Histoire et société

Dieu me pardonne c'est son métier

Les relations USA – Europe « sous assistance respiratoire » : von der Leyen ouvre la porte à un nouveau cadre sur les aides d’État pour sauver l’industrie européenne

Et c’est dans un tel contexte de débâcle européenne face à l’impérialisme des Etats-Unis que les Macron et autres vassaux se déclarent “frères d’armes” des Etats-Unis et qu’il ne se trouve pas une seule voix à l’assemblée nationale pour refuser une telle allégeance criminelle ? L’UE et sa grotesque présidente apparaissent pour ce qu’ils sont des “provocateurs impuissants”, des intérêts concurrentiels déchaînés comme les capitalistes eux-mêmes mais si terrorisés par leur incapacités qu’il ne leur reste plus qu’à se planquer derrière l’armada de leur “allié”, saigneur et maitre, pour tenter d’éviter les conséquences de ce qu’ils sont, des pitres à la Zelensky voyant dans la guerre leur bénéfices et leur salut pour ne pas avoir à rendre des comptes. Comment faire encore ruisseler sur les copains et les coquins la manne obtenue par exploitation des peuples ou l’expectative de ceux qui dirigent l’esquif sinon en restant dans le sillage sanglant des USA? Même si celui-ci va de raclées en raclées de la Syrie à l’Afghanistan et allume partout de nouveaux brasiers. (note de Danielle Bleitrach pour histoire et societe)

Article de Baptiste Lambert • Il y a 6 h

Le plan de Joe Biden pour réduire l’inflation et accompagner l’industrie « verte » américaine crée bien des remous dans l’Union européenne. Ce plan à 369 milliards est jugé comme anticoncurrentiel pour l’industrie européenne et en particulier le secteur des voitures électriques. Les relations USA – Europe « sous assistance respiratoire » : von der Leyen ouvre la porte à un nouveau cadre sur les aides d’État pour sauver l’industrie européenne© Fournis par Business AM

Le mal nommé Inflation Reduction Act vise à aider l’industrie américaine à assurer sa transition énergétique, à coups de centaines de milliards de dollars. S’il n’a pas vraiment vocation à réduire l’inflation (au contraire), il apporte des subventions importantes au secteur des voitures électriques. Pour la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, l’Europe doit apporter une réponse appropriée.

Dans l’actu : Ursula von der Leyen appelle à « adapter » les règles relatives aux aides d’État en réponse aux subventions « vertes » des États-Unis.

  • « L’Inflation Reduction Act doit nous faire réfléchir à la manière dont nous pouvons améliorer nos cadres d’aides publiques, et les adapter à un nouvel environnement mondial », a déclaré Mme von der Leyen dans un discours prononcé à Bruges, en Belgique, rapporte Politico. « La nouvelle politique industrielle affirmée de nos concurrents exige une réponse structurelle », affirme-t-elle.
  • En ce sens, elle ouvre la voie à un élargissement des critères de suspensions des règles sur les aides d’État aux entreprises. L’Union possède en effet des règles très strictes quant aux subventions publiques pour éviter que les États membres ne se fassent trop de concurrence.
  • Ursula von der Leyen, par sa position, rejoint plusieurs membres de la Commission, à commencer par le Commissaire au Marché intérieur, le Français Thierry Breton, qui a appelé ce week-end dans le Journal Du Dimanche, à un nouveau fonds européen pour soutenir l’industrie européenne. « Face à une distorsion de concurrence, l’Europe doit réagir », plaidait-il.

L’essentiel : l’UE se dirige-t-elle vers un nouveau plan de relance ?

