Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Quand on s’habitue…

Non seulement au chiffre des morts, mais aux discours de haine qui les justifient… le nazisme est là… où en sommes nous exactement aujourd’hui ?

« La première fois qu’il a été rapporté que nos amis étaient massacrés, il y a eu un cri d’horreur. Puis une centaine d’entre eux ont été massacrés. Mais quand mille furent massacrés et qu’il n’y avait pas de fin à la boucherie, une chape de silence se répandit. Quand le mal fait arrive comme une pluie tombante, personne ne crie “stop” ! Quand les crimes commencent à s’accumuler, ils deviennent invisibles. Quand les souffrances deviennent insupportables les cris ne sont plus entendus. Les pleurs aussi tombent comme de la pluie en été. »

Bertolt Brecht

Le premier ministre suédois Ulf Kristersson, le secrétaire général de l'OTAN Jens Stoltenberg et la princesse héritière Victoria assistent à une cérémonie de lever du drapeau au siège de l'OTAN suite à l'adhésion de la Suède à l'alliance, à Bruxelles, Belgique. /Photo prise le 11 mars 2024/REUTERS/Yves Herman
sous le parapluie de l’oTAn jusqu’où iront-ils ?

L’Ukraine a besoin d’armes, pas de drapeaux blancs, répond le secrétaire général de l’Otan au pape

Jens Stoltenberg a déclaré lundi que l’Ukraine avait besoin d’armes contre la Russie. Une réplique au pape François, qui appelait Kiev à avoir le «courage» d’agiter le drapeau blanc pour mettre fin au conflit

On s’habitue non seulement à la guerre mais à croire que Jens Stoltenberg ne nous considère pas comme déjà en guerre… que la fiction de non belligérance avec l’envoi d’armes, de mercenaires et de services spéciaux n’aurait aucune part dans la boucherie créée de toutes pièces…

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