C’est une situation compliquée et à laquelle je n’ai pas de réponse et ce d’autant moins que j’ai pour la première fois le Covid. J’avais réussi à éviter toute contamination par un mixte de mesures de protection et vaccin tous les six mois. Mais alors que la vague d’épidémie fait rage, le vaccin manque actuellement en pharmacie, et j’ai dépassé les six mois… Résultat, depuis lundi je suis donc prise dans l’équivalent d’une grippe carabinée qui ne m’aide pas à avoir une expression écrite des plus claires… Et cela va durer encore quelques jours… Mais pour en revenir à la question de savoir si on peut espérer avoir à nouveau un parti communiste français, bien malin celui qui a la réponse. Reconnaitre que la situation compliquée est d’autant plus préoccupante que ce qui se joue n’est pas la survie d’un parti mais bien celle de l’intervention populaire, de classe et de masse comme on dit. Soit la France poursuit dans sa logique de soumission à l’atlantisme et assume son “ukrainisation” à savoir son sacrifice pour maintenir l’hégémonie des USA et il n’y a pas d’issue, soit il y a un combat et celui-ci a besoin de se resituer dans un contexte géopolitique renouvelé. Pour la moment est de fait accepté un véritable sacrifice à la crise de l’hégémonie des Etats-Unis et la manière dont ce système prétend survivre sur les ruines y compris de ses alliés, voire l’anéantissement de la planète… Cet apocalypse finale étant précédée de quelques temps désagréables dans lesquels les situations de chaque catégorie, y compris celles des couches moyennes et relativement préservées, se dégradent inexorablement. Pourrons-nous échapper à une telle logique ? c’est le sujet qui est abordé aujourd’hui.
D’un côté, il parait évident qu’il n’y aura pas d’espace politique pour les communistes tant que l’éclaircissement qui est à l’œuvre en Russie – grâce au KPRF – sur le rôle joué pas la pseudo déstalinisation et le terrible schisme entre la Russie et la Chine qui a suivi n’est pas parvenu à ses conclusions. Cette rupture dans laquelle Fidel Castro voyait l’origine de la contrerévolution qui a abouti à la chute de l’URSS. Sans lever ce plafond de verre, qui concerne le véritable bilan du socialisme réel, le communisme en France comme d’ailleurs dans tous l’espace de l’eurocommunisme, a toute chance de rejoindre les scores du trotskisme. Vu que c’est la même logique qui est à l’œuvre : tous les socialismes ont été des catastrophes et ceux qui sont là sont pires mais avec nous promis juré ce sera le paradis… On ne peut pas convaincre un peuple aussi rationnel que le peuple français avec ce genre de démonstration. Avec cette courte vue, d’élections en élections, nous assistons à la réduction d’un parti communiste dont l’ “appareil” a été systématiquement détruit et qui disparait avec les générations qui l’ont fabriqué, devenu de plus en plus dépendant des “médias”… Bref la logique d’un tel système est de plafonner à 2% jusqu’à ce que mort s’ensuive avec notre ultime conseiller d’arrondissement ou d’un appel à la grève générale cher au syndicalisme révolutionnaire dans lequel les marxistes de Rosa à Lénine ont toujours vu l’art de se suicider. Il y aura périodiquement un chouchou des médias comme Besancenot, Hue ou Roussel mais il n’y aura plus l’appareil du PCF, plongeant ses racines dans le peuple parce il n’y a plus de but, plus de théorie qui donnerait un sens à cet intellectuel collectif qu’est le PCF, pas la moindre carte d’Etat-major pour savoir où l’on va… . Prétendre recréer les cellules sans savoir leur utilité, en dehors d’opérations sympathiques mais auxquelles personne n’accorde le moindre crédit comme la promotion d’une Lucie Castet n’est que l’art et la manière de se conformer aux diverses ambitions politiciennes… Sur le fond ce genre d’opération est destinée à assurer une élection présidentielle le plus tôt possible dans laquelle Mélenchon se retrouverait enfin en tête à tête avec Marine Le Pen, sans parler des démons du PS entre Hollande et Glucksmann. L’ambition personnelle du “chef” contredite par l’ambition des sous-chefs, voilà le grand projet qui tient lieu de réflexion sur le socialisme… D’ailleurs quel besoin y a-t-il du socialisme puisque pour ces électoralistes forcenés nous sommes déjà en plein communisme…