  • La perspective d’un nouveau fonds européen n’enchante pas tous les États membres. À commencer par l’Allemagne, qui pourtant est l’un des premiers concernés de par son industrie automobile.
  • Les Allemands rappellent qu’il existe déjà le fonds RePowerEU, qui vise à assurer la transition énergétique du continent. Une nouvelle discussion houleuse s’annonce entre les États membres.
  • Sous couvert d’anonymat, un diplomate d’un pays récalcitrant explique son opposition : « Il y a encore de l’argent inutilisé dans le pot, sans parler des prêts qui n’ont pas été utilisés. » Et d’ajouter : « La dernière chose que l’UE souhaite est d’ouvrir un débat sur l’augmentation des fonds européens. »
  • Un autre fonctionnaire européen va dans le même sens : « Nous devons savoir clairement quels secteurs seront réellement touchés par l’IRA et dans quelle mesure. Sur cette base, nous pourrons évaluer où un soutien est nécessaire. » « Pourquoi entamer maintenant une discussion très difficile sur de nouveaux fonds si nous pouvons chercher à mieux exploiter ce qui est déjà disponible ? »

Le contexte : la relation commerciale entre l’UE et les USA n’a plus été si tendue depuis l’ère Donald Trump.

  • La semaine dernière, le président français a reçu les honneurs d’une visite d’État aux États-Unis. Résultat : beaucoup de beaux discours et de belles photos. En public, Joe Biden a assuré à Emmanuel Macron que l’IRA pourrait être corrigé. Il existe en effet des exemptions pour les pays ayant une relation de libre-échange avec les USA. L’Europe n’en a pas, mais Biden réfléchit à étendre son plan aux pays « alliés », pour que l’Europe puisse en partie bénéficier de cette manne d’argent.
  • Dans les faits, des discussions ont lieu en ce moment à Washington entre les fonctionnaires européens et américains. « La réinitialisation transatlantique entre Bruxelles et Washington est sous assistance respiratoire », écrit Politico, qui a parlé à plus de 20 fonctionnaires et décideurs politiques des deux côtés de l’Atlantique.
  • Le protectionnisme américain et sa volonté de combattre commercialement la 2e puissance économique mondiale – la Chine – placent l’Europe entre deux chaises. Au sein de l’UE, de nombreuses voix appellent à ne pas se montrer naïfs, aussi bien envers la Chine qu’envers les États-Unis.

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9 Commentaires

  • Daniel Arias
    Daniel Arias

    L’Europe veut elle aussi faire tourner la planche à billets, soit !

    Des économistes nouveaux apparaissent qui nous disent que la dette c’est pas grave.
    Leurs cousins ont détruit nos services publics au nom de cette dette qu’il fallait limiter.

    Rappelons aux franaçsi ce qu’était les Circuits du Trésor et la Banque et Assurance nationalisées dans leur totalité et comment la monnaie étaient mise au service du développement de la France.

    Entre temps nous avons perdu les colonies et sommes devenus les vassaux des USA et partiellement de l’Allemagne théoriquement vaincue en 45.

    Nous bourgeois reconstruiront rapidement les échanges et les travaux de construction de l’UE, l’unité capitaliste sous le Reich ou l’UE peut importe tant que la taille du marché est suffisante.

    Mais voilà la prise de pouvoir par les comptables croient en le pouvoir tout Puissant de l’Euro, de la monnaie qui serait capable de tout.

    Ors sans échanges de marchandises cette monnaie ne vaut rien et les processus industriels ont besoins de matières premières et composants.

    Il faut de l’énergie pour toutes les activités économique et nous ne contrôlons aucun accès à l’énergie dont le marché mondial est en dollar dont la masse monétaire a explosé et provoqué ce tsunami d’inflation dans les pays dépendants du dollar et les marchés internationaux.

    Il faut également des composants et en particulier des puces électroniques les processeurs sont américains ou britanniques et une grande part des autres puces sont produites en Asie.

    Même si en France nous avons des entreprises comme STMicroélectronics aucun mécanisme de protection de nos industries est efficace comme les exemples d’Alshtom ou Gemplus nus le démontrent. Les pirates peuvent entrer librement et selon les règles officielles dans nos ports, servez vous !

    Pour pouvoir imposer un protectionnisme aux USA il faudrait pourvoir les tenir et les faire chanter.

