GÉOPOLITIQUE18.décembre.2015 // Les Crises
Grace à ce dossier des Crises, voici un miroir dans lequel nous pouvons contempler notre propre dérive … Nous sommes en 2015, alors que la répression fait rage contre l’est et le sud du pays “russophone” et que l’on a assisté le 2 mai 2015 à l’horreur de la maison des syndicats à Odessa, Saakachvili (le complice de Glucksmann) a été chassé de Géorgie, ce corrompu cocaïnomane notoire, a été désigné par le pouvoir issu du coup d’Etat comme gouverneur d’Odessa. On assiste ici à une foire d’empoigne entre lui et le ministre de l’intérieur Avakov un autre corrompu notoire sur le partage des privatisations. Ce sont ces gens-là que l’on va nous vendre comme l’Ukraine démocratique et désormais on en est à nous imposer comme le candidat de gauche un trafiquant d’armes avéré dont la seule excuse est “je combattais Poutine”, qui a été et reste le larbin de ses gens-là et ce soutien de Sarkozy est également là pour empêcher toute solution de gauche qui reprendrait pied dans la classe ouvrière, le gauchisme de la FI, les groupuscules type l’ANC lui servent de repoussoir tout en continuant à tuer le PCF et toute espérance à gauche. Les marchands d’armes et représentants des marchés financiers n’ont pas cessé de fabriquer les élections françaises et ils sont à la recherche d’un successeur à Macron assez corrompu pour faire ce qu’ils veulent, ils ont un véritable poulailler à leur disposition de l’extrême-droite à la FI, et des “gauchistes” haineux, irresponsables, tous en train de s’écharper pour nous installer soit l’extrême-droite, soit la “gôche” à la Macron, Glucksmann qui nous la jouent déjà sur le mode ukrainien… Les invectives, les scandales pour empêcher de construire une alternative politique… et dire qu’il y a des anarchistes qui se prennent pour des révolutionnaires et des représentants de la classe ouvrière, des braillards tout au plus. (note de Danielle Bleitrach)
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Sans commentaire – « étrangement » pas trop vu dans nos médias… (pas de place à cause de Star Wars j’imagine…)
Le ministre de l’intérieur est Arseni Avakov, oligarque et corrompu notoire.
Le gouverneur de la région d’Odessa, invité, est Mikheil Saakachvili, ancien Président de la Géorgie, qui a sympathiquement ouvert le feu en 2008 sur des troupes russes…
Le sujet : eh bien, évidemment, privatiser des entreprises publiques – y’a bon millions ! (si on devenait milliardaire par le travail honnête dans ce coin, ça se saurait…)
Ça tourne ! :
C’est à ces gens que l’UE et le FMI ont prété des (nos) milliards…
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Voici pour que l’on mesure bien qui sont les “héros” de notre propagande celui dont Glucksmann s’est fait l’homme de main dans le pillage de la Géorgie, une répression farouche… Saakachvili n’était pas seulement “consterné” comme le dit l’explication suivante : il est cocaïnomane, l’expédition il l’a tentée pour offrir aux USA et à l’OTAN la Géorgie ; les Etats-Unis, la CIA et tous les services secrets occidentaux ont déversé des sommes énormes comme ils le font encore aujourd’hui pour pénétrer dans le Caucase… Après l’échec de l’opération, il savait que son pouvoir à la tête de l’État était menacé, comme Zelensky aujourd’hui. Il a organisé un plus de répression un appel vain avec l’aide de Glucksmann, puis il a été exfiltré dans l’Ukraine voisine. Porochenko faisait ce que l’occident voulait, il l’a placé à la tête d’Odessa mais rapidement comme aujourd’hui même en chassant tous les partis d’opposition, en mettant les communistes en prison, l’Ukraine est ce panier de chats sauvages en train de lutter pour s’approprier ce qu’ils arrivent à vendre y compris les armes qu’on leur livre.
L’incident est survenu au mois d’août 2008 pendant la guerre en Ossétie du Sud, quand la province sécessionniste a été attaquée par l’armée géorgienne. Défendant les habitants de la province, dont bon nombre avait la citoyenneté russe, la Russie y a envoyé des troupes pour repousser l’agression géorgienne. Saakachvili: Porochenko voulait «échanger» la Crimée contre l’entrée à l’UE et à l’Otan13 Mars 2019, 21:47Le Président géorgien, probablement consterné par ces événements, a oublié qu’il était filmé et s’est alors mis à mâcher sa cravate devant la caméra.
«Je ne savais pas que j’étais en direct. Et quand une personne reste toute seule elle peut faire n’importe quoi», a expliqué M.Saakachvili dans une interview au média ukrainien Gordon.
Il aurait pris cette mauvaise habitude dès son enfance, dans la colonie de vacances pour pionniers [organisations de jeunes à l’époque soviétique, ndlr.] Artek, très prisée en URSS. « J’avais déjà le béguin pour les cravates. C’est pourquoi, comme vous le voyez, je ne les porte guère », a-t-il indiqué. La cravate rouge était l’attribut des pionniers soviétiques.
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