Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Le plus grand cadeau que les Russes feront au monde c’est de le débarrasser de l’OTAN comme ils l’ont libéré du nazisme… Il faut un nouveau Stalingrad…

Est-ce que vous mesurez combien de peuples non seulement dans le monde mais y compris européens adhérent à cette vision de la mission historique russe ? D’abord la majorité du peuple russe pas celle d’une élite occidentalisée non celle d’un peuple qui a subi tant d’ingratitude et d’humiliations en récompense de ses sacrifices ? Mais aussi celle d’autres peuples européens sacrifiés qui de la Moldavie à la Hongrie en passant par la Serbie, la Bulgarie, ne cessent de revivre l’humiliation dont l’OTAN et l’UE les ont abreuvés et la nostalgie du socialisme, parce que pour une bonne partie d’entre eux l’UE, l’Europe signifie leur pillage, la nécessité d’immigrer, les privatisations par des oligarques qui ne se rattachent pas à l’Europe mais aux Etats-Unis par le biais de l’OTAN. (1) Nos amuseurs de plateaux qui ont cautionné la guerre de dépeçage de la Yougoslavie, qui ne pipent pas mot sur le blocus de Cuba, se présentent en champion de l’autodétermination des peuples avec l’OTAN, une sinistre plaisanterie qui menace l’Europe de devenir le lieu de multiples guerres civiles: l’Europe s’est “ukrainisée”. Les pitres qui déshonorent l’idée même d’information se congratulent autour d’une pseudo vision impérialiste de la Russie qui ne laisserait pas sa “zone d’influence” choisir son propre système, mais leur incurie, leur mépris du propre peuple français est telle qu’ils veulent ignorer qu’il existe des peuples qui ont une toute autre vision de l’histoire. Pourtant monte dans toute l’Europe l’idée qu’Il faut un nouveau Stalingrad pour obtenir la paix des peuples pas celle des marchands d’armes. (note et traduction de Danielle Bleitrach pour histoire et societe)

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Poutine rappelle la victoire à Stalingrad aux nazis et à leurs partisans à Kiev, par le cercle de paix hongrois

Moscou, 2023. 1 février mercredi (MB) Vladimir Poutine se rendra jeudi à Volgograd pour commémorer la 80e anniversaire de la victoire de Stalingrad contre les nazis. La visite du président russe sur le site de la bataille de Stalingrad est considérée comme un message adressé aux dirigeants néo-nazis et aux partisans de Kiev – a écrit le Cercle de paix hongrois mercredi. 31 janvier.

La Bataille de Stalingrad – la plus grande bataille de la guerre mondiale qui a débuté en juillet 1942 et a duré jusqu’au 2 février – 1943. .

Elle s’est déroulée entre ces deux dates et s’est terminée avec la victoire finale de l’Armée Rouge.

Ce fut un tournant dans l’histoire de la guerre mondiale, dans le bouleversement de l’occupation allemande de l’Union soviétique et des armées alliées aux Allemands, dans la défaite de l’Allemagne nazie.

Hitler en 1941. Le 22 juin, la guerre contre l’Union soviétique a été lancée pour encourager les puissances occidentales, lancée en 1939. Traité de non-attaque germano-soviétique signé le 23 août.

Les puissances occidentales, principalement la Grande-Bretagne, avaient prévu qu’en aidant les nazis à se propager vers l’Est, elles pourraient rester en dehors de la guerre mondiale et s’entendre avec Hitler pour profiter des territoires et des ressources de l’Union soviétique désintégrée, c’était le sens du pacte de Munich et de leur attitude fondamentale jusqu’à la victoire de Stalingrad.

À la suite de la victoire de Stalingrad, ils ont été forcés d’abandonner leur plan et de rejoindre une alliance avec l’Union soviétique contre l’Allemagne nazie

Le plan de désintégration de la Russie a repris au XXe siècle, ce qui s’est joué en 1989 le prouve.

Le 2-3 décembre, l’accord russo-américain signé à Malte précisant que l’OTAN ne s’étendra pas à l’Est et n’inclura pas les anciens pays socialistes non seulement n’ a pas été respecté, mais son existence même a été nié à l’ouest.