    La Chine a ce pouvoir en fournissant les produits basique de la totalité des grandes surfaces dans les pays de l’OTAN, se passer de cette production bon marché serait catastrophique pour les grands distributeurs et demanderait de remplacer la main d’œuvre chinoise par un autre.

    Les indiens ou l’Amérique Latine n’ont pas fait les investissements productifs de la Chine, pour l’Inde la barrière linguistique empêchera encore longtemps ce pays de se développer. Seule les indiens éduqués peuvent communiquer entre eux en anglais dans ce pays multi ethnique et où survivent de très nombreuses divisions.

    L’Amérique Latine parle l’Espagnol mais reste divisée et en sous investissement dans les structures productives, les USA ne souhaitant pas le développement qui les priverait d’une immigration bon marché et de la soumission d’un sous continent potentiellement aussi puissant et riche.

    La Chine a cette unité depuis des siècles, c’est libérée des colons et s’est modernisée à très grande vitesse elle est une puissance économique effective qui de plus entretient de bonnes relations avec les fournisseurs d’énergie.

    Si l’UE veut sauver son économie aujourd’hui elle devrait entrer en guerre non contre la Russie mais contre la gang nazis de Kiev, fermer les frontières aux armes américaines, virer les bases et les soldats américains et rétablir des relations saines avec la Russie qu’il faudra convaincre de notre bonne foi. Ce qui me semble compliqué en gardant les même dirigeants dans les grands pays Européens.

    C’est peut être le rôle que peuvent jouer les communistes s’ils arrivent à faire comprendre la situation aux cadres français qui votent à droite macron ou social libéral. À ce rythme il n’y aura bientôt plus rien à encadrer et aux USA nul besoin de cadres français ou allemands ils ont déjà les leurs en grand nombre. Ce n’est pas la vente de sacs à main de “luxe” de mauvaise qualité, le tourisme ou la finance qui sauveront et donneront un rapport de force à la France. Les licenciements de cadres dans les industries ne sont plus rares une fois les délocalisations effectuées.

    Ces électeurs de droite dériverons vers l’extrême droite autrement s’il faut en priorité convaincre les travailleurs il est peut ere possible de saper la base sociale de la droite.

    Rien ne sera possible sans une réorganisation du PCF et la renaissance d’une presse et édition réellement communiste.

    À la fin de la seconde guerre mondiale le PCF avait un slogan:

    “Les américains en Amérique !”

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  • IMBERT
    IMBERT

    En effet de nouveau (pour les vieilles nations de l’aristobourgeoisie) il ne reste qu’après la révo conservatrice et le monétarisme minimaliste social, et maximalisme marché guerrier et informel, que le phalangisme fascisme avec ou sans racisme, autre que de sang bleu,en expression de la social démocratie des armements dits encore conventionnels!

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  • Michel BEYER
    Michel BEYER

    Le site dedefensa.org a publié un article intéressant sur les accords de Minsk. Selon le journaliste américain, Scott RIDER, et dont les analyses sont respectées, Porochenko, Mme Merkel, François Hollande ont mené tout le monde en bateau , lors des accords de Minsk. Ils n’ont jamais souhaité l’application de ces accords. L’objectif était de gagner du temps pour préparer l’armèe ukrainienne pour un futur conflit contre la Russie. Objectif réussi avec le 24 Février. Poutine, lui-même, a reconnu récemment que la Russie avait eu tort de signer ces accords. Fort heureusement, l’affaire ne semble pas se dérouler selon les voeux de nos “braves démocrates” et “non-agresseurs”, Poutine étant bien sûr le nouvel Hitler, sinon pire.

    https://www.dedefensa.org/article/notre-peche-est-notre-honte

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    • Franck Marsal
      Franck Marsal

      Très intéressant. En effet, rien que nous ne sachions déjà, mais les choses, clairement mises en perspectives apparaissent lumineuses. Cela explique aussi la décision de Hollande de ne plus vendre les deux porte-hélicoptères à la Russie, sachant que la guerre était inévitable, il était logique de se dédire de ce contrat. Cependant, je ne crois pas que les russes aient été totalement trompés, en tous cas, visiblement pas Poutine et son équipe. Il y avait visiblement une volonté de tenter le dialogue jusqu’au bout, à des fins probablement pédagogiques, tant vis à vis de l’interne que de l’externe, mais également un niveau assez poussé de préparation. D’ailleurs, il y a eu Minsk 1, non appliqué, deuxième période de guerre et Minsk 2 signé à nouveau pour sauver l’armée ukrainienne et les bataillons néo-nazis du désastre.

