C’est le commentaire des communistes grecs aux menaces du gouvernement français en plein naufrage de voir la France subir la même tutelle des marchés que la Grèce…
FRANCE : Le gouvernement manque de soutien au Parlement pour adopter le budget 2025
Dans une interview avec le journal français Le Figaro aujourd’hui, Barnier s’est déclaré prêt à ajuster le plan budgétaire pour répondre, dans une certaine mesure, aux exigences de l’opposition, tout en la menaçant du fait que si son gouvernement tombe, il pourrait y avoir de « graves turbulences ».
« Ne pas laisser passer le budget et renverser le gouvernement entraînerait inévitablement une hausse des taux d’intérêt pour l’État et donc pour les entreprises et le peuple français », a déclaré Barnier en ajoutant qu’« aujourd’hui la France emprunte plus cher que la Grèce ».
Dans la même veine, le ministre français des Finances Antoine Armand a déclaré à une chaîne de télévision que « la France n’est pas la Grèce » tout en prescrivant un mémorandum de mesures… sans mémorandum, disant que des pays comme la Grèce, l’Italie et l’Espagne « ont fait leur travail » parce que « ils ont retroussé leurs manches et ont dit à leurs compatriotes, ce sera difficile, mais nous ferons des économies. »
De toute manière … le peuple doit payer…
On peut ajouter à ce constat sans appel des camarades grecs, celui toujours subtil du camarade Sandoval à propos des “diagnostics” et des critiques au sein du personnel politique de la république, de son basculement à droite et à l’extrême droite:
Copé demande la démission de Macron, il se fait l’allié de la FI dans la démarche, mais il est mis en examen pour détournement de fonds…
Alain Mink dit que Macron commence comme un rockstar et est en train de finir comme une tragédie shakesperienne…. Peut être ni l’un ni l’autre, et de démission encore moins… Il a l’art 16 de la Constitution qu’il peut appliquer le moment venu (nous l’avions posté au début de la tragédie shakesperienne…).
Si la censure passait ou autre motif grave, il peut annoncer: l’Etat est péril et fermer les assemblées, gouverner directement par décret: le pays étant ingouvernable, l’AN une foire d’empoigne tous les jours…tout cela est fatigant pour les gens, surtout les braves gens…
qui ont rapidement compris le fond énoncé par les camarades Grecs
De toute manière le peuple doit payer ce que les autres empochent…
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