La reprise du plan offert jadis aux nazis est aussi prouvée par le renversement du système juridique et politique ukrainien en 2014, pour armer l’Ukraine et pour la retourner contre la Russie. L’Allemagne retourne à la situation de la IIe guerre mondiale.

Pour la première fois depuis la seconde guerre mondiale, elle envoie des chars contre la Russie. La Pologne, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal et la Finlande ont également indiqué qu’ils sont prêts à remettre les chars allemands Leopard 2 à Kiev. Les États-Unis allouent des chars Abrams et la France attribue des tronçonneuses AMX à l’armée ukrainienne.

Plus de 300 chars sont prévus pour être livrés à Kiev de février à la fin de l’année. En outre, des négociations sont en cours sur le transport de missiles et d’avions de combat de moyenne et grande portée. Ils essaient de se conformer à la demande de Kiev de fournir aux forces armées ukrainiennes des armes avec lesquelles ils peuvent attaquer le territoire russe. Les États-Unis et les alliés de l’OTAN sont confiants qu’ils peuvent vaincre la Russie sur le champ de bataille en Ukraine.

Kiev a assumé le rôle de brise-glace pour l’OTAN et a confié l’Ukraine aux puissances occidentales en termes militaires, matériels et humains pour en protéger le régime nazi.

L’OTAN n’a pas abandonné la possibilité d’intervenir directement contre la Russie. Lors de sa visite fin janvier à Lisbonne, l’amiral Rob Bauer, président du comité militaire de l’OTAN, a déclaré : l’OTAN est prête pour une confrontation directe avec la Russie.

+++Publié par : Cercle de paix hongroisCercle hongrois de paix / VK / WordPress / FacebookSur la photo, plus de 50 mille prisonniers de guerre allemands ont défilé à Moscou en 1943.

(1) Novak Djokovic, est Yougoslave. Serbe mais Yougoslave, hier 2 février, il a expliqué ce que c’était d’être un enfant apeuré quand l’OTAN intervenait pour porter la guerre en Yougoslavie. Il est patriote, par tradition familiale, 2006, il a été contacté par des représentants de l’Ambassade du Royaume-Uni ainsi que des représentants de leur Fédération de tennis qui désiraient voir Novak jouer pour eux en Coupe Davis avec Andy Murray. Pour cela, les Britanniques ont proposé beaucoup d’argent ainsi qu’une meilleure situation pour l’entrainement. Novak Djokovic a répondu qu’« il n’existe pas une seule force qui pourrait changer cette situation, nous sommes Serbes et nous le resterons jusqu’à la fin de notre vie ». Mais son amour pour la Serbie ne le referme pas dans la rancœur. Il déclare le 3 janvier 2019 pour Blic : « La guerre n’a rien apporté aux pays de Yougoslavie, aujourd’hui je regarde la Croatie, la Bosnie comme des pays frères. Merci beaucoup à Luka Modrić, pendant la coupe du monde j’ai toujours été derrière la Croatie. » Il déclare aimer passer ses vacances en Croatie avec sa famille, disant que les côtes croates sont les plus belles du monde, que les Croates sont accueillants et parce que les langues serbe et croate sont proches et qu’il existe une culture commune entre la Serbie et la Croatie. Notons que cette attitude qui le fait regarder l’Ukraine et la Russie d’une toute autre manière que celle que l’on veut nous faire croire majoritaire y compris en Europe n’est pas loin de là originale sur le continent que la volonté US conduit à la guerre civile, mais qui dit Belgrade dit également l’expérience chinoise du bombardement de son ambassade par les forces de l’OTAN. Chez tous ces peuples, la France jouit traditionnellement d’une estime particulière historique, ce que Macron est en train de brader.

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1 Commentaire

  • Bosteph

    Rien à redire au texte . Par contre, sauf erreur de la part, un détail (simple détail) : la photo doit montrer “le défilé des vaincus” suite à l’ opération Bagration (fin juin 1944).

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