Le communisme, quand l’extrême-droite est aux portes du pouvoir, quand tombe la suppression de 4.000 postes d’enseignants et autres, jusqu’à quand faudra-t-il entretenir la fiction que la guerre sociale d’un tel budget n’a rien à voir avec la guerre acceptée derrière l’atlantisme militant…
Comment expliquer autrement que par une confusion sans borne que l’on puisse en arriver à ce qui s’est passé en clôture de l’Université d’été du PCF, l’appel à une Clémentine Fauconnier pour démontrer à quel point la grande “espérance” de la démocratisation de la Russie était trahie par le méchant Poutine ne souffrait pas la moindre contradiction, nous étions sur un plateau de LCI, alors même qu’il y a un mouvement vers la reconstruction d’un parti communiste dont l’importance n’est pas négligeable ? Alors même que nous sommes devant le choix européen de la guerre sociale…
Pourtant ceux qui attribuent au PCF l’origine de cette confusion sans mesurer que tout vient de la maison mère, la CIA, l’impérialisme qui a profité de la contrerévolution pour placer ses pions dans diverses forces et qu’il s’agit de s’unir contre elles mais pas de tomber soi-même dans le sectarisme, l’antisémitisme et la haine de ce qui reste du PCF ne sont pas plus porteur d’espérance. Ces contestataires sont eux-mêmes la proie d’une logique groupusculaire. Non seulement c’est la grenouille qui doit s’inventer plus grosse que le bœuf, ce qui les incite à se décrire et à se croire plus nombreux et plus actifs qu’ils ne le sont, mais à faire que l’essentiel de leur activité revient à faire porter tous leurs coups sur le PCF et à rêver de sa fin… Ils entraînent des intellectuels dans cette dérive de toute-puissance idéaliste, caricaturale et ils font porter toutes leurs ambitions vers les ambassades et les décideurs supposés. Il y a toujours quelqu’un de bien “introduit” mais qui en fait donne dans le complot où il peut prendre un rôle central qu’il n’a aucunement en réalité, d’où leur enthousiasme pour Mélenchon qui a le même mode de fonctionnement.
C’est dommage parce que si le marxisme a survécu c’est à ces “intellectuels” en rupture de ban qu’on le doit et à tous ceux qui ont le courage de rester debout quand les autres se couchaient. Mais ils font tous les jours la preuve de leur choix de la marginalisation.
Nous sommes loin de ce qui caractérise la résistance de Cuba. Fidel, lui, a bien perçu le blocage que représentait la chute de l’URSS… Non seulement cela rendait les conditions de lutte plus difficiles mais cela empêchait de s’attaquer aux problèmes réel du socialisme depuis les années cinquante, problèmes qui se traduisaient par l’incapacité à voir de nouveaux pays choisir le socialisme – parce que ces problèmes existaient bel et bien et la Chine y a été confrontée dans son développement. Le socialisme a été trahi et les problèmes qui auraient pu être corrigés ont été aggravés, utilisés pour la destruction. Mais une telle “trahison” n’a pu intervenir qu’avec le démantèlement de l’organisation et de la formation des communistes, “la mutation” en France. Pour les partis qui résistaient, les pays, il a fallu faire avec ce qui était mais n’avait pas pu être corrigé puisque ça avait été la période spéciale, une lutte héroïque mais qui s’est faite tant au plan interne avec l’impossibilité d’opérer les réformes nécessaires qu’au plan externe en combattant le danger du repliement. Cuba pour survivre ne pouvait pas se permettre le luxe de ce à quoi on assistait en France : l’ossification insupportable de haine et d’incapacité à s’adresser à ceux qui ne partagent pas le dit stalinisme, qui a caractérisé ceux qui ont refusé de céder et qui sur le modèle caricatural d’une Berthe ou d’autres esprits étroits qui ne veulent que s’entendre dire qu’ils ont eu et ont raison d’être fermés, bouchés.
