13 juillet 2023, Synode des chefs d’État de l’OTAN. Dans un style télégraphique mais efficace, le KKE, le parti communiste grec, à l’inverse de l’invraisemblable déclaration du secteur international du PCF ne nous berce pas de l’illusion sur le fait d’avoir évité le pire. Comme le texte des Chinois de Global Times publié aujourd’hui, le positionnement des Russes, celui de la Celac et tant d’autres, le KKE voit bien dans l’OTAN le choix d’allumer partout des antagonismes et des foyers de guerre. Même l’allusion aux “marchandages avec la Turquie” esquissé dans le texte du secteur international fait l’objet ici une analyse concrète d’une situation concrète sur l’exploitation gazière et la co-gestion du sud de l’Europe et du Moyen orient turco-syrien. On peut discuter de la nature du gouvernement russe actuel, mais quand on est un parti communiste il y a des collaborations que l’on s’interdit. Il est vrai que tout a été fait pour empêcher tout contact avec les partis communistes et leur substituer un PGE dominé par les fondations allemandes. (note de danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
Décisions – huile sur le feu des antagonismes et de la guerre. Renforcement de la présence militaire et de l’implication en Ukraine et sur d’autres fronts de la confrontation avec la Russie et la Chine | “Feuille de route” avec la supervision de l’OTAN dans les relations greco-turques de la réunion Mitsotakis – Erdogan
KKE : Le soi-disant “redémarrage des relations greco-turques” constitue une accélération de la “négociation” sous la supervision de l’OTAN et le lancement de développements dangereux concernant la co-exploitation – cogestion de la mer Égée et de la Méditerranée orientale, au profit de l’énergie et d’autres groupes économiques, suscitant une grande inquiétude pour les droits souverains des îles grecques et la souveraineté du pays, la paix et la prospérité des deux peuples.
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