolution bolchevique, le socialisme ? Comment l’affronter alors que dans le même temps gauche et droite ont porté les mêmes politiques de destruction des conquis sociaux, et d’austérité, alors qu’il a été même tenté à gauche de saboter toute forme collective en particulier celles ayant une dimension sociale ? Comment l’affronter alors que pour le peuple français toutes ses mobilisations se sont heurtées à un mur, celui du législateur et de l’exécutif unis pour imposer sa dictature de classe ?
Le résultat est normalement celui que l’on peut attendre d’une telle démonstration trentenaire : l’atonie des luttes, une gauche à moins de 25% qui n’a pas la majorité sous aucune de ses tendances et un parti communiste à 2% tandis que l’extrême-droite est proche du pouvoir, frôlant la majorité absolue parce que les forces conservatrices sont mobilisées et parce que l’extrême-droite parait être la seule voie pour proclamer son mécontentement. Celui-ci est dévoyé dans les divisions racistes et les régressions en matière de mœurs pour mieux créer les conditions de l’entente avec l’impérialisme. Que propose le gauchisme radicalisé ? de jouer dans ces divisions racistes en feignant de s’y opposer et d’accélérer le jeu institutionnel vers le passage déjà là du libéralisme au fascisme, qui n’ont rien de contradictoire mais n’est que l’évolution du premier au second par temps de crise de l’État capitaliste.
Face à cette situation, le PCF accomplit lui une évolution tout à fait positive qui mériterait que tous ceux qui veulent se battre, qui veulent accélérer cette prise de conscience prennent place dans ce processus au lieu de tenter d’asseoir leur gauchisme radicalisé dans le rappel de toutes les étapes de cette évolution pour instruire le procès non pas du capital, de l’impérialisme, de son œuvre de mort, pour chercher une issue mais là encore dans une espèce de folie identitaire, groupusculaire. Une sorte de projection d’autres caricatures de convulsions de ce qui se joue sur les lieux des massacres.
Face à cela il suffit de lire cette déclaration. Déjà cette signature collective, du parti communiste, de ses élus dans la spécificité du groupe communiste suppose un travail collectif qui tranche sur la plupart des leaders qui interviennent en général sous une forme qui ne cache pas les ambitions présidentielles de celui qui s’exprime mais sans consultation préalable autre que les sondages ni du peuple, ni de leur base. Un autre fait important est la présence des Territoires d’Outre-mer et à travers eux quelque chose de tout à fait fondamental à savoir avec les BRICS la redynamisation d’un processus de décolonisation bloqué par l’effondrement de l’URSS et la politique « libérale » qui a joué à la fois sur la régression en matière de développement et la perte de fait d’autonomie politique pour favoriser le pillage. Il est important que soient pris en compte cette dynamique et qu’elle ne soit pas déformée par un pseudo clientélisme des banlieues.
Ensuite le texte est un positionnement susceptible de recréer au sein de la gauche une unité alors qu’il y a eu une véritable campagne mensongère qui a voulu faire de cette délégation une véritable caricature de ralliement à la fois à l’abandon de la revendication sur l’abrogation des retraites et une appétence pour un portefeuille ministériel. Ce qui relevait de la calomnie pure.
Au lieu d’en rester à ce que veulent les Français et en particulier la classe ouvrière, les couches populaires, et qui ne concerne ni les partis, ni les leaders, mais un desserrement d’une politique qui les étrangle dans leur emploi autant que dans leurs difficultés à se loger, à éduquer leurs enfants, à se soigner. Obtenir du concret en le négociant… Créer un peu de sécurité et de stabilité, et pour cela ne pas jouer la politique du pire.
Mais il y a aussi dans l’opinion, celle des couches populaires en priorité un profond mépris pour les manœuvres politiciennes. Il est évident que Macron est à la fois perdu comme l’est cette classe, et pourtant en train de continuer à manœuvrer pour sortir de là comme arbitre au-dessus de la mêlée en renforçant, du moins l’espère-t-il son pouvoir alors que les autres institutions et leurs représentants s’enfoncent dans l’absence d’issue et les vaines querelles.