Sans atteindre un tel niveau qui frise le pathologique tragique, cette fermeture sur les années quatre-vingt comme conséquence de la “déstalinisation” touche les plus combattifs. Plus ils se marginalisent eux-mêmes plus ils se croient “révolutionnaires”, “staliniens” ce qui est un paradoxe, ça et l’obsession de tout ramener à l’Europe est caractéristique de ce trait français. C’est souvent dans ce blog le cas d’étoile rouge, le meilleur des hommes pour qui le connaît, mais qui a le don dès qu’il ouvre la bouche de créer un front contre lui. Ce qui ne l’émeut pas le moins du monde et il se croit “stalinien”. Alors que Staline n’aurait pas tenu et construit l’URSS sur un tel mode imprécatoire… Staline avait de la patience, le respect des organisations et du collectif, c’est ce qui lui permet de vaincre Trotski qui lui ne sait que diviser, créer des factions. Je n’ai rien contre les trotskistes, souvent intellectuellement leurs textes sont éclairants quand ils ne choisissent pas le capital par haine des “staliniens”, leur apport n’est pas négligeable mais il leur manque ce qui a fait la force du stalinisme la capacité de rassemblement. Celui qui n’a aucun respect du collectif au plan national comme international, une volonté de travail phénoménal, c’est également Khrouchtchev qui finira par se faire démettre et il n’est pas rare que les commentateurs russes l’accusent de trotskisme…
Résultat nous sommes pris entre le carcan intellectuel de ceux qui ont découvert ou croient avoir découvert la “trahison” et qui n’ayant pas les capacités de Fidel sont incapables comme lui en a le “génie” de construire un espace post-soviétique dans lequel la conscience se ferait sur des bases de lutte des classes renouvelées y compris à travers le monde multipolaire. Cela passe toujours par le primat des liens avec les intérêts populaires, s’appuyer sur ceux-ci pour asseoir la “révolution”… Quand il manque la théorie, il manque en général ce lien avec la classe ouvrière, les couches populaires, les deux vont ensemble.
Nous avons alors les caractériels du stalinisme, en général complètement obsédés par l’UE, et qui sont incapables de percevoir que nous ne sommes plus dans les années 80, type le PRCF dans ses aspects les plus caricaturaux et de l’autre il y a la catastrophe absolu de l’abandon du parti révolutionnaire, le choix de la social démocratie, de l’inertie avec le seul réveil de l’électoralisme de plus en plus autour de rogatons de postes de conseiller d’arrondissement pour lesquels on trahit la paix.
Le véritable miracle est qu’il reste un PCF, des militants qui se revendiquent communistes, une combativité et c’est d’ailleurs ça qui me rend dubitative. Logiquement c’est la catastrophe imminente sans moyen de la conjurer mais parfois je trouve étonnant qu’ils soient encore là et même la rapidité avec laquelle la conscience peut déboucher sur des actions… D’où l’incapacité de répondre à la question essentielle : y aura-t-il un parti communiste, la France refusera-t-elle ce qui lui est aujourd’hui imposé?
Tout reste ouvert, mais ce qui est le plus problématique au delà des contradictions de la période est la manière dont tout le monde semble se résigner à la situation et coût réel de la guerre… je me suis récemment indignée contre un jeune qui envisageait avec enthousiasme un affrontement dans lequel l’IRAN serait forcé à la guerre… Ce goût pour le massacre généralisé est parfaitement contradictoire avec toute perspective communiste. Ce qui a toujours fait la force des communistes et encore aujourd’hui c’est un bon sens bienveillant, le refus des souffrances et des massacres des petites gens… pendant que d’autres s’enrichissent…
Qui plaint réellement les peuples que l’on jette dans la fournaise de la survie de l’impérialisme ? qui, comme le KPRF, dénonce le massacre des Ukrainiens qui meurent dans une proportion de 1 Russe pour 5 Ukrainiens, un peuple qui disparait? Qui dénonce le fait que Macron ose aller aux frais du contribuable français former 2000 nouveaux ukrainiens chair à canon de ses ambitions européennes démentes ? Qui osera s’opposer à la réalité ? pas plus ceux qui dans le PCF sont en train de composer les listes municipales que ceux qui hors PCF ne pensent qu’à détruire ledit PCF y compris en soutenant le très mitterrandien Mélenchon ou en créant des listes dont les résultats sont dérisoires… mais la volonté de diviser manifeste.