      Evidemment, l’affaire a de grandes chances de ne pas s’arrêter là. Le deuxième échelon de guerre contre la Russie, une fois le dernier ukrainien tué, pourrait être la Pologne.

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    • Michel BEYER
      Michel BEYER

      Pour complèter, voici un passage d’une récente déclaration de Mr Poutine:
      🔹«Les garants ont oublié qu’ils étaient garants. Ils étaient censés tout ramener dans le cadre légal et organiser des élections. Cela n’a pas été fait. Lorsque je le rappelle à mes collègues au téléphone, tout le monde se tait – ils n’ont rien à répondre»;

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  • Franck Marsal
    Franck Marsal

    Il y a un grand paradoxe dans la politique économique qui est suivie par les grandes puissances capitalises : officiellement, la priorité est donnée à la lutte contre l’inflation. Pour ce faire, on nous explique que les banques centrales augmentent les taux d’intérêt, c’est à dire les taux auxquels elles empruntent de l’argent sur les marchés financiers.
    Mais dans le même temps, les gouvernements – qui soutiennent cette position des banques centrales – engagent des plans faramineux de subvention à l’économie et de déficit public : la France et son bouclier tarifaire, l’Allemagne a annoncé en Octobre un plan de soutien de 200 milliards d’euros et les USA ont suivi le mouvement avec l’IRA à 369 milliards. Tout cela s’accompagne de dépenses militaires en hausse vertigineuse, non pas depuis six mois, mais depuis en réalité depuis plusieurs années. Les dépenses militaires sont un bon moyen pour sauver l’éconnomie capitaliste en faillite.

    Qu’es-ce à dire ? A mon avis, la réponse est simple, les hausses de taux ne sont pas essentiellement destinées à lutter contre l’inflation. Elle peuvent être au contraire destinées à financer les aides massives que chacun apporte à sa propre industrie pour la sauver de l’effondrement.

    La baisse tendancielle du taux de profit a été depuis de longues années masquée par le développement des bulles financières sans précédent, d’une spéculation hors normes, et l’intervention croissante des gouvernements. Cette politique de financiarisation a atteint ses limites. Le goufre est désormais trop grand pour être masqué. Il va falloir tailler dans la masse, détruire du capital sur une échelle gigantesque. Car, dans la crise qui se développe, tout le monde ne pourra pas être sauvé. Il y aura, comme dans toute crise, des gagnants et des perdants. Les gouvernements eux-mêmes ne sont pas tout-puissants. Leur limite est leur capacité à emprunter de l’argent sur les marchés financiers internationaux, qui sont pilotés, pour l’occident, par le grand capital américain, ses banques et ses fonds d’investissements.
    Il faut noter que c’est pour un tel plan de soutien (mal ficelé il est vrai) à l’économie que le gouvernement de Liz Truss en Angleterre est tombé quelques semaines après son arrivée au pouvoir. Le plan avait été mal reçu par les marchés financiers. Ceux-ci estimaient que la signature du gouvernement anglais ne suffisait pas à garantir les fonds nécessaires.

    La croissance de l’économie chinoise, suivie par d’autres économies asiatiques, Inde, Indonésie, Vietnam notamment est en train de développer une base élargie et modernisée de production industrielle, qui gagne sans cesse des parts de marché face à la base occidentale et même au Japon. La Chine a réussi à développer sa propre structure de financement interne et internationale, et l’internationalisation du Yuan (la monnaie chinoise) va bon train.

