Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

L’Université forestière de Pékin crée un institut d’art environnemental

Hier grâce à un article d’une intellectuelle des Etats-Unis, Eva Otrenberg, nous avons pu nous rendre compte des efforts accomplis par la Chine en matière de défense de l’environnement et de lutte pour le climat. Mais il y a beaucoup d’autres choses à mesurer à savoir comme les sciences humaines, les arts sont intégrés à ces projets environnementaux et nous avons ici la description des initiatives en art plastiques, paysages, design qui accompagnent cet effort de la nation chinoise qui toujours se double du souci d’établir des liens internationaux avec les universités occidentales mais aussi les créations dans le sud dans le contexte de la BRI et des BRICS. (note et traduction de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)

CHINE / SOCIÉTÉ L’Université forestière de Pékin crée un Institut d’art environnemental Par Global Times 1er juillet 2024  Les représentants présents posent pour une photo de groupe. Photo : Avec l’aimable autorisation de l’Université forestière de Pékin

Les représentants présents posent pour une photo de groupe. Photo : Avec l’aimable autorisation de l’Université forestière de Pékin

Jeudi, l’Université forestière de Pékin a organisé une cérémonie de dévoilement et de nomination de son nouvel Institut d’art environnemental à l’école.

Des professeurs, des chefs de département et des représentants étudiants de l’École d’art et de design ont assisté à l’événement, ainsi que d’autres représentants.

Le président de l’université, An Lizhe, a félicité l’université pour la création de l’institut et a salué les préparatifs préliminaires et les efforts de construction. Il a souligné que la formation de l’Institut d’art environnemental est une initiative pionnière et une étape importante vers la mise en œuvre de l’esprit du 20e Congrès national et la promotion du développement vert.

Tirant parti des forces académiques de l’université et de son orientation de développement distinctive, l’institut s’est fixé trois axes de recherche : les archives de l’art environnemental chinois, les paysages neutres en carbone et l’art public, et les futurs musées, selon An.

Cette initiative devrait améliorer les normes académiques, la réputation et l’impact social de l’École d’art et de design, a déclaré An.

La session de l’après-midi comprenait un symposium intitulé « Archives de l’art environnemental chinois et nouvelles tendances en matière de conception de qualité ». Les experts ont convenu à l’unanimité que l’institut, en tant que plate-forme de recherche au niveau de l’école nouvellement créée, devrait capitaliser sur les forces interdisciplinaires à l’intérieur et à l’extérieur de l’université. En intégrant profondément l’art et la science, l’institut vise à contribuer de manière unique à l’objectif national de civilisation écologique par la pratique du design.

De plus, le travail théorique fondamental de l’institut se concentrera sur la recherche et l’organisation de documents historiques, d’images et de manuscrits importants. Ce projet vaste, à long terme et multidimensionnel devrait utiliser et intégrer pleinement les forces des associations industrielles, des universités régionales et des entreprises pour réaliser des progrès collectifs.

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