Face à ce double visage de la fin du PCF je ne vois guère que ce qui est en train de se développer dans le Pas de Calais avec un des rares dirigeants qui sait à la fois que nous avons été trahis mais qui sait que la revanche se fera sur l’autre terrain celui de ce monde multipolaire.
Danielle Bleitrach
PS. Ce retour sur les acquis de l’URSS est essentiel mais il lui manque d’être conçu pour aborder une situation qui est différente, les acquis du développement des forces productives autant que l’élargissement géopolitique… Vous posez une question sur la conscience avec l’apparition de nouvelle technologies, l’imagerie et vous avez droit à un cours tout à fait passionnant sur Leontiev et les acquis de l’URSS. Demain donc je préciserai les questions dans des termes qui donneront peut-être aux acquis de l’URSS un nouvel élan si j’ai la force d’une telle réflexion sous covid…
Bon c’est juré c’est promis dès que j’émerge du covid je tente de préciser tout ça…
Danielle Bleitrach
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Franck Marsal
Je ne suis pas un fan d’Heisenberg, qui a donné une interprétation totalement idéaliste de la mécanique quantique, qu’on enseigne encore largement dans les lycées et même parfois au delà. La recherche scientifique a totalement infirmé cette interprétation. J’ai toujours préféré le matérialisme de Schrödinger. Mais Heisenberg a eu cette phrase qui m’a marqué, disant “les idées dominantes changent en physique lorsqu’une nouvelle génération arrive et prend la place”.
Je pense sincèrement qu’une nouvelle génération arrive au sein du PCF. Elle est en train de mesurer le travail à réaliser et celui-ci est immense. Mais elle le fait avec l’état d’esprit le plus sain, le réalisme. Dès lors que cette nouvelle génération entreprendra ce travail, accompagné par les anciens qui ont gardé les éléments clés de théorie et de compréhension, dès qu’elle rendra visible son existence et sa détermination aux yeux de tous, alors, de nombreux jeunes et travailleurs afflueront vers le parti. Il n’y a qu’à ouvrir les yeux et les oreilles pour voir combien sont nombreux ceux qui attendent et espèrent un parti communiste capable de donner sens et perspective à leur combat, ceux qui demandent et sont avides aujourd’hui de se former au marxisme, ceux qui veulent vivre le vie dans la lutte et une saine camaraderie.
La création réussie de Liberté Actus est pour moi le premier acte visible de cette nouvelle dynamique. C’est un acte fondateur. Il en appelle d’autres. Il faut des formations au marxisme, il faut écrire des orientations claires et cohérentes, il faut recréer le lien vivant entre combat syndical et combat politique, il faut retrouver les réflexes du travail de masse…
La question de l’Union Soviétique est clé, en effet. On ne peut reprendre le combat si on n’assimile pas les acquis des générations précédentes. Mais je crois qu’on ne peut pas attendre que le KPRF résolve nos propres problèmes. Le travail qu’il font est essentiel et le travail du blog, qui nous donne à voir et à comprendre est lui-même essentiel. Mais nous devons prendre notre place dans ce travail. Alors seulement, lorsque nous aurons ,par nous-même, entrepris une compréhension claire des acquis de toute cette première génération d’états socialistes, nous serons capables d’assimiler le travail de nos camarades russes. Lorsque nous aurons, par nous-même, entrepris une compréhension claire des acquis de la deuxième génération d’états socialistes, la Chine, Cuba et le Vietnam notamment, nous serons en situation de nous saisir de l’avenir et de notre propre rôle.