    Les USA pour faire face ont choisi de sacrifier leurs alliés : en poussant jusqu’à la guerre la confrontation avec la Russie, le capital américain a privé l’Europe de ses sources d’énergie bon marché. Cette politique avait été préparée de longue date. En s’appuyant sur la Pologne, qui leur est acquise, et l’Ukraine, les USA peuvent contrôler les flux qui alimentent l’Europe. C’est pour cela que les gazoducs NordStream leur déplaisaient profondément ! En passant par la Baltique, la Russie et l’Europe pouvait échanger de l’énergie bon marché hors du contrôle américain. Bien sûr, tout cela a été présenté de manière renversée dnas la propagande de l’OTAN : si l’on détruit les gazoducs NordStream, on prétend que c’est pour défendre la souveraineté énergétique de l’Europe ! Quelle belle souveraineté que voici : l’Europe n’a plus d’énergie, elle se prépare aux coupures d’électricité, elle va “souverainement” dans le mur.

    Ce faisant, les USA vont pouvoir assécher et sacrifier l’industrie européenne, espérant ainsi sauver leur propre base du naufrage. Ils réalisent la même chose vis à vis de leurs proches alliés asiatique : Taïwan que l’on prétend défendre de la “menace chinoise”, mais aussi la Corée du Sud doivent ainsi transférer leur production de puces électroniques aux USA. Il n’est pas anodin de ce point de vue que le parti pro-américain DPP ait perdu les récentes élections. Ca au fond, Taïwan n’a rien à gagner dans le jeu guerrier des américains. Il peut y perdre sa principale industrie et son avantage technologique majeur. Déjà, les interdictions d’exportation vers la Chine privent une partie de l’industrie de ses débouchés.

    Pour tenir ses alliés dans une politique qui les destabilise profondément, les USA usent de tous leurs pouvoirs, et notamment du pouvoir de propagande et de corruption des élites, afin d’imposer une vision unilatérale de la guerre, empêcher tout dialogue et toute perspective de paix, prolonger le conflit et imposer une coûteuse et stupide guerre économique, aujourd’hui contre la Russie, puis progressivement contre la Chine. On nous dit ça et là que “ça râle”, que les “dirigeants européens” considère que le prix du gaz américain est trop élevé etc etc. Mais force est de constater que cela ne dépasse pas le simple agacement. Pour l’instant, c’est “circuler, y a rien à voir”, “les USA sont notre allié” et “il faut soutenir Zelenski”.

    Tôt ou tard, il faudra bien que cela sorte et les communistes ont dans leur histoire et leur formation politique tous les éléments pour porter une réorientation politique majeure.

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    • Xuan

      La crise de 2008 apportait cette conclusion qu’il n’existait plus désormais de filet de protection.
      Les USA ont multiplié les quantitative easing et exporté leur dette des années durant, puis alterné l’inflation et la hausse des taux sans résultat. Il reste la guerre.

      Mais entre d’un côté les affinités idéologiques et les souvenirs de régiment de la dernière guerre, et de l’autre les profits, les capitalistes finissent toujours par choisir les profits. C’est congénital. Et paradoxalement Scholtz et Lafontaine l’ont déjà plus amère que Macron.

      L’unité sans faille du camp impérialiste est bâtie sur du sable. L’hégémonie signifie la domination mondiale, absolue, y compris sur ses alliés, et pour les plus faibles le joug sera d’autant plus douloureux. Si les capitalistes y trouvent une échappatoire, les peuples eux se lèveront.
      Les partis communistes sont-ils prêts à cet affrontement ? Pas ici déjà. Cela dit si le peuple fait l’histoire, il fait aussi son parti communiste.

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      • Franck Marsal
        Franck Marsal

        Tout à fait d’accord avec toi. Et les périodes de guerre sont aussi des périodes propices aux retournements d’alliances …

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  • Daniel Arias
    Daniel Arias

    “La guerre silencieuse” sur CGTN Français

    https://www.youtube.com/watch?v=WDZ_lTEoMXk

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