C’est aussi une réponse à cette manœuvre de Macron, qui est à la fois perdu et joue toujours plus la mégalomanie de la toute puissance, celle de la guerre comme celle de l’absence d’opposition.
Donc ce communiqué a le mérite de tenir compte de tous ces aspects de la réalité pour peser sur le rapport des forces. Ce qui le rapproche d’une positions réellement communiste, donc celle qui peut unir largement, rassembler contre le capitalisme avec le but le socialisme à la française dont chaque action y compris ce communiqué se situe dans le chemin pour y parvenir.
Danielle Bleitrach
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rodriguez
Entièrement d’accord avec le soulignement dans la situation présente (mais c’est sans doute valable plus largement) des impasses du gauchisme radicalisé, de la folie identitaire, groupusculaire, communautarisée de LFI et d’autres.
MAIS il y a un mais !
On ne peut s’en tenir là en prenant ses désirs pour des réalités et le positionnement du parti (la déclaration Chassaigne, Roussel, Emeline K/Bidi, Cukierman) comme un pas significatif vers une politique de rassemblement contre le capitalisme avec le but le socialisme à la française .
Parce qu’un autre danger guette ce mouvement et cette progression avec l’illusion d’obtenir du concret en le négociant par une démarche d’abord de sommet soumise au chantage de la nécessité de débloquer la situation.
Et la débloquer comment ?
Eh bien dans le sens où le PS et ses fractions les plus droitières (Hollande, Delga, Guedj et consorts ) renouant avec leurs traditionnelles alliances avec le « centre » c’est-à-dire la droite sont de fait prêtes à participer à un gouvernement ou à un soutien sans participation à la mise en œuvre d’une politique qui exigera du « sang et de la sueur « pour le peuple dans le contexte de crise économique, politique, sociale, institutionnelle, internationale …
Un pas significatif du PCF dans le sens de ce rassemblement responsable prenant en compte les besoins populaires concrets en matière d’emploi, de salaire, de logement, de santé, d’éducation implique à mon sens une intervention réellement indépendante et du gauchisme radicalisé et de la social-démocratie toujours prompte à la collaboration de classe.
Privilégiant l’adresse directe à la classe ouvrière, aux travailleurs, aux salariés à la population plutôt que d’un lamentable et vain appel solennel au président de la République dont l’effet est de masquer le caractère systémique des choix politiques internes comme internationaux de l’oligarchie dirigeante en crise profonde ‘d’hégémonie.
SAUF aussi à laisser notamment au RN (et à LFI en passant) l’exclusivité d’une véritable opposition au macronisme honi par le peuple !
admin5319
Là je ne suis pas en désaccord, mais l’histoire verra et nous absoudra la marche en avant de Roussel et du PCF me parait aller dans le sens que tu souhaites, cela va aller très vite en terme de participation gouvernementale… Cela m’étonnerait réellement que le PCF aille dans le sens de Hollande Delga, Guedj et consort. Roussel a enfin pris sa place de secrétaire du parti et il a déjà annoncé que c’était là où il se situait et pas dans une participation à un gouvernement. Sa position est la seule qui maintient la situation avec une « gauche » encore pas tout à fait éclatée et un débat sur le fond. Il lui reste à savoir utiliser le parti et les militants dans le sens que tu dis.
Rémignard
De plus je trouve très très sain qie le secrétaire nationale du PCF ne soit pas un élu, mais qu’il soit entièrement dédié à sa tâche de dynamiser le parti et aller vers les gens qui, avec notre activité militante, finiront par faire classe pour soi et dons peuple.
Aujourd’hui nous sommes dans une phase d’anomie, donc une phase dangereuse mais avec des opportunités nouvelles.
Lavallée Ivan
Il faut lire dans l’Huma de vendredi l’interview de Sophie Binet, je ne comprenais pas bien le positionnement du Parti avant de l’avoir lu, maintenant, pour moi, c’est clair, et d’ailleurs ça recoupe ce qu’écrit Rodriguez (!?)