Le fond reste que l’existence détermine la conscience, mais que la conscience nécessite du travail pour se saisir des conditions d’existence et se mettre en situation de les transformer. Les conditions d’existences des nouvelles générations en France, depuis envron 20 ans, ont profondément changé. C’est pourquoi la jeunesse, une large jeunesse, certains ont déjà acquis une expérience importante, aspireà un autre niveau de conscience. Maintenant, il y a un profond travail, d’interprétation, de dialogue, de formation, de confiance à recréer. La confiance est la clé de tout, comme noté dans l’article sur la Chine). On ne peut pas, chacun, refaire toutes les expériences historiques, comme on ne peut pas, chacun, refaire toutes les expériences scientifiques pour se convaincre de la science. La confiance permet que chacun fasse sa part, jusqu’au niveau nécessaire d’efforts et de sacrifices, parce sa propre expérience lui a permis d’acquérir la certitude intime que cet effort et ces sacrifices prendraient sens en venant alimenter une vague croissante d’actions similaires. Lorsqu’on a éprouvé, dans les conditions les plus difficiles, la solidité inébranlable du parti, c’est à dire sa capacité à affronter collectivement et individuellement les vents contraires les plus violents, alors on ne doute plus et on est capable soi-même d’agir avec la plus grande détermination. Alors on devient une force sociale révolutionnaire.
admin5319
Comme le disait mon talmudiste de grand père : “de ta bouche dans l’oreille de Dieu!”
Cela dit mon grand père qui n’avait pas d’autre référence que la torah et qui à ce titre était convaincu que la terre était plate n’est peut-être pas une garantie scientifique, comme je lui parlais de Copernic, il m’avait déclaré avec reproche : “un moine polonais! et tu le crois!”
Il n’empêche … de ta bouche dans l’oreille de Dieu…
De toute manière dans la situation actuelle je ne vois rien d’autre alors je te suis…
danielle Bleitrach
Gérard Barembaum
Chère Danielle, je te souhaite un prompt rétablissement.
Gmar Hatima Tova ! Bonne inscription dans le Livre de la Vie!
Affectueusement.
admin5319
bonne année cher Gérard, mon frère m’a inscrit au livre de la vie et de la santé pour l’année…
Xuan
Bienvenue au club Danielle. On aura apprécié à cette occasion toute l’attention que la bourgeoisie et ses médias portent à la santé des masses, puisque la dernière version du covid a commencé en juin et qu’aucune campagne au moins de prévention n’a été lancée et que les vaccins ne sont pas encore disponibles.
Je partage, Franck.
Il faut faire confiance aux masses, elles nous surprendront encore, et la jeunesse aussi.
Le débat, la critique et l’autocritique sont nécessaires au sein du peuple. Le but n’est pas de démolir mais de réaliser l’unité du peuple (je ne parle pas de ses ennemis qui sont peu nombreux finalement).
La critique devrait partir du désir d’unité et viser l’unité, c’est le,seul moyen de s’en sortir.
Falakia
Bon rétablissement Danielle .
C’est surprenant le paradoxe des USA alors qu’existe des communistes et un Parti communiste révolutionnaire aux USA certes surveillé comme sont surveillés les États communistes et les Partis communistes dans le monde par les USA qui ce dernier reproche à tous ces Partis unique communiste , une pensée unique et surtout l’absence d’hétérogénéité sociale .
Mais la raison est autre selon moi .
La supériorité dans l’imaginaire de l’homme Américain en exemple : ” le dollar
c’est notre monnaie et c’est votre problème ” .
Autre exemple de supériorité durant le G7 , Trump Président discutait avec ses homologues se trouvant au deuxième rang et dès qu’il a entendu : Sérrez vous pour la photo , il a bousculé ses homologues et s’est installé au premier rang pour la photo .
Pareil pour Biden Président , lors des funérailles de la reine Élisabeth , Biden est le seul avec son épouse qui a refusé de monter dans le car comme tous les Présidents et rois pour le dernier hommage
à la reine .
Plus sérieusement l’hégémonie en puissance
militaire , économique , culturelle dans le modèle des lois du marché , le capitalisme économique qui doit dominer et non le socialisme .
Pourtant existe bien deux figures démocrates de gauche qui oeuvrent pour un socialisme et pour le progrès ( Élisabeth Warren et Bernie Sanders )
Mais reste une espérance et une alternative dans les pays coopérants et signataires des Briks
Falakia
Une espérance dans les pays BRICS face à l’hégémonie USA